Glaive

(grand bouclier cintré), un glaive court et droit et une petite «ocrea» (une jambière). ->Le thrace est équipé d’un «parma» (petit bouclier très cintré), de deux grandes jambières et d’une «sica» (un glaive recourbé d’origine orientale). ->Apparaît aussi l’hoplomaque, opposé lui aussi au mirmillon. Il est équipé d’une dague courte, d’une lance, d’un bouclier hémisphérique et de deux grandes jambières.  ->Moins présent à cette époque, le «provocator», muni d’un glaive court, un casque sans cimier

Histoire des Arts Sommaire 1. Joueurs de Skat 2. Le Porte-Glaive 3. Tamatété 4. La Naissance de Vénus 5. La Bouilloire 6. Si c’est un Homme 7. Don Quichotte 8. Pauvre Petit Garçon 9. La Clepsydre Joueurs de Skat Date: 1920 Dimension : 117 x 97 cm Lieu de conservation: Neue Nationale Galerie, Berlin, Allemagne Artiste: Otto Dix, 1891-1969, peintre allemand. Nature: Huile sur toile avec photomontage et collage Mouvement: Nouvelle Objectivité, Expressionnisme Contexte/intérêt historique:

la prise en charge de soi-même. Mais revenons à l’essentiel, c’est-à-dire au « performatif », c’est-à-dire quand « la parole crée l’acte »4 : lorsque le Très Sage, glaive sur ma tête déclare solennellement « que l’esprit vous éclaire ! », puis glaive sur l’épaule gauche « que le feu du courage enflamme votre cœur ! », ensuite, glaive sur l’épaule droite dit « que la Foi, la Charité et l’Espérance vous fassent bénir des hommes, vos Frères ! », il procède à la consécration définitive du Chevalier R+C

et pour en finir avec lui, hercule décoche des flèches sur le lion. Seulement la peau du lion est intranspercable, hercule ramasse une branche d’Olivier et l’assomme, il le ramène alors dans sa caverne pour l’étouffer avec ses jambes. Seulement son glaive ne permettait pas de couper un morceau de la peau du lion comme preuve, il utilise alors la griffe du lion pour lui prélever de sa peau. 2) Tuer l’hydre de Lerne : l’hydre arrivait par le rivage de Lerne et tuait les hommes, il est aussi le fils de

métonymies liées à la représentation du couteau dans le texte sont les suivantes : “c’était comme une longue lame étincelante qui m’atteignait au front” , “la lumière a giclé sur l’acier”( métonymie) , “glaive éclatant jailli du couteau”, “cette épée brûlante” : le couteau est comparé à une épée , un glaive, une longue lame : d’autres armes blanches, mais plus longues, plus anciennes. Le jeu des ombres et des reflets produit en Meursault cette impression d’extension du couteau. 2. La sueur est évoquée

Quand nous nous sommes posées la question de « qu’est-ce que la justice ? », les premiers mots et images qui nous sont venus à l’esprit ont été « Thémis » avec le glaive tranchant et la balance, « tribunal », « juges/magistrats », « marteau » pour trancher les décisions et les couleurs rouge, noir et blanc qui rappellent le code civil et les robes des juges. De plus, nous avons pensé à la prison, au respect, à l’autorité, à la Constitution mais aussi au fait que la justice est un langage compliqué

sentais plus », « indistinctement », « il m’a semblé ») ; il est seulement sensible à l’action abrutissante du soleil (métaphore « les cymbales du soleil », 11 battements de son cœur qui deviennent très puissants ?) ; le couteau devient énorme : « glaive » (12), « épée » (12). C’est ainsi qu’il perçoit l’attitude de l’Arabe comme provocatrice : « Peut-être à cause des ombres sur son visage, il avait l’air de rire » (3), et l.8-10 ; la comparaison l.10 montre qu’il se sent agressé. Ce n’est qu’à la

épais et ardent ». Un soleil insupportable par la brulure qu'il occasionne, qu'il inflige, insoutenable par la lumière, l'intensité de son éclat étincelant, éclatant. Une lumière au caractère agressif que les métaphores du glaive ou de l'épée souligne parfaitement : « le glaive éclatant jailli du couteau...cette épée brulante rongeait... ». On a un soleil qui devient douleur et souffrance. On avait déjà vu ce cas dans le chapitre 1. La souffrance est comparable à une torture. Une souffrance qui n'épargne

Jules César franchissait le Rubicon emmenant derrière lui son armée de | |légionnaires. A la conquête de la Gaule ou de l'Italie, l'empereur menait ses armées glaive au poing ! Appelé "gladius", le glaive donna son nom aux | |"gladiatores", signifiant littéralement "armés d'un glaive". A l'image de cette superbe reproduction en métal du GLAIVE DE CÉSAR, le "gladius" était une| |courte épée avec lame droite à 2 tranchants, permettant de frapper aussi bien d'estoc que de taille. Longueur : 74 cm.

d’un seul, bien que des terres soient gardées par ses légions, bien que les mers soient gardées par ses flottes, bien que le soldat de César assiège nos portes, Caton a par où sortir. C’est par ma main seul qu’il fera à sa liberté un large chemin. Ce glaive que voici encore pur de la guerre civile et sans souillure, mettra au jour des œuvres enfin bonnes et nobles : la liberté qu’il n’a pas pu donner pour se patrie, il la donnera à Caton. Attaque toi, oh mon âme, à une œuvre longtemps méditée. Arraches