Gloire au Père

troubler jamais. Voilà comme je crus étouffer ma tendresse. En ce calme trompeur j'arrivai dans la Grèce, Et je trouvai d'abord ses princes rassemblés, Qu'un péril assez grand semblait avoir troublés. J'y courus. Je pensais que la guerre et la gloire De soins plus importants rempliraient ma mémoire ; Que, mes sens reprenant leur première vigueur, L'amour achèverait de sortir de mon coeur. Mais admire avec moi le sort dont la poursuite Me fait courir alors au piège que j'évite. J'entends

me troubler jamais. Voilà comme je crus étouffer ma tendresse. En ce calme trompeur j'arrivai dans la Grèce, Et je trouvai d'abord ses princes rassemblés, Qu'un péril assez grand semblait avoir troublés. J'y courus. Je pensais que la guerre et la gloire De soins plus importants rempliraient ma mémoire ; Que, mes sens reprenant leur première vigueur, L'amour achèverait de sortir de mon coeur. Mais admire avec moi le sort dont la poursuite Me fait courir alors au piège que j'évite. J'entends de tous

si je moisis éternellement ! Me marier et avoir des enfants ! Mais chaque blanchisseuse peut en faire autant. À moins de trouver un homme civilisé et éclairé ou faible et amoureux. Mais qu’est-ce que je veux ? Oh ! vous le savez bien. Je veux la gloire ! Ce n’est pas ce journal qui me la donnera. Ce journal ne sera publié qu’après ma mort, car j’y suis trop nue pour me montrer de mon vivant. D’ailleurs, il ne serait que le complément d’une vie illustre ». On y est frappé par cette préoccupation

son adolescence agitée. Dany Laferrière, l’énigme du retour , 2009. Apprenant la mort de son père, l’auteur décide de retourner à Haïti. Ce sont des retrouvailles avec sa terre natale pour cet homme qui a été contraint à l’exil. L’écrivain enquête sur ses racines – l’histoire de son père, de sa mère e de sa famille -, observe une terre pauvre et joyeuse et réfléchit sur le sens de l’exil. Christine Arnothy,

est le pouvoir politique mis en place à l'époque et comment il est perçu par l'auteur. Ainsi nous pourrons en déduire la perception de la fonction royale en générale. Le personnage principal de cette œuvre est Horace, un chevalier romain comme son père, le vieil Horace. Camille est sa sœur, elle est fiancée à un gentilhomme de Albe: Curiace. La sœur de ce dernier est la femme d'Horace ce qui montre bien les liens entre ces deux familles. On peut aussi citer Valère, un chevalier romain amoureux de

Pour cette raison, le Grand Siècle est bien le « Siècle de Louis XIV ».Fils de Louis XIII et de l’espagnole Anne d’Autriche, Louis XIV est né en 1638, soit 23 ans après le mariage de ses parents, d'où son surnom : Dieudonné. Suite à la mort de son père, il devient roi en 1643. Toutefois, étant trop jeune pour exercer le pouvoir, le royaume de France est gouverné par le cardinal Mazarin et sa mère, Anne d’Autriche : c'est la Régence. Louis XIV n’exerce personnellement le pouvoir qu’à partir de 1661

Colombe à quitter ce lieu paisible. C'est près de la cabane que Toinette trouve, le jours de Pacques, son instrument soigneusement empaqueté et offert par son père, signe qu'elle a le droit désormais de jouer auprès de son père et de sa sœur Madeleine. Il se déroule aussi la deuxième leçon de viole de Marin Marais qui cherche dans la musique la gloire que le chant ne peut plus lui assurer. C'est là que les premières critiques du Maître envers son élève auront lieu: Sainte Colombe reconnaît les qualités

contraire de l’ambition qui suscite une aliénation dans la quête frénétique des marques de distinction, L.10. Son 2° argument : l’amour de l’étude rend possible l’accès à la gloire. Il s’agit de 2 passions différentes mais qui sont montrées comme étroitement liées : « dans l’amour de l’étude se trouve renfermée une passion, celle de la gloire »L.16. On suppose que pour Mme de Chatelet, l’étude doit nécessairement conduire à des travaux ou des découvertes qui permettent de se faire connaître. Son 3° argument

si délicats qui ne soient infiniment audessous de la noblesse et de la délicatesse de vos pensées ? –4– On sait, MADAME, et VOTRE ALTESSE ROYALE a beau s’en cacher, que, dans ce haut degré de gloire où la Nature et la Fortune ont pris plaisir de vous élever, vous ne dédaignez pas cette gloire obscure que les gens de lettres s’étaient réservée. Et il semble que vous ayez voulu avoir autant d’avantage sur notre sexe, par les connaissances et par la solidité de votre esprit, que vous excellez

nobles et si délicats qui ne soient infiniment au−dessous de la noblesse et de la délicatesse de vos pensées ? On sait, MADAME, et VOTRE ALTESSE ROYALE a beau s'en cacher, que, dans ce haut degré de gloire où la Nature et la Fortune ont pris plaisir de vous élever, vous ne dédaignez pas cette gloire obscure que les gens de lettres s'étaient réservée. Et il semble que vous ayez voulu avoir autant d'avantage sur notre sexe, par les connaissances et par la solidité de votre esprit, que vous excellez