Glória Menezes

l’infirme, et calme-toi. Mon déguisement est bon pour les autres. Toi, tu ne saurais t’y tromper et ne pas reconnaître ton père. – Mon père ! Non, vous n’êtes pas mon père. Je ne vous connais pas. Je suis le Roi. Si vous avez caché mon loyal serviteur, menez-moi vers 237 lui, ou vous payerez chèrement ce que vous venez de faire. John Canty prit un ton froid et mesuré. – Je veux bien que tu sois fou, et je consens à te faire grâce. Une fois n’est pas coutume. Mais il ne faudrait pas que ce jeu durât longtemps

Mon cœur me fait si mal il faut bien que je meure Si je me regardais il faudrait que j’en meure Mon cœur me fait si mal de puis qu’il n’est plus là Mon cœur me fit si mal du jour où il s’en alla L’évêque fit venir trois chevaliers avec leurs lances Menez jusqu’au couvent cette femme en démence Va-t-en Lore en folie va Lore aux yeux tremblants Tu seras une nonne vêtue de noir et blanc Puis ils s’en allèrent sur la route tous les quatre La Loreley les implorait et ses yeux brillaient comme des astres

annonce la joie pure et la bonté compatissante » (p 90) associé à un être saint : « sa figure céleste ». Volanges : elle souligne la pureté et l’innocence de la vie de son amie loin du désordre des libertins : « dans la vie sage et retirée que vous menez…vos regards purs comme votre âme ». Pureté du cœur et de l’âme se reflète sur son visage « enchanteur ». C) Une femme profondément attaché à la religion : pieuse. Croyance en la conversion de Valmont : P 122 elle peint à Volanges l’épisode

ateliers. A ce propos, il paria d’un café de la rue Vauvilliers, le café qui se trouvait au rez-de-chaussée de la maison habitée par la Sarriette. Cette salle fumeuse, aux banquettes de velours éraillé, aux tables de marbre jaunies par les bavures des glorias, était le lieu de réunion habituel de la belle jeunesse des Halles. Là, monsieur Jules régnait sur une bande de porteurs, de garçons de boutique, de messieurs à blouses blanches, à casquettes de velours. Lui, portait, à la naissance des favoris, deux

ateliers. À ce propos, il parla d’un café de la rue Vauvilliers, le café qui se trouvait au rezde-chaussée de la maison habitée par la Sarriette. Cette salle fumeuse, aux banquettes de velours éraillé, aux tables de marbre jaunies par les bavures des glorias, était le lieu de réunion habituel de la belle jeunesse des Halles. Là, monsieur Jules régnait sur une bande de porteurs, de garçons de boutique, de messieurs à blouses blanches, à casquettes de velours. Lui, portait, à la naissance des favoris, deux

ar, alinealucy@yahoo.com.br, emersonoliveira72@hotmail.com, alinedecarli@terra.com.br, alinekabarite@superig.com.br, andsequeira@yahoo.com.br, alinesacoman@hotmail.com, alonsoalx@yahoo.com.br, alovizio@hotmail.com, cassiana.pantokrator@hotmail.com, gloria@improart.com.br, adrianderrico@yahoo.com.ar, licitacao@secj.pr.gov.br, asl.lima@yahoo.com.br, denise.basilio@camara.gov.br, be.oliveira@hotmail.com, Rosicler.Kloss@volvo.com, dragogranel@dragogranel.com.br, eli.kowalski@caixa.gov.br, Marcio.r.menezes@hsbc

cet arrangement, le pénultième vers, ne trouvant point de consonance dans les autres, rime avec le premier hémistiche du dernier. ............................................................. Mas gran simpleza es avisarte desto, Pues se que esta tu gloria conocida En que mi vida llegue al fin tan presto. Comme ces singularités, et même les principales beautés de la pièce (où elles sont rares) se trouvent perdues dans la traduction, je l’aurais volontiers supprimée, pour abréger l’épisode un peu long