Gisant

de la Bête qui semble souffrir intensément. Elle enfile le gant et se trouve transportée au château.] LA BELLE: Oh! La clef! Oh, la clef! Où est la clef? Mon Dieu! Ma Bête! Ma Bête! Ma Bête! Ma Bête! Ma Bête! [Elle trouve la Bête gisant sur le sol.] Répondez-moi, ma Bête! Ma Bête! Ma Bête! Ma Bête! Ma Bête! Pardon... Répondez-moi ma Bête... Regardez-moi! Votre gant vous fera vivre! Aimez-moi! C'était moi le monstre, ma Bête...Vous vivrez! LA BETE: Trop tard… LA BELLE:

Freud dévoile la face cachée de notre psyché et remet en cause le sujet, Marx dénonce les mécanismes intrinsèques de la société et Nietzsche tue (Dieu) le Père. Ce siècle dévoyé a également atteint le paroxysme de l’horreur : l’étranger déhumanisé gisant dans des charniers prouve que la méconnaissance de soi et de l’autre mènent au pire. Si on ajoute Saussure qui a bipolarisé le langage, quel outil de connaissance nous reste-t-il pour nous connaitre et éviter la peur de l’autre ? On revient dès

demeurer loin de toi plus longtemps.” Cette forme d'écriture soulage l'auteur qui a besoin d'exprimer sa douleur; Dans un autre poème “Le dormeur du Val”, Rimbaud dénonce l'absurdité, la cruauté de la guerre, en décrivant un très jeune soldat gisant au milieu de la nature “Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.” De nos jours, nombreux sont les auteurs qui écrivent leur autobiographie

gâche – il se rue dans la chambre.     Là – oui, pendue – nous avons aperçu Jocaste balancée au bout d’un lacet tressé qui l’étranglait. Il la voit, le malheureux, il pousse un rugissement affreux, il dénoue le lien qui la pend… Voici le pauvre corps gisant… Et alors, quelle chose atroce, ce qui nous restait à voir ! Il lui arrache les agrafes d’or qui ornaient ses vêtements, les brandit, et en frappe dans leurs orbites ses propres yeux : ils cesseraient ainsi, disait-il à peu près, de voir les horreurs

on passe en été le torrent sans danger, Qui soulait en hiver être roi de la plaine, Et ravir par les champs d'une fuite hautaine L'espoir du laboureur et l'espoir du berger : Comme on voit les couards animaux outrager Le courageux lion gisant dessus l'arène, Ensanglanter leurs dents, et d'une audace vaine Provoquer l'ennemi qui ne se peut venger : Et comme devant Troie on vit des Grecs encor Braver les moins vaillants autour du corps d'Hector : Ainsi ceux qui jadis soulaient

montre molle semble se répandre sur le bord de cette « terrasse ». Elle marque une heure clairement lisible (7 heures moins cinq). A droite de la seconde montre, une troisième montre molle est posée sur le cou d’une tête allongée vue de profil, comme gisant sur le sol et dont la large paupière est close. Une langue semble sortir de la bouche ouverte. Le deuxième et la troisième montre n’indiquent pas la même heure. Au second plan se dresse un arbre, qui semble transpercer la terrasse : il s’agit d’un

artistes n’auraient pas osés faire Un peu plus d’ordre serait mieux. II- Biographie ?? III- Contexte de ce tableau ?? IV- DESCRIPTION Cadrage : au premier plan on distingue ces soldats morts gisant au sol on voit que la guerre est passée par là, au second plan on voit ces fils de barbelé qui tiennent grâce à des morceaux de bois et en arrière-plan on peut observer ce ciel gris symbole d’orage et d’apocalypse. Les soldats sont étendus au sol

| |En plus, en décrivant la nature comme il le fait (d’une manière lumineuse et vivante ), l’auteur | | |fait ressortir toute la pâleur et l’ambigüité tragique du soldat gisant dans un « lit vert ». Il | | |veut montrer à quel point la mort et la vie peuvent se côtoyer de proche lors d’une guerre et |

semble se répandre sur le bord de cette « terrasse ». Elle marque une heure clairement lisible (7 heures moins cinq).             A droite de la seconde montre, une troisième montre molle est posée sur le cou d’une tête allongée vue de profil, comme gisant sur le sol et dont la large paupière est close. Une langue semble sortir de la bouche ouverte.  Le deuxième et la troisième montre n’indiquent pas la même heure.             Au second plan se dresse un arbre, qui semble transpercer la terrasse :

vie dans cette œuvre incarne le temps qui passe, la vie qui s’écoule. Sur le sol sont répartis, disposés en allées formant un quadrillage, 70 rectangles de vêtements et qu’on devine déjà portés. On se croirait dans un cimetière avec des sépultures gisant au sol. Des hauts-parleurs  accrochés à des poteaux situés dans les angles des rectangles de vêtements diffusent le son du cœur battant. Des câbles relient les poteaux, obligeant les visiteurs à suivre un chemin précis éclairé par des néons diffusant