Gnomon

lieux géométriques. Dinostrate imagina sa célèbre quadratrice. Aristée apporta la Méthode, mit de l’ordre dans ses essais. Tout ceci, à l’aide d’une numération insuffisante ; Archimède, le premier, dépassa le nombre 10.000, ou myriade. L’invention du gnomon résume toute l’astronomie. L’idée du calcul numérique appliqué à la géométrie, est énoncée par Aristarque de Samos et par Archimède. On se traîne. Aristote donne l’impulsion scientifique, montre la voie vraie, en secouant le platonisme, en se dégageant

céleste, seulement pensée et posée, nullement existante, de cet axe du monde, de ces pôles, de ce méridien, de cet équateur qui sont comme la voûte, les piliers et les arceaux de cet édifice. À quoi répond une autre géométrie de main d'artisan, le gnomon, le cadran solaire, la lunette méridienne et son cercle divisé, sans compter le pendule, les montres et autres mécaniques, qui font voir clairement comment toute l'industrie et toutes les sciences concourent avec la géométrie pour la plus simple des

période d’un pendule est d’autant plus grande qu’on le lance fort. Le dessin qui accompagne l’activité influence les élèves dans leur décision de proposer, à la question a, l’usage d’un pendule. Cela leur évite d’imaginer des expériences de type gnomon ou cadran solaire comme nous l’avions remarqué avec le texte proposé par l’« Accompagnement des programmes ». Il n’y avait alors qu’à imposer arbitrairement de ne pas réfélchir à de telles propositions, ce qui est dommage. Sans évoquer le terme

mappemonde et deux horloges à sonnerie. Il écrivait à l’empereur Wan -li : « Votre humble sujet connaît parfaitement la sphère céleste, la géographie, la géométrie et le calcul. A l’aide d’instruments il observe les astres et sait faire usage du gnomon. » Ricci reçut une pension mensuelle et fut autorisé à résider dans la Cité Impériale. La faveur du missionnaire se trouva complète quand il fut chargé de donner des leçons de sciences à un des fils de l’empereur. René GROUSSET — Histoire de

Tout trait gravé en creux, tout canal creusé dans les ornements. Glyptique : (gli-pti-k'), n. f. L'art de graver sur les pierres fines. Glyptothèque : (gli-pto-tè-k'), n. f. Collection de pierres gravées. On dit plus souvent dactyliothèque. Gnomon : (ghno-mon), n. m. L'aiguille ou style du cadran solaire. Gnomonique : (ghno-mo-ni-k'), n. f. Art de tracer des cadrans solaires, lunaires ou astraux, mais principalement des cadrans solaires, sur un plan ou sur la surface d'un corps donné quelconque

individuelle aux codes moraux sécrétés par le tissu social. Elles impliquent l’idée de modèle comportemental auquel tous les membres de la communauté doivent se conformer pour un fonctionnement harmonieux de la vie du groupe. Le mot norme (du grec gnômon) désigne l'équerre, qui est un instrument ayant un angle droit matérialisé permettant de créer ou de reproduire d'autres angles droits conformes au modèle. La norme est ce qui est fidèle, ou ce qui doit être réalisé, conformément au modèle. On distingue

et qu’elle ´tait sph´rique; que e e e e e la lune ne donnait pas de lumi`re propre mais r´fl´chissait la lumi`re du soleil; que le soleil e e e e ´tait aussi grand que la terre, et qu’il ´tait un feu absolument pur. Le premier il d´couvrit le e e e gnomon, l’installa en cadrans solaires ` Lac´d´mone pour marquer les solstices et l’´quinoxe a e e e et construisit des horloges. Le premier aussi il d´crivit le contour de la terre et de la mer et e construisit la sph`re.[22] e L’Illimit´, ou απειρον

mathématiques, ne va pas durer longtemps. Là où le mythe mathématique intervient, le cours de la maladie, si j’ose dire, est toujours le même. On part, dans le pythagorisme, de nombres qui sont des choses (car il n’y a point de doute que les gnomons étaient conçus comme matériels) et on aboutit au nombre dégagé des choses. En tant qu’inspirée par l’astronomie, l’ère classique du XVII e est entraînée dans la même direction. On croit débuter par ce 130 L’homme devant la science que

Threlfall, W., Textbook of Topology (tr. W. Heil). New York: Academic Press, 1980. Senechal, Marjorie, ‘The Continuing Silence of Bourbaki—An Interview with Pierre Cartier, June 18, 1997’. The Mathematical Intelligencer 1 (1998), 22–8. Serres, Michel, ‘Gnomon’, in Serres (ed.), A History of Scientific Thought. Oxford: Blackwell, 1995. Sezgin, Fuat (ed.), Islamic Mathematics and Astronomy, vol. 22. Frankfurt: Institut für Geschichte der arabischislamischen Wissenschaften, 1999. in . ¯ i, Sharaf al-D¯ al-Tus¯