Gisant

veut que vivre librement, elle est horrible. Alors, elle décide de faire souffrir sa mère en se suicidant à l’aide d’une surdose de médicament. Elle veut que ce soit sa mère qui la retrouve et qu’elle soit assaillit de remords à la vue de sa fille gisant au sol sans vie. Mais avant de mourir, elle veut devenir une vraie femme, elle décide donc de faire l’amour avec Bi, le fiancé de sa collègue Hua. Suite à son acte malsain, elle décide de fuguer la colère de sa mère et passe une nuit entière dans

et 1520)  La sculpture gothique A l’époque gothique , la sculpture va s’étendre sur quelques domaines : -Le mobilier (travail minutieux sur le bois) -La sculpture funéraire (sculpture du couvercle d’un sarcophage, en représentant les défunts gisant) -Les objets somptuaires (petits objets précieux à transporter avec soi) -Et toujours la sculpture monumentale (décoration des bâtiments) mais suivant le style gothique. Mais elle restera tout de même très dépendante de l’architecture, qui lui

bruns et de beige où seuls les couleurs plus franches bleu/blanc/rouge apparaissent à maintes reprises dans la toile, comme un leitmotiv : drapeau, foulard et ceinture de l'homme au sabre à gauche, vêtement tricolore de l'homme agenouillé, costume du gisant à droite, le ciel, bleu et blanc avec une touche de rouge dans le blanc... Cette femme représente le combat du peuple pour la liberté, C'est une allégorie de la liberté. Le drapeau bleu blanc rouge est le symbole révolutionnaire le plus mis en

(la guerre est de tous les temps) font que ce poème dénonce toutes les guerres et rend hommage à tous les soldats morts dans toutes les guerres. Il saisit ce combattant dans une posture noble et calme : il a "la main sur sa poitrine" (13), comme un gisant de cathédrale.  Son art s'illustre avec les effets rythmiques brisés, symboliques d'une vie brisée. Habileté par laquelle il nous met sur une fausse piste, tout en nous laissant des indices, à la réelle interprétation du poème. La poésie favorise

promotion 2010-2013 Analyse de portfolio n°2 Stage n°3 DESCRIPTION DE SITUATION Madame X, âgée 92 ans est hospitalisée en SSR pour altération de l’état général suite à une chute à son domicile. Elle a été retrouvée, par son fils, à son domicile gisant au sol avec une plaie au niveau du cuir chevelu. Les pompiers l’ont conduite dans un premier temps  aux urgences puis elle a été hospitalisée en service de médecine et là l’équipe soignante s’est rendu compte qu’elle ne bénéficiait d’aucune mutuelle

témoignage des ravages causés par les bombardements est saisissante . Au premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur et sa bestialité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés (bombardements ) surplombé par un gisant, un cadavre aux yeux vides, à la bouche béante ( ouverte ) à la peau parsemée de pustules qui renvoie au retable d'Issenheim de Mathias Grunewald. Ce cadavre tend une main, dernière tentative désespérée pour obtenir l'aide des vivants dans un univers

7: prisonniers apaches (détail), 1886 Figure 8: Délégués cheyennes et kiowas à la Maison-Blanche, 1863 Figure 10: Rencontre du Général Crook et de Géronimo, 1886 Figure 11: Sitting Bull, Sioux, non datée Figure 12: Le corps de Big Foot gisant dans la neige à Wounded Knee, le 1er janvier 1891 Figure 13: Ramassage des cadavres à Wounded Knee, le 1er janvier 1891

réceptacle à son âme. La triade : Mykérinos, Hathor et une déesse. Tombe-autel Monument funéraire de Charles d'Anjou (1298-1328) Histoires des textes sacrés Tympan du portail ouest de l’église de Conques ( XIIe S) Le jugement dernier. Gisant de Richard Cœur de Lion, abbaye de Fontevraud - sculpture funéraire devient figurative - intégrer le monument funéraire à l'architecture Forme de sculpture : Art contemporain Christophe Vivant l’Introspection Haut-relief sculpture en

son regard s’égare sur quelques affiches. Devant ce brouhaha, le vide de son esprit créait un contraste. Le contraste du silence intact de son esprit et du bruit. Une dichotomie qui la plaisait. Elle se sent entre deux concepts, la vie et la mort, gisant dans une espèce d’éternité tranquille, provisoire. Elle se sentait retranchée dans une bulle au dessus de la terre. Tout partait en lambeaux. Ses convictions se diluaient, s’éteignaient, s’enfuyaient… Elle se souvenait de l’ellipse parfaite de

cette chair diaphane modelée dans l'épaisseur de la nuit : non pas une femme mais l'idée même, le symbole de toute femme, c'est-à-dire... (mais était-il encore debout, défaisant courroies et boucles avec des gestes d'automate, ou déjà couché, dormant, gisant dans le foin entêtant, tandis que l'entourait, l'ensevelissait le lourd sommeil)... sommairement façonnés dans la tendre argile deux cuisses un ventre deux seins la ronde colonne du cou et au creux des replis comme au centre de ces statues primitives