Giuseppe Mazzini

Etude de texte :​  Le Guépard,  Tomasi di Lampedusa, 1958    Introduction :  L’arrivisme est un moteur de création romanesque.   Le Guépard est l’unique roman de Di Lampedusa mais c’est une oeuvre majeur de la  littérature italienne. Il décrit son milieu c’est à dire l’aristocratie sicilienne et son récit retrace  plusieurs décennies d’une histoire de grande famille, mutation sociale et politique de l’Italie  au XIX siècle.   Lampedusa analyse le déclin de la noblesse à qui il reproche sa facilité

insufflent dans toute l’Europe l’idée que la Nation et le libéralisme sont les réponses aux oppressions subies par les peuples. Ainsi, le premier document est un article, intitulé « foi et avenir » publié dans la revue Bureaux du Nouveau Monde par Giuseppe Mazzini en 1850, qui est fondateur de la « jeune Italie » en 1831 puis en 1834 de la « Jeune Europe » - regroupant les mouvements nationalistes et libéraux européens afin de favoriser la diffusion des idées- et chef de file des Carbonari, mouvement nationaliste

Kolokol. Le retour en Europe[modifier] Londres est alors, comme elle le sera souvent, la capitale de la proscription européenne. Outre Herzen et Ogarev, Bakounine y retrouve Arnold Ruge, Louis Blanc, Caussidière, et y fait la connaissance de Mazzini. Karl Marx et Friedrich Engels sont là aussi. Bakounine traduit à cette époque leur Manifeste du parti communiste (il s'agit de la première traduction de ce texte en russe)8. Bakounine pousse Herzen et Ogarev à radicaliser le Kolokol. L'influence

Par exemple, Mazzini fonde en 1831 le mouvement d’Italie dont l’objectif est d’unifier tous les États. Pour lui, l’Italie doit s’unifier car le peuple partage une langue, une culture commune. De plus, ce mouvement prend plus d’ampleur lorsque en février 1848, une révolte contre la monarchie constitutionnelle de Louis-Philipe a lieu à Paris. En effet cela entraîne des mouvements d’insurrection un peu partout dans la péninsule. Ceci entraîna, à Rome, la fuite du Pape, et après cela Mazzini proclama la

catholique et opposée à la partie Nord protestante, qui prend le nom de Belgique (1830). D’autres vont échouer. En Italie, dans les États de l'Église, des insurrections ont pour but d'exiger l'unité nationale. Elles se soldent par une répression. Giuseppe Mazzini fonde en 1831 le mouvement Giovine Italia pour continuer la lutte. Il en est de même dans la partie de la Pologne contrôlée par la Russie où l'insurrection menée pour rétablir l'indépendance échoue également. L'ordre de Vienne a été ébranlé

révolution industrielle. Enfin, la fin de la fragmentation de la péninsule en des États monarchiques soutenus par l'hégémonie autrichienne. Mais qui prendra la tête du mouvement d'unification ? Quelle sera l'architecture de la nouvelle Italie ? Pour Mazzini, le soulèvement populaire doit donner naissance à une république. Dans son ouvrage Il primato morale e civile degli Italiani (1843), l'abbé Vincenzo Gioberti prône l'idée que le pape doit régénérer l'Italie (mission civilisatrice de l'Église catholique)

contacts réciproques réguliers. Un de ces États, comprenant à peu près le quart de la péninsule appartient à l'Autriche ; les autres, quelques-uns par des liens de famille, tous par leur sentiment de faiblesse, en subissent aveuglément l'influence." MAZZINI, L'Italie, l'Autriche et le Pape, 1845. Document 3. « La division de l'Autriche en territoires nationaux est très possible. Les territoires seraient dans la plus grande partie presque homogènes. On pourrait garantir par les lois impériales les

formes du Risorgimiento : - le mazzinisme doit son nom à Giuseppe Mazzini. Il doit s'exiler à Marseille et forme le mouvement « Jeune Italie » (Giovine Italia), mouvement secret pour une République italienne, unitaire, démocratique et chrétienne. Le moyen d'y parvenir est pour Mazzini, le soulèvement du peuple contre les têtes couronnées, les Autrichiens. Italia fara da se. C'est un mouvement idéaliste au point que Mazzini pense que tous les peuples européens opprimés vont suivre leur

exilRevoir l’étude de texte de Mazzini et des carbonari. Face à cet ordre issu du Congrès de Vienne, des mouvements clandestins apparaissent pour combattre les pouvoirs monarchiques et réclamant un droit des nations à disposer d’un territoire. En Italie, c’est le cas des Carbonari qui mènent des actions clandestines et complotent contre les Autrichiens. Leurs actions sont des échecs et certains sont contraints à l’exil. C’est le cas de Giuseppe Mazzini qui trouve refuge en France

Axel ATAGAN, Lorenzo COSENZA, Riyadh Benighil, Lou MACCOU, Natacha RABINELI) L’unification de l’ItalieEn 1845, l’Italie a des aspirations à l’unification de sa nation qui est alors divisée en de nombreux états. L’Italie comporte un peuple de vingt et un à vingt-deux millions d’habitant nommé le peuple italien. Il parle la même langue, a les mêmes croyances, les mêmes mœurs et les mêmes habitudes. L’Italie dispose d’un passé glorieux politique, scientifique et artistique grâce à la Rome des empereurs