Girouette

Exercice 3: Identifiez les types de discours dans les extraits suivants: « De larges plaques de lèpre jaune marbraient les tuiles brunies et désordonnées des toits, dont les chevrons pourris avaient cédé par place; la rouille empêchait de tourner les girouettes, qui indiquaient toutes un vent différent; les lucarnes étaient bouchées par des volets de bois déjeté et fendu. » Théophile Gautier, Le Capitaine Fracasse La fumée de cigarette contient un gaz très toxique, le monoxyde de carbone, gaz que l'on

saisons ! je vous aime et vous loue D'envelopper ainsi mon coeur et mon cerveau D'un linceul vaporeux et d'un vague tombeau. Dans cette grande plaine où l'autan froid se joue, Où par les longues nuits la girouette s'enroue, Mon âme mieux qu'au temps du tiède renouveau Ouvrira largement ses ailes de corbeau. Rien n'est plus doux au coeur plein de choses funèbres, Et sur qui dès longtemps descendent les frimas,

Landes, Nous avons aperçu les grands ongles marqués Par les loups voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. – Ni le bois ni la plaine Ne poussaient un soupir dans les airs ; seulement La girouette en deuil criait au firmament, Car le vent, élevé bien au dessus des terres, N’effleurait de ses pieds que les tours solitaires, Et les chênes d’en bas, contre les rocs penchés. -Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête, Le plus vieux

Landes, Nous avons aperçu les grands ongles marqués Par les loups voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement La girouette en deuil criait au firmament ; Car le vent élevé bien au-dessus des terres, N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires, Et les chênes d'en bas, contre les rocs penchés, Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait

différentes... Aujourd'hui le bureau et qu'il pleuve ou qu'il vente sous un ciel sans saison la ville indofférente. Mais les fleuves grondants mais les bois gémissants?... Non non c'est le moteur des autos que j'entends le ruisseau du pavé la girouette au vent. On voit dans les chromos de joyeuses fermières!... Sous l'averse je vois de pauvres ménagères ou bien c'est la putain plus loin c'est la rentière. Dans les livres on dit que la pierre autrefois parlait... elle est encor boudonnante

pointilleux) sait sortir des sentiers battus (sans pour autant bouleverser inutilement) est logique, rationnel (mais aussi intuitif) est objectif (tout en reconnaissant la relativité de son point de vue) est flexible (sans être une girouette) est patient (sans être mou ni inconsistant) a l’esprit de décision (tout en laissant murir les choses) sait rester calme dans des situations difficiles (sans être froid ni indifférent) Crise : situation ou de multiples organisations

tournez ! le ciel en velours D'astres en or se vêt lentement. Voici partir l'amante et l'amant. Tournez au son joyeux des tambours. Champ de foire de Saint-Gilles, août 1872. MALINES Vers les prés le vent cherche noise Aux girouettes, détail fin Du château de quelque échevin, Rouge de brique et bleu d'ardoise, Vers les prés clairs, les prés sans fin... Comme les arbres des féeries Des frênes, vagues frondaisons, Échelonnent mille horizons A ce Sahara de

où s’opposent nobles de race et nobles de fonction, groupe environ 20 000 familles et plus de 150 000 personnes, mais les estimations varient considérablement car les faux nobles sont nombreux. La noblesse dispose de privilèges : armoiries, girouettes, présences diverses, exemption des peines infamantes (dont la potence) et de la taille, impôt roturier. Difficile d’évaluer avec exactitude sa richesse. On lui attribue parfois le quart des superficies.

Les canaux, la ville entière, D'hyacinthe et d'or ; Le monde s'endort Dans une chaude lumière. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Verlaine Romances sans paroles: Malines. Vers les prés le vent cherche noise Aux girouettes, détail fin Du château de quelque échevin, Rouge de brique et bleu d'ardoise, Vers les prés clairs, les prés sans fin... Comme les arbres des fééries Des frênes, vagues frondaisons, Echelonnent mille horizons A ce Sahara de prairies, Trèfles

dans ma froide épouvante, Et quand je les rouvris à la clarté vivante, À mes côtés, au lieu du mannequin puissant Qui semblait avoir fait provision de sang, Tremblaient confusément des débris de squelette, Qui d'eux-mêmes rendaient le cri d'une girouette Ou d'une enseigne, au bout d'une tringle de fer, Que balance le vent pendant les nuits d'hiver.