Giovanni Pisano

compte son contemporain Dante ainsi que l’écrivain padouan Albertino Mussato qui a écrit des pièces de théâtre et des œuvres historiques sur le modèle des classiques. On peut ainsi toujours reculer jusqu’au XIIIème siècle avec Cimabue, Nicola et Giovanni Pisano (sculpteurs) et la réception d’Aristote en Occident par Thomas d’Aquin. Ce qui est indéniable, c’est la survie de la tradition classique : • Horace et Virgile n’ont jamais cessé d’être lus au Moyen Âge • Tradition du droit romain

Michel-Ange de sarcophages de l'époque romaine tardive ainsi que du style de Giovanni Pisano, des reliefs en bronze de Bertoldo di Giovanni avec une bataille de chevaliers reprise d'un sarcophage du Camposanto di Pisa. Dans le bas-relief de Michel-Ange le mélange dynamique des corps nus en lutte est privilégié et l'effet spatial annulé. La 1ére mention du relief figure dans une lettre à l’agent des Gonzague à florence. Giovanni BORROMEO, adressée en 1527. Mythologie des Lapithes et des centaures :

échéant faire la réputation, de leur talent. A Florence, par exemple, la très puissante corporation des métiers de la laine, la Calimala, prend en charge la gestion du Baptistère San Giovanni et du Duomo. C’est ainsi qu’elle organise en 1401 un concours pour des portes en bronze faisant suite à celles réalisées par Andrea Pisano plus de cinquante ans plus tôt. De même, mais dans un registre pictural cette fois, à Louvain, Rogier van der Weyden réalise, autour de 1425, une grande Déposition (aujourd’hui

sexualité réglerait les maux)· Représentation dans la littérature populaire (négative)· Représentation de couples (sur fresques)À la fin du Moyen Âge on retrouve des statues provoque la frayeur dans le peuple (statues détruites). Giovanni Pisano, La Prudence = première fois qu’un nu incarne une vertu et non un vice ! LA RENAISSANCE : 1. LA REDÉCOUVERTE DU CORPS · Développement du nu féminin. La femme est idéalisée

Lundi 28 avril. La cathédrale del Duomo et le Baptistère de Florence occupent deux places distinctes sur la Piazza del Duomo, qui contient la basilique de Santa Maria del Fiore (le troisième plus grande cathédrale au monde), et de la Piazza San Giovanni, avec le droit baptistère dans le centre, probablement la première église chrétienne dans la ville, comme il a été construit à l'époque romaine tardive sur les ruines de ce qui était probablement un temple romain dédié au dieu Mars. Toutefois, le

Titre : PORTRAIT DE GINEVRA D'ESTE ; DIT AUSSI PORTRAIT DE MARGUERITE DE GONZAGUE Auteur/exécutant : ANTONIO PUCCIO DI GIOVANNI DI CERRETO, PISANELLO (dit) Période création/exécution : 2e quart 15e siècle Exécution : 1436 vers ou 1438 Matériaux/techniques : Tempera sur bois (planche de peuplier) Mesures : 43 H ; 30 L Sujet représenté : Portrait (Este Ginevra d', femme, à mi-corps, de profil, effet de tissu, broderie, coiffure, Italien) ; Ornementation (branche : genévrier) ; ornementation

Biographies Art Gothique Giovanni Cimabue (v. 1240-v. 1302) Cimabue assure le renouvellement de la peinture byzantine en rompant avec son formalisme et en introduisant des éléments de l'art gothique, tels que le réalisme des expressions des personnages. Il découvrira lors de ses voyages un berger accompagnant ses chèvres, qui faisait des dessins remarquables sur des pierres, se nommant Giotto, il deviendra son élève ainsi que Duccio. Fondateur de l’école de Florence, il fut sans doute l’un

incontestés. Vers 1450, une nouvelle génération d'artistes, au nombre desquels on compte les maîtres Antonio del Pollaiolo et Botticelli, occupe le devant de la scène florentine. Battista Alberti à Rimini et à Mantoue /Andrea Mantegna à Padoue / Giovanni Bellini illustre l'ascension de l'école vénitienne.   A la fin du XVe siècle, le caractère révolutionnaire des premières conquêtes du style Renaissance s'efface devant un consensus sur des notions de base, telles que la proportion, le contrapposto

de renouveau intellectuel et artistique touche l'Italie (Florence, Rome, Venise...) puis le reste de l'Europe. L'antiquité greco-romaine sert souvent de modèle pour les artistes (et pour les écrivains).) Cette célèbre toile fut commandée par Giovanni di Pier Francesco de Médicis. Le sujet est tiré de la littérature grecque et romaine, et en particulier de l'écrivain romain Ovide dont les métamorphoses connaissent un grand succès du XIVe au XVIIe siècle. Botticelli représente la déesse du Temps

celle-ci. L'artiste du Quattrocento fait aussi preuve d'une attitude d'affirmation de son indépendance morale : il refuse la compromission et reste critique envers la société. On peut citer ici l'épigraphe située au pied de la cathédrale de Pise, de Giovanni Pisano (architecte et sculpteur) au Trecento, soulignant le détachement dont l'artiste fait preuve quant aux critiques virulentes qu'il reçoit : «Plus je faisais de prouesses et plus je rencontrais d'hostilité. Mais je supportais ce tracas avec calme