Gouffre

épistolaire. Après ses voyages il s’est installé à Londres et aujourd’hui il réside en France où il publie des textes dans la presse. Caveau d’émail Au cyanure du soir se creuse la marée, Que des draps de satin ourlés d’enluminures, Couvrent de gouffres flous griffés d’éclaboussures, Où la voile arrachée épousera la fée. L’ampélite de l’eau d’une lame effleurée Au souffle vagabond de rêves en boutures, Efface le dessin des profondes voussures Que le marin toisait de son âme apeurée. Le silence

Charles BAUDELAIRE dans ‘’Les fleurs du mal’’ (1857) Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux

minutes, mortel folâtre, sont des gangues Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or ! Souviens-toi que le Temps est un joueur avide Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c'est la loi. Le jour décroît ; la nuit augmente, souviens-toi ! Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide. Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard, Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge, Où le repentir même (oh ! la dernière auberge !), Où tout te dira : Meurs, vieux lâche ! il est trop tard ! Charles

fermé les yeux, et j’ai mis les mains dessus, et j’ai tâché d’oublier, d’oublier le présent dans le passé. Tandis que je rêve, les souvenirs de mon enfance et de ma jeunesse me reviennent un à un, doux, calmes, riants, comme des îles de fleurs sur ce gouffre de pensées noires et confuses qui tourbillonnent dans mon cerveau. »1 Aussi, le personnage démontre une expansion du moi dans son journal. En effet, le journal dans lequel il écrit à la première personne du singulier, lui permet d’exprimer ses sentiments

trouver la leçon de morale dans cet ouvrage et de ne voir que le vice pour les autres. Au mépris de vos remarques pertinente et juste pour éclairer le lecteur sur la voie de la vertu et lui faire comprendre qu'entre nos pensées et nos actes se cache un gouffre n'en déplaise au précepte de la morale. Cordialement, et avec toute mon admiration une lectrice avertit.

l'univers ; C'étaient des pierres inouïes Et des flots magiques ; c'étaient D'immenses glaces éblouies Par tout ce qu'elles reflétaient ! Insouciants et taciturnes, Des Ganges, dans le firmament, Versaient le trésor de leurs urnes Dans des gouffres de diamant. Architecte de mes féeries, Je faisais, à ma volonté, Sous un tunnel de pierreries Passer un océan dompté ; Et tout, même la couleur noire, Semblait fourbi, clair, irisé ; Le liquide enchâssait sa gloire Dans le rayon cristallisé

dans sa quête . ENJEUX DE CETTE REECRITURE 1- On n’écrit pas dans le vide culturel (fort syncrétisme ici) 2- Pourquoi Dom Juan ? Ici l’impénitent nous rappelle le dandysme de Barbey mais aussi le Baudelaire de « La Mort » : « Plonger au fond du gouffre Enfer ou Ciel, qu’importe ? / Au fond de l’Inconnu pour trouver du nouveau ! » 3- Nouveautés dans la chaîne des réécritures : - l’Enfer - les autres semblent plus condamnés que lui - cohérence avec le caractère du D.J. de Molière : on est bien

J'crois pas pourvoir tenir la rythme que je tien en ce moment. Je ne pense pas être capable de surmonter cette énième pente ! Je croyais pouvoir m'en sortir, mais je me suis mentis à moi-même. Je suis au bord du gouffre, mais je ne veux pas me plaindre devant tout le monde car ma situation ne changera pas ! Ma vie pour le moment ne ressemble à rien. Mon destin me fait bien peur après tous se qui m'est arrivée ! Pleurer ne change rien du tout à part te foutre dans des états pire que la normale. Je

sombre! elle vend 35 La pauvre croix d´honneur de son vieux père, et pleure; Elle tousse, elle a froid. Il faut donc qu´elle meurt! A dix-sept ans! grand Dieu! mais que faire?... -- Voilà Ce qui fait qu´un matin la douce fille alla Droit au gouffre, et qu´enfin, à présent, ce qui monte 40 A son front, ce n´est plus la pudeur, c´est la honte. Hélas, et maintenant, deuil et pleurs éternels!

donné que ses yeux sont fermés et par rapport à cette situation dans laquelle elle se trouve à ce moment . Pour en revenir au fond qui se trouve derrière la jeune femme,il nous donne l'impression que Rihanna est seule au monde , elle est dans un gouffre. Approche sémantique : Elle fait ressortir sa fragilité,sa sensibilité,la tristesse et la vulnérabilité qui est en elle. Approche communicationnelle : Le choix de la chanteuse nous montre que cette forme de violence est présente partout et