Glaucome

l'interrompt pour la questionner. Le "courant" a été coupé et le vision s'est arrêtée. Tout s'est avéré exact. L'oncle du psychiatre, l'homme à la barbe blanche, était décédé. Arrivé chez le défunt, on a constaté que son épouse souffrait d'un double glaucome. Le médecin traitant a prescrit l'application de sangsues et notre ami psychiatre, veillant sa tante, a fait dégorger les sympathiques petites bêtes toute la nuit. Il avait en effet les mains couvertes de sang. Revoyant quelque temps plus tard

médecine se dotera prochainement de "mesureurs de pression", capables par exemple de mesurer la pression pulmonaire et ainsi d’adapter le rythme de l’aide respiratoire au rythme du patient ou de mesurer la pression oculaire, indicatrice d’un éventuel glaucome ou bien encore de suivre l’activité des neurones, impliqués dans les maladies neuro-dégénératives. De même, on peut concevoir un appareil miniature implanté à demeure capable de mesurer le taux de sucre dans le sang et d’injecter si besoin une dose

identifier l’emplacement précis de l’arrêt et à indiquer le numéro et la destination des lignes qui y passent. Pour faciliter l’identification des lignes par les personnes souffrant de troubles de vision plus importants (comme les cataractes, le glaucome et la dégénérescence maculaire), la STL a augmenté significativement la grosseur des chiffres qui indiquent le numéro de la ligne. De plus, le contraste entre les chiffres et le fond du panneau a été considérablement augmenté. La visibilité et la

les sujets ; l’état d’équilibre est atteint en 1 à 4 semaines ; Les effets secondaires sont souvent importants : -Effets anticholinergiques : vertiges, diplopie, sécheresse de la bouche, constipation ; il faut donc l’éviter dans le glaucome et l’adénome prostatique, -effets cardio-vasculaires : tachycardie, hypotension orthostatique parfois importante, De fortes doses longtemps aggravent toujours une insuffisance cardiaque préexistante. - psychiques : excitation, levée

néo-natale (y compris l'incompatibilité fœto maternelle), |Le rachitisme, | |La cataracte congénitale,; le glaucome congénital, |Les otites | |La crise d'asthme,

à une lésion, à un dysfonctionnement cérébral ou à une lésion physique Rectocolite hémorragique évolutive Maladies du tube digestif Maladies de Crohn évolutive Tumeurs malignes et affections malignes du tissu lymphatique ou hématopoïétique Glaucome chronique Maladies ophtalmiques Rétinopathie diabétique Affections longues et coûteuses Transplantation d'organes Moelle osseuse Valvulopaties rhumatismales Cardiopathies congénitales Maladies coronaires Pause Pace Maker Chirurgie cardiaque

rétrécissement du diamètre pupillaire ou myosis qui diminue la quantité de la lumière qui parvient à la rétine; • une moins bonne efficacité des réponses de contraction et de dilatation pupillaire aux changements d'éclairage. Angle irido-cornéen Le glaucome survient quand il existe un obstacle à l'écoulement de l'humeur aqueuse sécrétée par le corps ciliaire. Il n'est pas l'apanage du sujet âgé mais sa fréquence augmente très nettement après 50 ans. Il met en jeu le pronostic fonctionnel car l'hyperpression

connaissance, et engendrer des chutes [tableau VI]. Les principales pathologies chroniques augmentant le risque de chuter sont : – les affections de l’appareil locomoteur (arthrose, déformations des pieds…) ; – les troubles sensoriels (cataracte, glaucome, troubles de la proprioception* polyneuropathies*…) ; – les affections neurologiques (conséquences d’un accident vasculaire cérébral, maladie de Parkinson…) ; – les troubles cognitifs* et les démences* ; – la dépression ; – l’incontinence urinaire

Hydroxyzine(Atarax®) Cétirizine(zyrtec®) bloquant la dégranulation des mastocytes: Kétotifène (Zaditen®). Urticaires cholinergiques +/-. Méquitazine(Primalan®) Lévocétirizine CI: adénome de la (Xyzall®) Loratadine(Clartec®) Desloratadine(Aerius®) prostate, glaucome ⇒ Association d’un antiH1 de 2ème génération le matin et d’un antiH1 1ère génération le soir (Atarax®). Indications U. aigue U. chronique récidivante ou idiopathique: Œdème de Quincke: Urgence →Réanimation AH1 1cp/j pdt 10 à 15j 2 AH1 ttt minimum

plutôt presbyte, d’après ce qu’il avait lu, et si l’on était myope, ça s’atténuait Peut-être que ce n’était pas du tout d’une myopie classique qu’il souffrait, mais d’une affection à laquelle des lunettes ne pourraient rien : une cataracte, un glaucome, un décollement de la rétine, un cancer de l’œil, une tumeur au cerveau qui comprimait le nerf optique… Il était tellement occupé par cette idée atroce que des coups de klaxon réitérés ne parvinrent pas vraiment jusqu’à sa conscience. Ce n’est