Gorges de la Loire

POPULAIRE LOIRE ET LYONNAIS BANQUE RHONE-ALPES ADRESSE 141, rue Garibaldi BP 3152 69211 Lyon cedex 03 Tél. : Fax : Mel : Web : 04.78.95.57.05 04.78.95.56.87 contact@bp2l.banquepopulaire.fr www.loirelyonnais.banquepopulai r ADRESSE Immeuble Le Rhône-Alpes 235, Cours Lafayette 69451 Lyon cedex 06 Tél. : Fax : Web : 04.72.75.86.86 04.72.75.86.85 www.banque-rhone-alpes.fr ACTIVITÉ Organisme financier présent sur le Rhône, l’Ain, le nord de l’Isère, le sud de la Loire et le

est très difficile faute de réseaux d’alimentation liés à la pauvreté du pays. Cette photo permet donc de mettre en relation les liens entre facteurs climatiques et facteurs économiques dans l’inégal accès à l’eau. – La photo du barrage des Trois-Gorges en Chine permet de cerner son gigantisme. Le barrage sert à mobiliser les eaux du Yangzi pour les besoins de la population du bassin, mais aussi pour des populations d’autres régions de Chine (Chine du Nord et notamment Pékin). C’est donc un ouvrage

lance de carrier, puis à la haveuse, ménageant des salles hypostyles aujourd'hui réservées à la culture du champignon de Paris. C'est l’une des dernières exploitations régionales, car désormais les champignons de Paris sont cultivés dans le val de Loire et aussi aux Pays-Bas. Les champignons poussent cycliquement. Compartimentée en chambres de culture, la carrière offre les conditions idéales pour favoriser l'apparition des champignons trente à quarante jours après l'ensemencement sur un terreau enrichi

brune enchanteresse A dans le cou des airs noblement maniérés; Grande et svelte en marchant comme une chasseresse, Son sourire est tranquille et ses yeux assurés. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire, Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire, Belle digne d'orner les antiques manoirs, Vous feriez, à l'abri des ombreuses retraites Germer mille sonnets dans le cœur des poètes, Que vos grands yeux rendraient plus soumis que vos noirs. LXII – MOESTA ET ERRABUNDA Dis-moi ton cœur parfois

brune enchanteresse A dans le cou des airs noblement maniérés; Grande et svelte en marchant comme une chasseresse, Son sourire est tranquille et ses yeux assurés. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire, Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire, Belle digne d‘orner les antiques manoirs, Vous feriez, à l‘abri des ombreuses retraites Germer mille sonnets dans le cœur des poètes, Que vos grands yeux rendraient plus soumis que vos  noirs. LXII Moesta et errabunda Dis-moi ton cœur parfois

enchanteresse A dans le cou des airs noblement maniérés ; Grande et svelte en marchant comme une chasseresse, Son sourire est tranquille et ses yeux assurés. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire, Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire, Belle digne d'orner les antiques manoirs, Vous feriez, à l'abri des ombreuses retraites Germer mille sonnets dans le coeur des poètes, Que vos grands yeux rendraient plus soumis que vos noirs. LXII. Moesta et errabunda Dis-moi ton coeur parfois

enchanteresse À dans le cou des airs noblement maniérés ; Grande et svelte en marchant comme une chasseresse, Son sourire est tranquille et ses yeux assurés. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire, Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire, Belle digne d’orner les antiques manoirs, Vous feriez, à l’abri des ombreuses retraites, Germer mille sonnets dans le cœur des poètes, Que vos grands yeux rendraient plus soumis que vos noirs. – 93 – LXII. – Mœsta et errabunda Dis-moi, ton

enchanteresse A dans le cou des airs noblement maniérés ; Grande et svelte en marchant comme une chasseresse, Son sourire est tranquille et ses yeux assurés. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire, 54 Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire, Belle digne d’orner les antiques manoirs, Vous feriez, à l’abri des ombreuses retraites, Germer mille sonnets dans le cœur des poètes, Que vos grands yeux rendraient plus soumis que vos noirs. LXII. – Mœsta et errabunda Dis-moi, ton cœur parfois s’envole-t-il

enchanteresse À dans le cou des airs noblement maniérés ; Grande et svelte en marchant comme une chasseresse, Son sourire est tranquille et ses yeux assurés. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire, Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire, Belle digne d’orner les antiques manoirs, Vous feriez, à l’abri des ombreuses retraites, Germer mille sonnets dans le cœur des poètes, Que vos grands yeux rendraient plus soumis que vos noirs. – 93 – LXII. – Mœsta et errabunda Dis-moi, ton cœur

enchanteresse A dans le cou des airs noblement maniérés ; Grande et svelte en marchant comme une chasseresse, Son sourire est tranquille et ses yeux assurés. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire, Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire, Belle digne d’orner les antiques manoirs, Vous feriez, à l’abri des ombreuses retraites, Germer mille sonnets dans le cœur des poètes, Que vos grands yeux rendraient plus soumis que vos noirs. 87LXII Mœsta et errabunda Dis-moi, ton cœur parfois s’envole-t-il