Globalisation De La Richesse Et De La Pauvreté

L'économie mondiale est globalement en croissance. Mais cette croissance cache de profondes inégalités de développement entre les pays. I - Mesurer le développement 1) Indicateurs de richesse - a - Le PIB Rappel : le PIB, calculé à partir de la somme des valeurs ajoutées, permet de mesurer la création de richesse dans un pays. On calcule aussi le PIB par habitant, qui permet d'évaluer le niveau de vie du pays. - b - Le stocks de capitaux Instrument de mesure proposé par la Banque Mondiale.

niveau mondial b) Mondialisation de production : Les entreprises produisent et se concurrencent à 1 niveau mondial, ce sont des multinationales. Elles concoivent/produisent/commercialisent comme si le monde etait qu'1 seul pays. c) Globalisation financière : Constitution d'1 vaste marché de capitaux : finance direct sur les marchés internationaux (pas d'intermediaires financiers) 3/ Conséquences de la mondialisation Emergence d'entités régionales (UE,ALENA...) qui renforcent la

1er mai 2005 à Chicoutimi, Ville de Saguenay, Québec. [pic] Table des matières Introduction I. Clarification des concepts de mondialisation et des concepts du même univers sémantique. 1.1 Mondialisation 1.2 La globalisation 1.3 Technoglobalisme II. Les grands défis des inforoutes de l'information dans le contexte de la mondialisation. III. L'ONU et la numérisation. III.1 Mondialisation et réduction du fossé numérique III.2 L'ONU et la mondialisation

des avantages. L’un des aspects négatifs de la globalisation est le renforcement des inégalités entre les pays développés et les pays sous-développés. Grâce aux grandes Entreprises multinationales, les premiers vont exploiter les ressources naturelles des seconds. Même au sein du même pays, les disparités sociales vont s’accentuer. La richesse va se limiter dans les mains d’une minorité. Cela aura pour conséquence l’accroissement de la pauvreté dans le monde. Le problème de chômage va s’aggraver

violente. Des trusts ont été formés qui détiennent une grande partie des actions des sociétés qu'ils considèrent comme les meilleures. Ces trusts auront une action régulatrice. J'estime toutefois qu'une crise pointe aux Etats-Unis. Des sources de richesse sont taries. Les agriculteurs se plaignent ; la situation du textile est difficile. Il y a surproduction d'automobiles ; les stocks s'accroissent faute de débouchés, et un ralentissement dans la production automobile atteindra directement les industries

guerre mondiale et a la globalisation des échanges internationaux, l’on aurait pu imaginer la réalisation d’une utopie, chimère entre l’ile des esclaves de Marivaux et l’Eldorado dans Candide de Voltaire. Mais ne nous enflammons pas, l’essence d’une utopie est son coté imaginaire et irréalisable. Ainsi, notre société actuelle se rapproche plus de l’antithèse utopique; les écarts de conditions de vie sans cesse grandissant nous éloigne du modèle de Marivaux et la pauvreté du tiers-monde et de certaines

N/S III--- Fondement Futur de la Coopération N/S IV--- Formes possibles de la Coopération N/S V --- Conclusion VI--- Bibliographie INTRODUCTION Le monde se partage en 4 catégories de sociétés par effet combinatoire de la richesse et du développement. On rencontre alors des pays : riches développés , pauvres développés, riches sous développés et pauvres sous développés. La position géographique et l’analogie de certains critères ont abouti aux notions de : pays du nord

utilisent un des ressorts essentiels, le pouvoir des médias et de la communication, les ONG se fédèrent en réseaux planétaires grâce à l’utilisation d’Internet. Elles imposent la vision nouvelle d’un monde interdépendant, où les grandes questions – pauvreté, santé, environnement – doivent être appréhendées de manière globale. Le Sommet de la Terre (Rio, 1992) inaugure ainsi l’ère du développement durable. Le réseau plutôt que le territoire Mais l’apparente unification de l’espace planétaire cache

pays, a pour but de « promouvoir la coopération monétaire internationale, de garantir la stabilité financière, de faciliter les échanges internationaux, de contribuer à un niveau élevé d’emploi et à la stabilité économique et de faire reculer la pauvreté ». Il soutient les pays connaissant des difficultés financières en leur octroyant des prêts afin de garantir leur solvabilité (pour les dépenses primordiales, comme les salaires des fonctionnaires, le paiement des fournisseurs,…) tout en s’assurant

Mondialisation, croissance et pauvreté Exposé réalisé par : Mlle. K. MOUZIENE Selon les chiffres du Commissariat au plan, le taux de pauvreté est passé de 16,5% en 1994 à 14,2% en 2004. Mieux encore, selon les équipes d'Ahmed Lahlimi, "le taux de pauvreté national a décliné de près de quatre fois depuis 1960. Ce déclin a été de 5,5 fois en milieu urbain et de 2,7 fois en milieu rural". Cette embellie résulte, toujours selon Lahlimi, de l'amélioration des conditions de vie. Les