Glasnost

au bord de la faillite (ne peut plus soutenir le coût de la course à l’armement). Arrivé au pouvoir en URSS en 1985, M. Gorbatchev veut en finir avec un affrontement qui épuise économiquement son pays et met en place des réformes (Perestroïka + Glasnost). En 1989, l’URSS affaiblit doit accepter la chute du rideau de fer, et le 9 novembre, la chute du mur de Berlin. Celle-ci entraîne la réunification de l’Allemagne en octobre 1990. Lors de la conférence de Paris en novembre, soviétiques et américains

Boycotte JO 1980 et 84 par les USA puis URSS 1983 : Crise des euro-missiles 1985 : Gorbatchev arrive au pouvoir change la donne Renoue avec une politique de désarmement, se rapproche des États-Unis et lance une série de grandes réformes internes ( Glasnost et Perestroïka) 1989 : Chute du mur de Berlin 1991 : dissolution de l’URSS III) De nouvelles formes de conflictualités et de nouvelles formes de relations internationales depuis 1991 : En 1991, les États-Unis se trouvent seule grande puissance

ampleur : vigoureuse restructuration (« pérestroïka ») du système économique soviétique – pour permettre, entre autres, à l’URSS de faire face aux nouveaux défis américains dans la course aux armements et une information plus transparente (« glasnost ») pour favoriser l’implication de la population dans les réformes économiques. Celui-ci engage son pays dans une vaste réforme politique et économique. Il décide par ailleurs de renouer les liens avec les Etats-Unis. De son côté, Reagan

Mikhaïl Gorbatchev arrive au pouvoir en URSS après de nombreux responsables staliniens. Il décide d’entamer de nouvelles relations avec l’Ouest, mais aussi avec l’Est et à l’intérieur de l’URSS qu’il souhaite profondément réformer (Perestroïka et Glasnost). Tout se passe entre fin 89 : Chute du Mur de Berlin, (fin du communisme en Europe de l’Est) et fin 91 (fin URSS) de nouveaux Etats apparaissent à la place de l’ancienne URSS (15 nouvelles républiques), c’est la Russie avec la CEI (Communauté des

Traité concernant la limitation des armes 1980 - août : la Pologne reconnaît le syndicat libre Solidarnosc • La fin de la guerre froide 1985 - mars : Gorbatchev secrétaire général du P.C.U.S. Il lance la Perestroïka (restructuration) et la glasnost (transparence). - septembre : Gorbatchev accepte des accords de limitation des armements 1985  - Création de l’espace Schengen 1986 - Acte Unique Européen 1987 - décembre : signature à Washington du premier traité de désarmement portant

réformes pour tenter de redresser économiquement le pays. La perestroïka (« restructuration ») accorde une certaine autonomie de gestion aux entreprises, responsabilise des citoyens habitués jusque-là à obéir et favorise les initiatives privées. La glasnost (« transparence ») abolit la censure et donne aux dissidents, comme Andreï Sakharov, la possibilité de s'exprimer. En 1989, l'URSS se retire d'Afghanistan ; la guerre, devenue impopulaire, coûte trop cher pour un pays menacé de faillite. Gorbatchev

Déficit commerce extérieur (on recommence à acheter à l’Ouest), pénurie… Gorbatchev n’apporte pas de solutions. Mécontentements de la population. C. Réforme radicale XXVIIème congrès. Gorbatchev annonce réforme radicale basée sur : * Glasnost Idée de « publicité » au sens de rendre public, de rendre transparent. C’est la liberté de l’information. Libération de la censure. Mot utilisé dans l’empire russe. Lorsqu’il reprend ce mot, il reprend des revendications de longs termes et cette

de l’URSS par victoire par KO du modèle capitaliste incarné par les EU (89-91) L’été 89 est perçu comme l’été de la liberté car la politique de Gorbatchev, secrétaire général du PCUS, de restructuration (la Perestroïka) et de transparence (la Glasnost) est vécue comme une détente et provoque une accélération de l’histoire en Europe de l’Est. Le 9 nov. 89, les autorités est-allemandes se résignent à ouvrir le mur de Berlin. Suite à cela, tous les régimes communistes de l’Europe de l’est s’effondrent

pourrait être victime d’une guerre américano-soviétique c’est-à-dire qui n’est pas la leur. À partir de 1985, le nouveau premier secrétaire du PCUS, Mikhaïl Gorbatchev, met fin à la politique soviétique dite « doctrine Brejnev », et promeut la glasnost (transparence) qui favorise la liberté d'expression . En Pologne, des élections semi-libres sont organisées en août 1989, le premier gouvernement non-communiste du bloc de l'Est en sort vainqueur. Gorbatchev garantit aux dirigeants hongrois que

production ni au régime du parti unique. Pour échapper à la pression du Parti, hostile aux réformes, Gorbatchev se fit élire démocratiquement à la présidence de l'URSS, ce qui lui donna plus de légitimité. La politique de la perestroika et de la glasnost eurent des répercussions immédiates dans les démocraties populaires. D'autant que Gorbatchev, qui cherchait des appuis à sa politique, encouragea leur évolution vers plus de liberté. En octobre 1989, il annonça la fin de la doctrine Brejnev et affirma