Glaive Epee

question du visage du protagoniste : « front » apparaît trois fois, « yeux » deux fois, « cils », « paupières » et « sourcil » une fois. La souffrance ressentie par le narrateur est symbolisée par des comparaisons avec des armes (« lame », « glaive », « épée »), qui certes renvoient au « couteau » de l’Arabe, mais qui sont en réalité les comparants de la lumière du soleil, le véritable agresseur. L’agression du soleil n’est pas seulement visuelle mais aussi auditive, car le narrateur sent des « cymbales

sur les paupières et les a recouvertes d’un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C’est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m’a semblé que le ciel s’ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir

d'ailleurs ce malaise avec les termes: "Me faisait mal", "je ne pouvais plus supporter", "m'atteignait", "douloureux". Ce malaise va d’ailleurs jusqu'à l'idée d'une agression avec trois images qui assimilent l'éclat de la lumière à une "lame ", "un glaive" et à "une épée". Ce caractère agressif de la lumière est renforcé par des verbes qui expriment une action instantanée et brutale : "giclé", " jaillit". Cette souffrance devient alors une véritable torture pour le protagoniste: "rongeait", "fouillait". De

progression. ( L’Expert Son sautoir se termine par une règle croisée avec une épée et un œil et il siège en tête de la colonne du Midi. Etant le gardien des rituels qu’il doit connaître parfaitement, il est chargé de les faire respecter. C’est lui qui ordonne la composition du tableau de Loge en fonction du degré de travaux tenus. C’est également lui qui, au deux premiers degrés, détruit de la pointe de son glaive, l’ordonnance du tableau de Loge. A ce titre, c’est lui qui allume et éteint les

faisait mal » (l.2-3), « je ne pouvais plus supporter » (l.4-5), à « rongeait » « fouillait »(l.19), impression d'une souffrance taraudante qui pénètre les yeux du personnage, à laquelle s'ajoute l'idée d'agression, dans le vocabulaire des armes (« épée, glaive, lame », + impression d'un assaut brutal avec les termes « giclé » ou « jailli », l.10 et 18.) Montrer que ces sensations se concentrent sur le visage de M., pour ensuite seulement crisper tout son corps, cf vocabulaire du visage, chaque mm de

sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir

aborda en silence au fond d'une rade ; un dieu nous conduisait. On débarqua. Deux jours et deux nuits nous restâmes couchés, accablés de fatigue et de douleur. Mais quand l'aurore aux cheveux bouclés amena le troisième jour, prenant ma lance et mon épée aigüe, je grimpai sur une hauteur d'où je pourrai voir les travaux des mortels, entendre des voix. Du haut du rocher, je vis monter de la terre aux chemins ouverts, à travers une forêt de chênes, la fumée du palais de Circé (...) Je divisai

fins communes. Charte de San Francisco, 26 juin 1945 De nos glaives, forgeons des hoyaux Le jardin des Nations Unies renferme plusieurs sculptures et statues qui ont été offertes par différents pays. La sculpture appelée: "De nos glaives, forgeons des hoyaux", est un cadeau de l'Union Soviétique, offerte en 1959. Réalisée par Evgeny Vutchétich, la statue en bronze représente un homme tenant un marteau d'une main et de l'autre une épée qu'il transforme en soc de charrue, symbolisant ainsi le désir

sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir

auprès d’un enfant la nuit ou l’amour maternel envers un compagnon. Mais aussi : ‘chimère’ qui est un monstre fabuleux, à tête de lion, corps de chèvre et queue de dragon, et qui crache des flammes d’où ’les flammes transpercent le cœur comme des glaives’ Le fait de donner différentes identités à cette femme permet peut être à l’auteur, qui ne l’a imaginé qu’en rêve de rêver encore plus. L’auteur cite aussi dans son poème différents objets représentant la féminité : ‘ses poignets