Gouache

période Renoir. Entre 1943 et 1947, paraissent les premiers livres qui lui sont consacrés: Les Images défendues de Nougé, Magritte de Mariën et René Magritte de Scutenaire. En mars 1948, il peint en six semaines une quarantaine de tableaux et de gouaches aux tons criards (période vache) destinées, en un acte typiquement surréaliste, à dérouter les marchands parisiens et scandaliser le bon goût français, qui sont exposées à la galerie du Faubourg et préfacées par Scutenaire. Une rétrospective des

combattu pour l’Allemagne lors de la 1ere Guerre Mondiale en France et en Russie. Il reste très marqué par la  guerre. Peindre lui sert de thérapie. Il souhaite montrer toute l'horreur de la guerre à travers ses oeuvres. Il réalise environ 600 dessins, gouaches, aquarelles qui sont comme des notes, prises sur le vif ou à l’occasion d’un souvenir qui ressurgit,  A cela s’ajoutent des œuvres mûrement travaillées : des toiles comme La tranchée, une série de 50 eaux fortes intitulées Der Krieg (la guerre),

sur le système organique. Voici uns des études qu'il a effectué pour l’accomplissement de son œuvre : 1920-1925, Crayon sur papier, 15,2x12,8cm,Mnam 1911-1912, Aquarelle et crayon sur papier, 11x11cmMnam 1920-1925, Gouache sur papier, 18x17cm,Mnam 1920-1925, Gouache, aquarelle et crayon sur papier. Dans ses études se peut voir l’insistance sur l’enchevêtrement de deux mouvements centrifuge et centripète qui expriment la gravitation à l’échelle planétaire et la croissance organique microscopique

après séchage de la peinture est censé rester stable indéfiniment, résistant aux agents chimiques et atmosphériques. Suivant le dosage de la peinture plus ou moins diluée à l’eau et le geste de l’artiste, elle peut s’apparenter à la tempéra, à la gouache voir même à l’aquarelle. La consistance de sa pâte rappelle celle de l’huile et elle peut être utilisée directement à la sortie du tube avec une brosse, un couteau à peindre. Comme pour la peinture à l’huile, il existe des couleurs fines ou extra-fines

La colonne brisée (1944) huile sur masonite, (39,8 x 30,5 cm) Arnulf Rainer , autoportrait tiré de la série Face Farces (1970-1975) Techniques mixtes sur photographie (60 x 50 cm ) Egon Schiele , autoportrait (1905) dessin au crayon ,gouache et aquarelle Dans un premier temps, les autoportraits étaient plus des signatures qu'un véritable questionnement, par la suite, ils se caractérisent plus par une mise en scène de l'artiste qui se positionne en tant que spectateur dans un tableau

six mois à vivre. S'il ne peut plus voyager, il utilise alors les étoffes ramenées de ses voyages pour habiller ses modèles originaires du monde entier. Son infirmière, Monique Bourgeois accepte d'être son modèle. Matisse utilise la technique des gouaches découpées et commence la série Jazz. Il s'installe à Vence et renoue avec le dessinateur et écrivain André Rouveyre, connu à l'atelier de Gustave Moreau, une amitié épistolaire assidue[2]. En avril 1944, Marguerite, ainsi que sa mère, sont arrêtées

commandes diverses. En 1941, il est atteint d'un cancer et est hospitalisé à la clinique du Parc de Lyon. Ses médecins ne lui donnent plus que six mois à vivre. Son infirmière, Monique Bourgeois accepte d'être son modèle. Matisse utilise la technique des gouaches découpées et commence la série Jazz. En avril 1944, Marguerite, ainsi que sa mère, sont arrêtées par la Gestapo, pour faits de résistance. Amélie reste six mois en prison, tandis que Marguerite parvient à s'enfuir à Belfort du train de déportation

passe l’hiver 1918 chez lui. Puis il retourne à Dresde où il reprend ses études à l’Académie d’Arts plastiques. Il a adhéré après la guerre au mouvement dadaïste. Sous le régime nazi, toute son œuvre est rejetée. Otto Dix a fait des dessins et des gouaches pendant la guerre. Mais l’attention du peintre ne se porte pas sur les conséquences de la violence de guerre faites aux corps. Son travail porte plutôt sur la terre, vue comme une victime de la guerre. Otto Dix est un peintre allemand de la Nouvelle

Pieter Jansz Saenredam, Giuseppe Arcimboldo, Piet Mondrian, André Masson, Bernard Réquichot, Cy Twombly, Saül Steinberg, Wilhelm Von Gloeden, Bernard Faucon, Pierre Klossoswki, Vincent Corpet. A cette occasion, la collection d’aquarelles, encres et gouaches de Roland Barthes sera montrée pour la première fois à Paris. Enfin, plusieurs contributions d’artistes offriront un regard contemporain sur l’œuvre de Roland Barthes. contact presse IMEC 9, rue Bleue, 75009 - Paris Françoise Dufournet téléphone

clairvoyance 1936,huile sur toile, 54,5x65,5 cm collection particulière La corde sensible 1960,huile sur toile, 115x146 cm collection particulière La chambre d’écoute 1958,huile sur toile, 38x45 cm collection particulière Le domaine d'Arnheim 1962,Gouache sur papier,35 x 27 cm Signé en bas à droite "Magritte", Collection privée La grande famille 1963,huile sur toile, 100x81 cm Utsunomiya Museum of Art,Japon La trahison des images 1929, huile sur toile, 60X81cm Los Angeles Country Museum Le tombeau