Git

désertique de Port Lliguat en Catalogne, on remarque sur le bureau la présence d’une montre qui dégouline sur un bureau, à coté une boussole, une autre montre qui dégouline sur un arbre mort, au centre du tableau on à l’impression de voir un cadavre qui git au sol sur lequel se trouve là encore une montre qui dégouline et au fond du tableau un paysage désertique. On peut dès lors se demander pour quelles raisons Dali peint des montres qui dégoulinent ? Pour Dali ces montres représentent la maitrise du

ensemble de personnages et d'animaux dans un espace fermé. Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle se trouve un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. Présentation

travers de la même équivalence qu’au vers 8 entre « je » et « un vieux boudoir ». L’image ici déve- loppée est celle d’une pièce, un salon, mais qui ne semble plus habité. Le lien avec la mort est à nouveau affirmé dans l’emploi du verbe « gésir », « gît », mais cette strophe insiste davantage sur l’idée que les objets qui appartiennent à une autre époque sont les seuls souvenirs et êtres encore vivants dans cet espace puisque les créations picturales sont personnifiées, « Où les pastels* plaintifs

cu cărţi gratuite de Ştiinţă Creştină*, cu mîinile neînmănuşate în buzunarele trenciului. Purta un fular de caş-mir de culoarea castanei, care, pentru că i se ridicase pe gît, nu prea îl apăra de frigul de afară. Cu un gest brusc şi oarecum distrat îşi scoase mîna dreaptă din buzunar şi se apucă să-şi aşeze mai bine fularul la gît, dar pînă să şi-l îndrepte ca lumea, se răzgîndi şi, strecurîndu-şi aceeaşi mînă pe sub imper-meabil, scoase o scrisoare din buzunarul inte-rior al sacoului. Se puse imediat

d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, avec derrière elle, un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une bougie, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme a un genou à terre. Au dessus d'elle, on distingue le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras

personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. On peut

personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras.

personnages et animaux dans un espace confiné. Guernica peut être décrit de gauche à droit, tel une frise chronologie : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. A gauche, au premier plan, gît un soldat. Sous une ampoule électrique, au centre du tableau, apparaît un cheval, se tordant de douleur. En bas à droit, est une femme levant les bras. I – Contexte artistique Picasso est né en Espagne en 1881 et il est mort en France en 1973

personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval semble se tordre de douleur. A droite, en bas, on voit une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant

grand poème fait de rien... Sifflez, ô frondes par le monde, chantez, ô conques sur les eaux! J'ai fondé sur l'abîme et l'embrun et la fumée des sables. Je me coucherai dans les citernes et dans les vaisseaux creux, En tous lieux vains et fades où gît le goût de la grandeur. « ... Moins de souffles flattaient la famille des Jules; moins d'alliances assistaient les grandes castes de prêtrise. « Où vont les sables à leur chant s'en vont les Princes de l'exil, « Où furent les voiles haut tendues s'en