Gervaise

qui doivent affrontés diverses péripéties. Narrateur : L’incipit nous décrit la longue attente de Gervaise qui attend désespérément son mari Lantier. Elle voit alors passé les gens les voisins les ouvriers mais ne voit pas arrivé Lantier. L’auteur se doit alors dans l’incipit de décrire le cadre et de familiarisé le lecteur avec les personnages notamment en les appelant par leur prénoms (Gervaise et Lantier). Ainsi, Zola nous montre ainsi l’importance de ces personnages dans le récit. Dans les

Résumé : du début du chapitre p. 253  p. 267 « quand elle put parler ». Le 19 juin est le jour de la fête de Gervaise. Les Coupeau ont pris l’habitude de fêter tout, en dépensant le peu qu’ils réussissaient à amasser. Gervaise estime que s’ils n’économisent plus, c’est de la faute de Coupeau, et elle cherche à tout de même bien manger. Un mois à l’avance, les préparatifs commencent : Gervaise veut douze personnes à sa fête : il y aura elle, son mari, Mme Coupeau mère, Mme Lerat, les Goujet, les Poisson

naturalisme. Les rêves de bonheur banals de Gervaise sont broyés au fur et à mesure de la lecture, inspirant une grande pitié au lecteur. C'est un livre qui laisse une large place au lecteur pour comprendre les conditions de vie de la classe ouvrière du second empire, un livre qui nous amène à réfléchir et que j'ai tout particulièrement adoré. « L'assommoir », voici l'histoire en quelques phrases. Nous sommes au Second empire, lorsque Paris se remplit. Gervaise jeune femme de vingt-deux ans, deux enfants

deux enfants, Claude et Etienne, Gervaise Macquart épouse Coupeau, ouvrier zingueur et mène une vie prospère grâce à sa blanchisserie. Après être tombé accidentellement d’un toit, Coupeau se met à boire. Ayant retrouvé Lantier au cours d’une fête, Gervaise croit pouvoir se consoler en le prenant comme amant. Négligeant bientôt ses affaires, elle glisse progressivement dans l’alcoolisme et meurt peu après Coupeau dans la déchéance et la misère. Personnages Gervaise : C’est un personnage continuellement

buffet », « la mauvaise nourriture qui lui vidait la peau » qui dresse un portrait pathétique de Gervaise, en train de mourir de faim. Antithèse entre des « provisions » et du « tout petit morceau de pain », qui souligne la misère de Gervaise. «  Misère (L.24) renforce l'idée de la famine. Champs lexical de la paresse : « sauver son lard », « paresse », « rester en tas, tourner ses pouces ». Gervaise semble privée de s’en sortir. Comparaison : « molle comme une chiffe à la besogne ». Hyperbole :

travers les yeux de ce personnage qui rapporte sa version de la mort de Gervaise et porte un jugement, on le voit grâce aux modalisateur « apparemment » et « joliment  saoul ». On relève également des verbes de perception «voire » l.15, « découvrir » l.15. On peut néanmoins imaginer que c'est un (ou plusieurs) voisin(s) de Gervaise ou un (ou plusieurs) habitant(s) du quartier de la Goutte d'Or qui connaissait assez bien Gervaise qui parle. De ce fait, ce « on » permet à Zola de généraliser les propos

Gervaise et Coupeau travaillent dur, gagnant de quoi vivre avec un peu plus d'aisance tout en faisant des économies ; mais un jour Coupeau tombe du toit ou il travaillait et se retrouve en convalescence chez lui et devient alcoolique, tout comme son père. Le passage que nous étudions est la contemplation de l’alambic d’un agent de police, qui fabrique de l’absinthe, par Gervaise et ses compagnons. En quoi peut – on dire que cet extrait est caractéristique du naturalisme? En quoi cela nous permet

Propos obscène Convives déshumanisés aussi = réduit à un ventre « bedonne » « un derrière » (scatologie) Convives animalisés l.15 « la carcasse » ; « Madame Lerat… Putois…Poisson » = onomastique 2- Gervaise Elle n’a pas une description avantageuse «  énorme, tassé sur les coudes » l.3 Elle aussi animalisé « comme une chatte » Elle semble muette, généreuse, maternelle, charitable, gentille, bonne, sensible (honte) l.10 Par rapport aux autres convives

l’existence du personnage de Gervaise, née en 1828 et conçue dans l’ivresse et la violence selon son portrait génétique ainsi que son infirmité physique à la jambe qui la rend boiteuse. L’Assommoir, étant principalement un roman sur le peuple, traite essentiellement des problématiques sociales, alors en plein essor, tel que l’alcoolisme et ses dérivés. Zola en fera l’analogie selon sa dégénérescence sur le milieu social et particulièrement sur le milieu familial. Gervaise aura eu deux enfants de son

car il utilise différentes sources et il se renseigne sur le sujet de son livre. Ce livre nous permet de savoir comment vivaient les gens du monde ouvrier à cette époque, il est donc intéressant de le lire. (5) Le temps historique : L’histoire de Gervaise se passe sous le Second Empire donc entre 1850 (6) et 1870. Zola a vécu à l’époque qu’il analyse dans le roman. Cette époque est aussi celle de la révolution industrielle. Les temps internes : Le temps de la fiction : Zola ne fait pas référence