Gouge

trente-deux dents. Pourtant, qui n’a serré dans ses bras un squelette, Et qui ne s’est nourri des choses du tombeau ? Qu’importe le parfum, l’habit ou la toilette ? Qui fait le dégoûté montre qu’il se croit beau. Bayadère sans nez, irrésistible gouge, Dis donc à ces danseurs qui font les offusqués : « Fiers mignons, malgré l’art des poudres et du rouge Vous sentez tous la mort ! O squelettes musqués, « Antinoüs flétris, dandys à face glabre, Cadavres vernissés, lovelaces chenus, Le branle

tensions ont pu exister entre genres, et surtout des inégalités. Plus ou moins dénoncées, ces relations de genre ont souvent fait l’objet de débats, ou de revendications et ce pas uniquement depuis le XXIème siècle. En effet, déjà en 1789 Olympe de Gouge mettait en avant une « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne » ; en 1944 les femmes manifestaient pour l’accès au vote ; la lutte féministe pour les droits à l’avortement et à la contraception dans les années 60/70, … Aujourd’hui

Elle milite et participe très activement aux mouvements politiques de reconnaissance des femmes. Girondine elle a été dénudée et fouettée lorsque les jacobins ont pris le pouvoir. Ayant perdu la raison elle sera internée par la suite. - Olympe de Gouge (1748-1793) : Après son mariage elle fuit le domicile conjugal. Elle réclame l’égalité des droits entre les hommes et les femmes. Lorsque la constitution de 1791 écarte les femmes du droit de vote, elle publie une déclaration des droits de la femme

tes trente-deux dents. Pourtant, qui n’a serré dans ses bras un squelette, Et qui ne s’est nourri des choses du tombeau ? Qu’importe le parfum, l’habit ou la toilette ? Qui fait le dégoûté montre qu’il se croit beau. Bayadère sans nez, irrésistible gouge, Dis donc à ces danseurs qui font les offusqués : « Fiers mignons, malgré l’art des poudres et du rouge, Vous sentez tous la mort ! Ô squelettes musqués, Antinoüs flétris, dandys à face glabre, Cadavres vernissés, lovelaces chenus, Le branle universel

tes trente-deux dents. Pourtant, qui n’a serré dans ses bras un squelette, Et qui ne s’est nourri des choses du tombeau ? Qu’importe le parfum, l’habit ou la toilette ? Qui fait le dégoûté montre qu’il se croit beau. Bayadère sans nez, irrésistible gouge, Dis donc à ces danseurs qui font les offusqués : « Fiers mignons, malgré l’art des poudres et du rouge, Vous sentez tous la mort ! O squelettes musqués, 82 Antinoüs flétris, dandys à face glabre, Cadavres vernissés, lovelaces chenus, Le branle

tes trente-deux dents. Pourtant, qui n’a serré dans ses bras un squelette, Et qui ne s’est nourri des choses du tombeau ? Qu’importe le parfum, l’habit ou la toilette ? Qui fait le dégoûté montre qu’il se croit beau. Bayadère sans nez, irrésistible gouge, Dis donc à ces danseurs qui font les offusqués : « Fiers mignons, malgré l’art des poudres et du rouge, Vous sentez tous la mort ! Ô squelettes musqués, Antinoüs flétris, dandys à face glabre, Cadavres vernissés, lovelaces chenus, Le branle universel

temps.) Il m’en reste. […] », il lui faut bien laisser cours au bavardage de l’angoisse, qui passe au travers des silences, de plus en plus nombreux. La douleur a raison peu à peu de ses résistances (« Ça fait mal, comme une lame. (Un temps.) Une gouge. ») et l’oblige à chanter… Soumis à la torture du dépérissement, le corps se met à parler la langue vive de l’âme. La voix émerge tout à coup séparément du corps mis à sac, une voix de femme-enfant qui « s’embrouille », et qui pourtant touche à cette

car selon eux, la F n’était pas douée de raison sauf à titre exceptionnelle. En réaction à cette position de la représentation nationale, certaines femmes se sont battues pour faire admettre l’égalité des droits. Ce fut le cas, de Marie GOUGE dite Collette de Gouge. En 1791, elle va rédiger la « déclaration des droits de la Femme et de la Citoyenneté ». Ce texte posait « la femme nait libre et demeure égale à l’homme en droit » Ainsi cette condition faite aux femmes à ce moment, n’était pas juste

pour mieux l'emporter avec lui partout, et il l'avait déposé pieusement dans une urne de cristal, habituellement placée sur une encoignure, dans sa chambre à coucher. C'était cette urne qui volait en morceaux. - Ah! il n'était pas à moi, abominable gouge! - s'écria-t-il. Et j'entendis, sous sa botte de dragon, grincer et s'écraser le cristal de l'urne, et piétiner le cœur de l'enfant qu'il avait cru son fils! Sans doute, elle voulut le ramasser, elle! l'enlever, le lui prendre, car je l'entendis qui

80 29 56 56 Proposer un accompagnement relationnel à Permanence les mardis toute personne concernée par la problématique de 17h à 19h de la fin de vie (famille, proches, personnes malades...). Soins palliatifs. La Mirandière 1, rue de la Gouge 21800 QUETIGNY 03 80 57 14 46 La Providence 101, rue de Talant 21000 DIJON 03 80 57 44 55 Maison de retraite (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes - EHPAD). Résidence de services d’initiative privée. La villa Médicis