Gisant

témoignage des ravages causés par les bombardements est saisissant. Au premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur et sa bestialité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés (bombardements) surplombé par un gisant, un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte. Prédelle: C'est le Panneau inférieur au format rectangle, Otto Dix inscrit dans ce format la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif : des soldats allongés évoquent

est placées trois fois sous l'accent, dont deux fois à la rime, « tête nue », « nu-que », « sous la nue ». La nudité du soldat montre qu'il n'avait aucun moyen de se défendre contre la mort. La position du dormeur, au vers 13, rappelle celle des gisants (statues qui ornent les tombes). De plus, la fleur retenue est le « glaïeul », dont le nom vient du latin gladiolus, de gladius, « glaive ». La litote "poitrine tranquille" joue également son rôle. Rimbaud s'arrête sur un ultime et macabre détail

la gorge du garçon. Miranda resta bouche bée et ne bougea pas d'un poil. Aucun son ne sorti, ni de peur, ni de dégoût. Elle resta figée, sous le choque. La jeune fille et son meurtriers avaient déjà disparu comme envolé. Il ne restait que le garçon gisant a terre, la gorge ouverte. La nouvelle fit le tour de la ville mais personne ne voulait la croire. Elle raconta toute l'histoire a sa sœur en espérant que celle ci soit de son coter. Mais elle la traita de folle. Ne voulant la croire que si elle le

la jeune fille tomba à terre comme morte. - Et maintenant, ricana Jacqueline, je suis de nouveau la seule que mon mari aime et je vais hériter de toute sa fortune. Le soir, en rentrant, les sept garçons furent épouvantés à la vue de Blanche Bay gisant à terre, sans vie. Ils l’avaient pourtant prévenue, jamais il ne faut ouvrir à des inconnus…

les voit en train de se diriger (en « rythme »), suivant la longitude du trottoir. Les hommes apparaissent comme des géants, montrant l’importance des blancs, mais aussi de la puissance « policière » aux USA. La jeune fille est épargnée des tomates gisant sur le bas-côté du mur blanc. Les personnes ayant lancés les tomates ont visé la tête de la jeune fille. Le mur est recouvert d’une insulte : « nigger » . Seul le mur en arrière-plan a été atteint par les violences racistes, la jeune fille et les

L’histoire d’âme est originale dans son traitement puisque l’impression de Thomas est due à la surprise d’Alicia. On n’est pas dans du fantastique comme dans de nombreux films du genre, sauf peut-être lorsque la neige tombe sur le visage de Thomas, gisant au sol. Il y a tout de même un lien entre ce fait et le début, par les plumes qui tombaient sur lui lorsqu’il était dans l’appartement. L’idée est bonne mais tout de même, deux choses ont négativement soulevé mon attention. Premièrement, le manque

lance et le combattit si vivement qu’il l’éprouva très violemment et qu’il le jeta sur le sol. Ensuite il retint le cheval qu’il tint au frein, et il le donna à un valet disant qu’il allait à celle pour qui il bataillait. Gauvain lança à Mélian , gisant au sol, « Nous nous reverrons » ! Et il fit sa révérence aux spectateurs, la fiancée de Mélian de Lys, la soeur aînée de la petite fille pour qui Gauvain combattait, pleurait et courait en direction de son amour, qui, entre la vie et la mort, suppliait

vous saviez l’abîme Qui m’attend si je quitte cette haine qui me décime Je profère ma rage, mes faux crimes qui m’insultent Jusqu’à perdre la foi en un dernier tumulte. Au déni épuisé, le fracas seul exulte… Fracas Sous le manteau éteint, gisant dans les décombres De ce énième séisme, la moindre vie me vide Ma raison disloquée tremble sur ma pénombre Et colmate la fêlure, cette béance avide Dans l’obscurité floue, chaque os de ma conscience Brisé durant l’impact me lancine en grinçant

grave et morne, et la vérité nue appelle la pensée à son secours depuis qu' on l' a murée avec le mensonge en son puits. Après Jean-Jacque, après Danton, le sort ramène le lourd pas de la nuit sur la triste âme humaine ; Droit et Devoir sont là gisants, la plaie au flanc ; le lâche soleil rit au noir dragon sifflant ; l' homme jette à la mer l' honneur, vieille boussole ; en léchant le vainqueur le vaincu se console ; toute l' histoire tient dans ce mot : réussir ; le succès est sultan et le

montre molle semble se répandre sur le bord de cette « terrasse ». Elle marque une heure clairement lisible (7 heures moins cinq). A droite de la seconde montre, une troisième montre molle est posée sur le cou d’une tête allongée vue de profil, comme gisant sur le sol et dont la large paupière est close. Une langue semble sortir de la bouche ouverte. Le deuxième et la troisième montre n’indiquent pas la même heure. Au second plan se dresse un arbre, qui semble transpercer la terrasse : il s’agit d’un