Glasnost Et Perestroika

les pays frères d'obtenir de plus en plus d'indépendance. Leurs économies protégées n'ont pu s'adapter aux nouvelles technologies et son totalement dépassées. En 1985, Mikhaïl Gorbatchev arrive au pouvoir et engage la Perestroïka, la reconstruction, dans un soucis de Glasnost, de transparence. Le désir de réformes et de liberté est trop fort et la machine s'emballe, le système soviétique s'effondre. Moscou est incapable de s'opposer aux mouvements qui se développent dans les démocraties populaires

l’installation de fusées Pershing en R.F.A.. Ce n’est que dans un second temps que R. Reagan va appliquer son premier point (« Nous négocierons pour elle » (l. 7)) quand M. Gorbatchev arrive à la tête de l’U.R.S.S. et accomplit sa politique de pérestroïka et de glasnost : l’ennemi de la bipolarisation devient moins dangereux et le désarmement peut reprendre (Accords de Washington signés en 1987 sur l’armement nucléaire). Par rapport à la question iranienne, les Etats-Unis vont interrompre définitivement

de l’Est se sont effondrés, c’est autant parce que la vieille gauche avait perdu tout appui populaire que parce que Mikhaïl Gorbatchev avait entrepris de sauver son régime en liquidant Yalta et en entreprenant une libéralisation interne (perestroïka et glasnost). Gorbatchev réussit à liquider Yalta, mais pas à sauver l’Union soviétique. Abasourdis et déconcertés par cet effondrement soudain, les États-Unis n’ont pas su en gérer les conséquences. La chute du communisme signifia aussi celle du libéralisme

visites officielles (1989 : visite de Gorbatchev juste avant les évènements de Tien An Men). Conditions créées pour l’effondrement de l’intérieur de l’URSS : lance une restructuration économique (Perestroika) : parenthèse sur le communisme. Il veut réformer le système. Libéralisation politique (glasnost = transparence)  Révolutions de juin à décembre 1989 permise par cet espace de liberté laissé : Pologne, Hongrie, Tchécoslovaquie (révolutions engagées par les gouvernements) + RDA, Bulgarie, Roumanie

part des démocraties populaires. Gorbatchev: Il est à l'origine de la fin des démocraties populaires et même de l'URSS. En effet, soucieux de redonner vie à un système moribond, il tente de rétablir la situation en libéralisant l'économie (Glasnost Perestroïka) et en faisant tomber la pression et laissant de la liberté aux démocraties populaires, qui en profiteront pour se libérer totalement de l'étau soviétique.

Critiques: gaspillage, lopins de terre indiviuels produisaient autant que les kolkozes. 1965 réforme LIBERMAN cherche a augmenter l'autonomie des entreprises, augmenter qualité des produits , échec puis en 1985 réforme de GORBATCHEV , pérestroÏka , glasnost, sortent de socialisme de marché avec une certaine privatisation des entreprises et un retour a la vérité des prix ; le marxisme a eu des modifs diverses : Chine (autonomie des régions ) , Yougoslavie (Tito) : en plein régime collectiviste

« datsha » 1849; mot russe signifiant «  ♦ Maison de campagne russe, aux portes d'une grande ville. » • domovoï, (s. m. inv.), du russe domovoï, de dom, maison. • douma, (s. f.), 1831; du russe duma signifiant « assemblée». G • glasnost, (s. f.), 1986; mot russe, de glasny signifiant « rendu public »[1]. • goulag, (s. m.), 1974; acronyme russe, de Glavnoïé Oupravlenié Lagereï[1]. H • hourra ou hurrah, (s. m.), 1814; houra 1722; de l'anglais hussa, du russe hurrah

Gorbatchev contrairement à ses prédécesseurs il est conscient de l’impasse dans laquelle se trouve le modèle soviétique. Il souhaite réformer son fonctionnement mais veut garder le communisme. Son programme se résume ainsi : 1. Transparence (Glasnost) 2. Perestroïka, c'est-à-dire restructuration économique et sociale. 11 Gorbatchev crée ainsi une dynamique. Sa vision de paix et ses idéologies de réforme démocratique le mettent sous pression. Son plan d'instaurer la démocratie en créant un parlement

(Soviétiques rencontrent des difficultés sur tous les fronts de la compétition avec l’Ouest, alors que le conflit afghan révèle clairement les limites de leur puissance) => s’engage dans la voie d’une relative démocratisation de la vie politique (Perestroïka) => politique étrangère centrée sur la question du désarmement (reprise du dialogue direct à la conférence de Genève en novembre 1985 aboutit au traité F.N.I. en décembre 1987) => hostilité des pays européens (toujours en première ligne face aux

de Mikhaïl Gorbatchev. Celui-ci veut restaurer la puissance de l’URSS à travers un certain nombre de réformes : En URSS : perestroïka (« restructuration » = refonte partielle des structures économiques au moyen d’une ouverture relative aux investissements étrangers, soustraire une part de l’économie au monopole de l’Etat pour créer un « marché socialiste régulé ») et glasnost (« transparence » = réformes politiques visant une démocratisation mais sans fin du rôle dirigeant du PCUS) ; Avec les Etats-Unis