Gouffre

profond ou sors-tu de l'ab�me��. Cette question rev�t un caract�re obsessionnel�: on la retrouve pos�e en des termes presque identiques au vers 9�: ��Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres�?��. On remarque ici que la beaut� semble presque toujours �merger d'une profondeur�: ��ciel profond��, vers 1�; ��ab�me��, vers 1�; ��gouffre noir��, vers 9. Ces allusions � une profondeur t�n�breuse soulignent l'origine obscure de la beaut�. En fait, son origine oscille continuellement entre le bien

macabre. En effet derrière cette image paradisiaque, se trouve une embarcation qui essaye de se faire discrète « le navire glissant » (v.4) au dessus des vagues agité et des fonds marins mortels  « sur les gouffres amers » (v.4). Nous pouvons remarquer une harmonie imitative avec « gouffres » où la fin du mot peut faire penser au bruit des vagues qui se tombe les unes sur les autres. Il y a e plus des turbulences aquatiques, « la tempête » qui fait rage en fin de poème au vers 14 qui nous évoque

lui demanda pourquoi son peuple avait fui les grottes du Fond des Vaulx. Le petit bonhomme répondit que la « Grosse Biesse du Fond des Vaulx » les avait effrayés. Alors le comte se souvint de l'existence d'une bête étrange qui se terrait dans un gouffre, « Li Trô thi Ô fosses ». Elle était grosse comme deux éléphants, avait une longue queue pointue, une tête de crocodile, des écailles comme des assiettes, un long cou et de grandes dents. Son dos était garni d'une crête toute découpée et sa bouche

sentiments de l'aimée ne sont plus clairs, l'auteur doit les deviner dans ses yeux, dans l'obscurité. - L'auteur se lamente car il se trouve désemparé devant la fuite de l'amour, il ne voit pas d'autres sources de bonheur (v.24). Il plonge dans « un gouffre interdit à nos sondes », qui s'oppose aux « serments » de l'amour, qui n'ont pas respecté leur valeur éternelle. Il espère encore, l'espoir renaît dans les derniers vers, l'auteur croit à la renaissance (« soleils rajeunis ») de leur amour, renouvelé

| |suent...//travail, valeur travail | |Le navire glissant sur les gouffres amers. |Sujet |Navire = métaphore de la vie? La vie est un voyage(mers/amers)= beauté | |N+ prt pst/N +adj

sont pas très joyeux. Ils sont plutôt dépressifs. 2. Dans « De profondis clamavi » les expressions qui permettent d’illustrer le spleen ressentit par Baudelaire sont : * « du fond du gouffre obscure où mon cœur est tombé » ici le poète dit que son cœur, son amour est perdu. Il est tombé dans ce gouffre et jamais plus il ne pourra en sortir. Le spleen de Baudelaire ici c’est la souffrance de l’amour qui a blessé son cœur et il ne pourra pas sortir de cette souffrance. * « Je jalouse le

est absente « doux » «  paix » « heureux » « joyeux » on a donc ici un hymne à la joie décri par « le ciel bleu » et les « colombes ». Idée aussi de mouvement ascendant qui est présent dans tous le texte « Il se penche sur l’ombre » « sortir du gouffre » v16 « terre est relié au ciel » qui sont généralement de nombreuses images de la bible… Tel que l’arbre qui se montre comme le dépassement de l’échec de la tour de Babel. L’épanouissement est un élément important puisqu’il avoisine les cieux et

En effet, l'animal est personnifié dès le début comme le montre les 2 périphrases nobles …, les caractéristiques de l'humain « indolents ». • De plus, dans ce poème, nous relevons tout un réseau de symboles : l'Albatros – symbole du poète, le gouffre – symbole de la mort, l'équipage – symbole de la société et le navire – symbole de la Terre. Cette lecture symbolique nous permet de relire le poème avec un nouvel œil et voir la véritable visée du poème. II L'idéal de Baudelaire : rapport poésie-liberté

d’infini, de vastitude, de mouvement et de liberté peut induire en erreur. La liberté n’est pas perçue comme une source de puissance qui valorise la relation entre l’homme et la mer. Au contraire, cette liberté est associée au gouffre et à l’abîme. On sait tous que « gouffre » chez baudelaire est synonyme de « spleen », puisque Baudelaire préfère associer l’image de la chute, du mouvement vertigineux et de la profondeur au spleen, à la « méloncolie » et à l’« hostilité ». le spleen, dans ce poème

transparent) et il est comparé à une sylphide : génie aérien féminin plein de grâce. La « coulisse » désigne une rainure qui permet à une pièce mobile de glisser. Puisque le Plaisir « fuira », puisque « le gouffre a toujours soif », Baudelaire nous montre l’image d’un engloutissement de l’homme dans le gouffre du temps, image angoissante de l’homme aspiré (cf  « pompé ») par le néant. La clepsydre « se vide », renforçant cette image du néant. S’il n’y a plus d’eau dans la clepsydre, c’est qu’il ne reste plus