Glasnost Et Perestroika

partir de 1985, Mikhaïl Gorbatchev, le nouveau secrétaire général du PCUS, lance un programme de réformes pour tenter de redresser économiquement le pays. La perestroïka (« restructuration ») accorde une certaine autonomie de gestion aux entreprises, responsabilise des citoyens habitués jusque-là à obéir et favorise les initiatives privées. La glasnost (« transparence ») abolit la censure et donne aux dissidents, comme Andreï Sakharov, la possibilité de s'exprimer. En 1989, l'URSS se retire d'Afghanistan

[dépenses militaires = 20% du PNB] La Perestroïka (restructuration économique): - autonomie des entreprises d’Etat et développement d’un secteur privé (agriculture, commerce) - mais l’Etat fixe toujours les prix, la production diminue, les magasins sont atteints de pénurie, le mécontentement de la population augmente (incompatibilité entre économie étatique et économie de marché,échec économique [croissance 0% en 1989, -10% en 1991] ). La Glasnost (transparence): - libération des dissidents

l’URSS au bord de la faillite (ne peut plus soutenir le coût de la course à l’armement). Arrivé au pouvoir en URSS en 1985, M. Gorbatchev veut en finir avec un affrontement qui épuise économiquement son pays et met en place des réformes (Perestroïka + Glasnost). En 1989, l’URSS affaiblit doit accepter la chute du rideau de fer, et le 9 novembre, la chute du mur de Berlin. Celle-ci entraîne la réunification de l’Allemagne en octobre 1990. Lors de la conférence de Paris en novembre, soviétiques et

1980 et 84 par les USA puis URSS 1983 : Crise des euro-missiles 1985 : Gorbatchev arrive au pouvoir change la donne Renoue avec une politique de désarmement, se rapproche des États-Unis et lance une série de grandes réformes internes ( Glasnost et Perestroïka) 1989 : Chute du mur de Berlin 1991 : dissolution de l’URSS III) De nouvelles formes de conflictualités et de nouvelles formes de relations internationales depuis 1991 : En 1991, les États-Unis se trouvent seule grande puissance

pénuries, les blocages et la corruption. Il prononce en 1986 un discours lors du XXIIe congrès du PCUS. "Perestroïka" L'idée de Gorbatchev est d'aboutir à un progrès social, économique avec plus d'initiatives donné aux industries et davantage de transparence dans la démocratie. Il veut développer le secteur privé et encourager les investissements étrangers. Le 2e aspect de cette politique est la Glasnost: suppression de la censure, libre accès à l'information. Les réformes de Gorbatchev restent dans le

du bloc de l’Est et de l’URSS par victoire par KO du modèle capitaliste incarné par les EU (89-91) L’été 89 est perçu comme l’été de la liberté car la politique de Gorbatchev, secrétaire général du PCUS, de restructuration (la Perestroïka) et de transparence (la Glasnost) est vécue comme une détente et provoque une accélération de l’histoire en Europe de l’Est. Le 9 nov. 89, les autorités est-allemandes se résignent à ouvrir le mur de Berlin. Suite à cela, tous les régimes communistes de l’Europe

prenions pas forcément au sérieux, comme la découverte du nucléaire par Oppenheimer. Conclusion : Ce chant est un appel à la paix qui est d'ailleurs prémonitoire car peu de temps après, Gorbatchev lance de grandes réformes : le Glasnost (transparence) et la Perestroïka (reconstruction), pour la paix avec les Etats-Unis : l'URSS arrive au bout de son histoire. Lien : Nous avons choisi de mettre cette chanson de Sting en en lien avec la chanson « Enola Gay », d’Orchestral Manœuvres in the dark (OMD)

de démocratie mais action de l'URSS 1982 : Meurt de Brejnev 1983 : Crise des Euromissiles = Missiles Pershing par Reagan contre SS 20 soviétiques 1985-1989 : Détente Mars 1985 : Arrivée de Gorbatchev au pouvoir, il lance la perestroïka (polit éco) et la glasnost (plus de libertés) 1987 : Traité de Washington = destruction des euromissiles 9 Novembre 1989 : Chute du mur de Berlin 1988-1989 : Armée rouge se retire en Afghanistan/ Fin d'approvisionnement des zones de tensions par les deux

Document 1 : « La politique soviétique en Europe de l’Est en 1989 » À l’issue de 1989, année mémorable, […] il semblerait que l’initiative la plus lourde de conséquences prise par le Grand Initiateur, Mikhaïl Gorbatchev, ne soit ni la glasnost ni la perestroïka, ni aucune autre de ses décisions à l’intérieur de l’URSS, mais la « doctrine Sinatra (1) » (ainsi que l’a surnommée, avec une certaine désinvolture, son toujours alerte porte-parole Guerassimov). « Je l’ai fait à ma façon, qu’ils fassent

l’URSS par des programmes : « Glasnost » et « Perestroïka ». Ce dernier annonce qu’il retire ses soldats d’Afghanistan et convainc son peuple, c’est un homme honnête. Il ne souhaite plus d’interventions militaires dans les pays du bloc de l’est. Il se veut pacifiste et reçoit le Prix Nobel de la Paix car il a retiré ses troupes de l’Afghanistan. Il laisse la liberté de presse et donc des avis critiques. Glasnost = transparence, liberté d’expression et de presse Perestroïka = restructuration de l’économie