Gisant

lignes entrelacées. Les mobiliers royaux sont en bois et travaillés de manière très minutieuse. - 2.1.3 La sculpture funéraire La sculpture funéraire est figurative. Sur le couvercle des sarcophages, les défunts sont représentés, on les appelle les gisants. Comme dans la tradition romane, la sculpture en pied est en bas-relief. Le mort est représenté debout avec les yeux ouverts, puis, au fil du temps leurs yeux sont fermés. Ils ne semblent pas être morts mais plutôt endormis et paisibles. On observe

Adoniram épuisé ; demande-le à celui qui t'envoie." Comme il s'efforçait de s'ouvrir un passage, Amrou lui plongea la pointe de son compas dans le coeur. C'est en ce moment que l'orage éclata, signalé par un grand coup de tonnerre. Adoniram était gisant sur le pavé, et son corps couvrait trois dalles. A ses pieds s'étaient réunis les meurtriers, se tenant par la main. "Cet homme était grand, murmura Phanor. -Il n'occupera pas dans la tombe un plus vaste espace que toi, dit Amrou. - Que son sang

est mort. - Vers toi, j’accours! donne, ô matière, L’oubli de l’Idéal cruel et du Péché À ce martyr qui vient partager la litière Où le bétail heureux des hommes est couché, Car j’y veux, puisque enfin ma cervelle, vidée Comme le pot de fard gisant au pied d’un mur, N’a plus l’art d’attifer la sanglotante idée, Lugubrement bâiller vers un trépas obscur… En vain! l’Azur triomphe, et je l’entends qui chante Dans les cloches. Mon âme, il se fait voix pour plus Nous faire peur avec sa victoire

: viens, c'est là, dans l'ombre...". Le démonstratif "ça" et le présentatif "c'est" ont ici une valeur très négative, péjorative : ils dévalorisent celui qui chante en le rabaissant à l'état de chose, sans aucune importance, cachée dans l'ombre et gisant sur le sol. A l'approche de l'homme, l'animal craintif préfère d'ailleurs se cacher et se taire, signe déjà d'une certaine incompatibilité et incommunicabilité avec les hommes. Enfin, le chant déprécié du crapaud, c'est à dire le coassement, est suggéré

ligne rangés et à l'affût derrière leur levée de pavés, et les tirailleurs de la banlieue massés à l'angle de la rue, se montrèrent soudainement quelque chose qui remuait dans la fumée. Au moment où Gavroche débarrassait de ses cartouches un sergent gisant près d'une borne, une balle frappa le cadavre. Fichtre! Fit Gavroche. Voilà qu'on me tue mes morts. Une deuxième balle fit étinceler le pavé à côté de lui. Une troisième renversa som panier. Gavroche regarda, et vit que cela venait de la banlieue

relève des blessés. Il met en scène Otto Dix lui-même (autoportrait) qui s’est représenté extirpant un camarade blessé de l’enfer. Un soldat rampe au sol. Ce sont les survivants, témoins de cette guerre. La prédelle (panneau du dessous) représente des gisants, des corps sans vie. La forme du support s’apparente désormais à celle d’un cercueil. Cette composition met en scène la journée d’un soldat sur le front et, plus symboliquement, le cercle vicieux de la bataille qui mène inéluctablement à la mort.

fille dont il n'avait aucune nouvelle depuis 2 mois qui lui demanda de l'aide. Il parti à sa recherche. Après quelques heures de recherche en allant de lieu en lieu et en récoltant des indices il finit par retrouver sa fille étendue par terre, gisant dans son propre sang à quelques mètres de l'hôpital national. Il finit par appeler les secours et Eva Lind fut admise à l'hôpital national mais venait de perdre son bébé au septième mois de grossesse à cause de la drogue. Pendant ce temps la, l'enquete

éléments : le taureau. Le taureau est un symbole de la force brute, de la cruauté. Au milieu de la débâcle il apparaît impassible, il peut sembler protecteur mais n’en demeure pas moins indifférent. En effet, il regarde le cheval agonisant, le soldat gisant à terre, sans expression aucune. Le chœur des femmes : Trois femmes sur le coté droit de la composition forment un chœur antique, pleurant la liberté agonisante. L’oiseau : On peut faire l’analogie entre cet oiseau et la colombe biblique,

portail de l'animal qui, eux, se trouvent dans la lumière. La queue du taureau qui flotte illustre une force brute, dominatrice, une force triomphante. Quand on examine son regard, on s'aperçoit qu'il regarde à la fois le cheval agonisant et le soldat gisant à terre. Ceci confirme l'idée de domination. Néanmoins, quand on voit les oreilles et la langue pointues du taureau, on suppose que ça exprime la violence et la douleur. La bête est elle aussi concernée par la violence et la barbarie de la guerre

Utterson commence à être convaincu que c'est Hyde. Ils décident d'enfoncer la porte à l'aide d'une hache et d'un tisonnier. Ils enfoncent la porte lorsque qu'ils entendent «Utterson, pour l'amour de Dieu, ayez pitié de moi!» Ils trouvent le corps de Hyde gisant par terre, venant de se suicider. Ils trouvent une lettre de Jekyll livrant une confession à Utterson et lui recommandant de lire la lettre de Lanyon avant. Lanyon raconte qu'il a reçu un soir par la poste une lettre de Jekyll lui demandant