Glaive

qui m'étreint, qui me brûle et entame. Pour briser donc, pour éteindre et guérir Ce dur lien, cette ardeur, cette plaie, Je ne quiers fer, liqueur, ni médecine: L'heur et plaisir que ce m'est de périr De telle main ne permet que j'essaie Glaive tranchant, ni froideur, ni racine. Introduction I) Un poète dont le coeur est prisonnier par celle qu'il aime II) Le mal qui est « a-doré » par le poète III) La femme inaccessible Conclusion Le poème étudié ici correspond à un sonnet

savent pas mais leur destin est déjà tout tracé par les Dieux. S’ils ont été, formé depuis leur plus jeune âge c’était pour un jour faire leurs preuves dans un tel duel. Le combat sera sanglant, les lances seront brisées, les clipeus explosés, les glaives scindés en deux, ce combat épique restera gravé dans la mémoire du Monde pour les milliers d’années à venir. Seul un des trois frères reviendra avant de faire, une à une, tomber les têtes de ses curiaces ennemis, et de faire couler “son propre sang”

jusqu’aux années 1970. Dans cet écrit on peut lire notamment la théorie du glaive et du bouclier. C’est une thèse présentant, après la Seconde Guerre mondiale, le général De Gaulle et le maréchal Pétain agissant de concert pour défendre la France, l’un comme le bouclier (Pétain) préservant la France au maximum, y compris par une politique de collaboration qui n’est dans cette thèse que simulée, en attendant que le glaive (De Gaule) soit suffisamment fort pour vaincre l’Allemagne nazie.

les boire et les casser Et toutes les vitrines et toutes les rues Et toutes les maisons et toutes les vies Et toutes les roues des fiacres qui tournaient en tourbillon sur les mauvais pavés J’aurais voulu les plonger dans une fournaise de glaives Et j’aurais voulu broyer tous les os Et arracher toutes les langues Et liquéfier tous ces grands corps étrangers et nus sous les vêtements qui m’affolent… Je pressentais la venue du grand Christ rouge de la révolution russe… Et le soleil

un chromatisme orangé : ciel tourmenté, aurore enflammée, explosions. Démarcation parfois marquée par une ligne qui évoque un horizon. Personnage de face : Émergeant à mis corps entre l’ombre et la lumière. Armé : fusil, mitraillette, épée, glaive, … Regard du héros qui fait face à son destin tout en interpellant le spectateur : Regard qui exprime la tension et la concentration du héros. Regard assuré et clairvoyant, qui distingue le bien du mal. Les affiches des films aventure, western

leurs diadèmes, Leurs préjugés et leurs systèmes, Tout tordus par ses fortes mains ! Paris, qui garde, sans y croire, Les faisceaux et les encensoirs, Tous les matins dresse une gloire, Eteint un soleil tous les soirs ; Avec l'idée, avec le glaive, Avec la chose, avec le rêve, Il refait, recloue et relève L'échelle de la terre aux cieux ; Frère des Memphis et des Romes, Il bâtit au siècle où nous sommes Une Babel pour tous les hommes, Un Panthéon pour tous les dieux ! Ville qu'un

malaise par les termes tels que « Me faisait mal », « je ne pouvais plus supporter », « m'atteignait », « douloureux ». Ce malaise va d’ailleurs jusqu'à l'idée d'une agression avec trois images qui assimilent l'éclat de la lumière à une « lame », « un glaive » et à « une épée ». Ce caractère agressif de la lumière est renforcé par des verbes qui expriment une action instantanée et brutale : « giclé », « jaillit ». Cette souffrance devient une véritable torture : « rongeait », « fouillait ». De plus

que j’ai demande a mon parrain si il connaissait la Franc Maçonnerie. A force de lui en parle il me fit rentre apprenti macon. Au bout du troisième voyage j’ai commence a me demande ce que je faisais la. Mais lorsque j’ai vu la lumiaire et tous ces glaives tournes vers moi j’ai eu peur. Mais j’ai très vite compris que j’étais entre dans une très grande famille qui me soutiendra toujours. J’ai alors voulu être digne de tous ces frères qui m’on accepte parmi eux, en travaillant m’a pierre brute pour la

parle plus du soleil que de l’arabe) B/ La souffrance physique Meursault ce défend car il endure une souffrance physique *sensation mis en avant durant tout l’extrait « Mes yeux douloureux » ; « rideaux de larmes » *Souffrances et comparé a des armes (glaive ; lame ; épée) *Agression du soleil et aussi auditive « Cymbales du soleil sur mon front » II-Un personnage dominé par son destin A/ enchainement événement inéducables Le soleil et à l’ origine de cette enchainement B/ Un personnages qui subit

la paix. •        Le bouclier et l’armure pour la protection. •        La couronne de laurier pour le prestige et la victoire. •        Le drapeau tricolore pour la nation française. Il faut ici en déduire les intentions pacifique (le glaive est dans son fourreau) de la France qui vient protéger (armure, bouclier) et développer (progrès , civilisation, commerce) les peuples colonisés. Marianne est accompagnée d’explorateurs de différentes époques. Cela souligne l’ancienneté de l’entreprise