Gisant

avait du poisson à pêcher. Le capitaine énervé d’avoir vu son revolver utilisé par un apprenti mais aussi d’accord sur le fait qu’il fallait continuer la pêche, ils nous faisaient donc nettoyer le sol et m’ordonnait de jeter las trentaine d’albatros gisant par terre, certains était mort d’autres aillaient périr dans peu de temps, je les prenais par les pattes et les jetais un par un dans l’eau, leur corps disparaissaient dans les profondeurs abyssales. Cette journée finissait donc horriblement mal.

famille. Elle se détendit lorsque l'image de son père, Magie, lui apparut. Si seulement elle pouvait le tuer... Elle l'aurait fait sans hésitation. Sa haine envers cet homme sans cœur emplissait tout son être, tant elle aurait voulu le voir mort, gisant au sol. Il lui avait dicté sa vie, sa ligne de conduite, et lui avait pourtant laissé sa conscience... Il voulait qu'elle devienne folle... Ou peut être l'était-elle déjà... Et puis... Quelques semaines auparavant, elle avait réussi à se changer

grande mutation est effectuée : des disparités sociales ce créées, des chefs et des élites apparaissent. On les distinguait grâce a des objets sophistiqués (( premiers artisans du métal) ou alors, en étant enterré dans des tombes mégalithiques. DES GISANTS CHAMARRES D’OR : Le creusement de puits de mines au Sud-est de l’Europe change la production des outils. On passe d’un stade chalcolithique à la réalisation d’objet en métal. Cette nouvelle phase adoptée majoritairement du coté oriental de l’Europe

le symbole du Pays Basque, la région où se situe Guernica. La lance qui le blesse au flanc rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ dans de nombreux tableaux religieux. C’est la victime innocente, la liberté assassinée. Le guerrier mort gisant sous le cheval Le corps démembré et décapité témoigne de la violence et la brutalité du combat. Ses yeux renversés indiquent la mort. Il tient à la main une épée brisée, dérisoire pour lutter contre les bombes. Elle symbolise la défaite et l’inégalité

Bourreaux et victimes semblent former un tout. Dans la mêlée, on distingue à peine les tortionnaires des corps massacrés. On remarque successivement, avec une même impression de désolation, la vieille femme assise, la femme morte devant, la femme gisant à droite et son enfant, deux enfants enlacés à gauche, le couple prostré au centre. A droite, un soldat musulman enturbanné, monté sur un cheval cabré de style baroque, jette sur eux un regard de vainqueur. Il emporte une victime à demi nue (Emilie

molle semble se répandre sur le bord de cette « terrasse ». Elle marque une heure clairement lisible (7 heures moins cinq). A droite de la seconde montre, une troisième montre molle est posée sur le cou d’une tête allongée vue de profil, comme gisant sur le sol et dont la large paupière est close. Une langue semble sortir de la bouche ouverte. Le deuxième et la troisième montre n’indiquent pas la même heure. Au second plan se dresse un arbre, qui semble transpercer la terrasse : il s’agit

Roy voyait que le pistolet n’était pas chargé. Il mit donc une balle, approcha le pistolet de sa tempe, et appuya sur la gachette. Ce fut un bruit effrayant. Mais son père ne se soucia de rien. Quand il revenu, il découvrit le corps de son fils gisant par terre. Il ne comprenait pas pourquoi il avait mis fin à ces jours. Il s’en voulut énormément … Il voulait l’enterrer, mais il pensa que sa mère et sa sœur aurait voulu voir le corps de l’enfant. Alors, il embarqua sur un bateau prévu pour les

Foix, chef d’œuvre de Jean Perréal (l’architecture) et Michel Colombe (sculpture). Le monument marque l’entrée dans la Renaissance de l’école fr de sculpture. Description : un bloc rectangulaire de marbre noir sur lequel sont allongés les deux gisants de Francois II et Marguerite. Leur tetes reposent sur des coussins maintenus par des anges et a leurs pieds se tiennent un lion et un lévrier. Aux quatre coins il y a des statues imposantes representant des femmes qui symbolisent : La Justice

on passe en été le torrent sans danger, Qui soulait en hiver être roi de la plaine, Et ravir par les champs d'une fuite hautaine L'espoir du laboureur et l'espoir du berger : Comme on voit les couards animaux outrager Le courageux lion gisant dessus l'arène, Ensanglanter leurs dents, et d'une audace vaine Provoquer l'ennemi qui ne se peut venger : Et comme devant Troie on vit des Grecs encor Braver les moins vaillants autour du corps d'Hector : Ainsi ceux qui jadis soulaient

stock-shot montre le martyr d’un singe sujet d’expériences. Pas de doute, Snuff 102 promet d’aller loin dans la perversité. Le métrage avance d’entrée une première séquence terriblement glauque où un homme s’occupe de découper le bras d’un cadavre gisant dans une baignoire, mettant ainsi tout de suite le spectateur en condition avec cette utilisation d’un noir et blanc crasseux, tandis que la bande-son évoque un visionnage à l’aide d’un projecteur super 8. La suite enfreint tout aspect linéaire