Globalisation Financière économie Réelle

LA MONDIALISATION Définition : Le mot « mondialisation » vient de l’Américain  «  Globalisation  » ; La globalisation sous-entend des effets, des impacts dans tous les domaines (économie, culture, politique). La Mondialisation c’est donc les relations et les connexions entre les différents états du monde. Elle a connu une accélération à partir des années 90 c’est-à-dire la fin de guerre, la chute du mur de Berlin, l’explosion de l’URSS. La mondialisation c’est aussi une hiérarchisation Nord-Sud

croissante des économies 1) Définitions: - Mondialisation: c’est le processus d’internationalisation des échanges (on échange de plus en plus de biens et services avec l’étranger), de la production (les biens sont produits à l’étranger) et de la finance (on achète et on vend de plus en plus d’actions étrangères). - Internationalisation: c’est le processus par lequel un pays tend à consacrer une part de plus en plus importante de sa production à l’étranger. - Globalisation: elle décrit l’aspect

la naissance du système monde . Ces conditions sont créées par les migrations des hommes , et la diffusion des innovations entre ces noyaux de peuplement. Dès l'Antiquité , la construction de grands empires commerçants à façonner sur certaines économies marchandes régionales. On observe des flux de richesses d'hommes et la diffusion d'innovations est lente , les mentalités sont difficilement changeables. Deuxième période XV au XVIII siècles : il faut attendre les grandes découvertes pour assurer

« Acteurs, histoire, territoire et la recherche d’une économie politique d’un développement durable » de Jean-Philippe Peemans » Compte Rendu 1. Carte d’identité de l’article Peemans, J-P. (2010) «Acteurs, histoire, territoires et la recherche d’une économie politique d’un développement durable », Mondes en développement n° 150, volume 38/2, édition Cairn p.23-48 (http://www.cairn.info/publications-de-Peemans-Jean-Philippe--58852.htm) 2. Contexte et présentation de l’auteur Jean-Philippe

prévisions de la demande client et non pas les demandes clients réelles qui vont servir à planifier le dimensionnent des stocks, du plan de production et des ressources nécessaires à la fabrication des produits. C’est le contraire des flux tirés [pic]   2)-Les flux tirés Le flux est dit tiré quand les quantités à produire de chaque référence sont définies par la demande du client. Ce sont donc les demandes clients réelles qui vont servir à planifier le dimensionnent des stocks, du plan

marché ». L’intervention de l’Etat sur les marchés doit se cantonner à maintenir les règles de la concurrence pure et parfaite. Jusqu’à la 1ère Guerre mondiale : Etat Gendarme 1929 : crise boursière financière et économique à force de spéculation l’économie financière était plus importante que la réelle : bulle (plus de réalité) Crise des entreprises qui a entraîné une crise de la production et donc une crise globale des marchés. Keynes = Etat providence : soutien de la demande, les libéraux vont s’opposer

À partir de ces constats, dessinant une paix aux contours fragilisés voire chahutés, il est proposé que le politique reprenne avec force l’initiative. Dépassant le stade de la globalisation pour rejoindre celui d’universalisation du monde, il proclamera solennellement l’existence et la reconnaissance d’une « commune humanité » comme valeur mondiale partagée. Il s’agit là pour le XXIème siècle de faire le pari de la confiance en une humanité commune forgeant l’unité dans le respect de la pluralité

que ce soit par le libre échange des biens ou par la mobilité des facteurs, c’est l’intérêt bien compris des différentes économies nationales qui doit les pousser à libéraliser leurs relations et à créer ce marché mondial, de biens comme de facteurs, qu’évoquait déjà Marx. En retour le marché mondial déboucherait donc sur une spectaculaire « convergence » entre les économies. Le concept de convergence devient alors central dans l’analyse des relations économiques internationales. C’est ce principe

à l’ouverture inte rnationale, les PED ratt rapent -ils les PDEM ? Le libre échange peut-il nuire au développement ? I le libre échange : une chance pour le développement A : Les avantages de la spécialisation : théorie avantages comparatifs et économies d’échelle. des II l’ouverture internationale peut s’avérer dangereuse A. Protectionnisme éducateur nécessaire List, Les PDEM le pratique largement (accord multifibres, PAC) B certaines spécialisations sont peu propices produits primaires par exemple

Economie : Echange internationaux et op de change -Les op de change sont: -une nécessité pour les reglements intern. -le marché des changes : lieu de rencontre fictif entre O et D de devise qui aboutit à la formation du tx de change. (foreign, exchange, forex) Le taux de change : prix relatif d’une monnaie par rapport à une autre= cours (on parle de parité d’une monnaie). L’arbitrage :op qui assure un profit strictement positif sans risques -Les arbitrages en fonction du taux de change :