Gourdin

rôles sont inversés, le maître devenant valet et le valet prenant la place du maître. Cette situation permet à Arlequin de se moquer d'Iphicrate à plusieurs reprises : « vos compliments me charment ; vous avez coutume de m'en faire à coups de gourdin ». Le registre comique est ainsi décliné sous la forme de procédés variés : comique de répétition lorsque Iphicrate tente en vain et à plusieurs reprises de convaincre Arlequin de le suivre ; comique de mots lorsque ce dernier évoque ironiquement

mauvais pressentiment sur son avenir. Chapitre 47 : Fagin attend Sikes. Il est dans un état second à cause de la colère. Il dit tout à Sikes qui entre dans un accès de rage. Il tue Nancy avec la crosse de son pistolet avant de l’achever avec un gourdin. Elle ne s’est pas défendue face à l’homme qu’elle aimait. Chapitre 48 : Après le meurtre, Sikes erre dans les environs de Londres avec toutes les images affreuses de son acte. Il décide de retourner se cacher à Londres malgré le fait que le meurtre

comment vous appelez-vous ? » Voltaire réplique alors : « Voltaire ! Je commence mon nom et vous finissez le vôtre ». Quelques jours plus tard, on le fait appeler alors qu’il dîne chez son ami le duc de Sully. Dans la rue, il est frappé à coups de gourdin par les laquais du chevalier, qui surveille l’opération de son carrosse. Blessé et humilié, Voltaire veut obtenir réparation, mais aucun de ses amis aristocrates ne prend son parti. Le duc de Sully refuse ainsi de l’accompagner chez le commissaire

panique, tous se précipitent vers la maison, les jambes à leur cou, après avoir bloqué la poulie. Isengrin souffre mille tourments. Les frères appellent les convers : dans peu de temps Isengrin connaîtra son malheur. L'abbé se saisit d'un gourdin énorme et pointu et le prieur d'un chandelier. Dans l'abbaye, il ne resta pas un moine qui n'eût un bâton ou un épieu. Tous sont sortis des bâtiments. Ils se mettent en marche vers le puits, résolus à bien se battre. Ils font tirer l'âne

d'un homme assez vieux qui maniait un bâton avec une grande dextérité face à deux jeunes personnes. Un des deux jeunes hommes leva un gourdin dans le dos du vieillard. Prit par la peur de l'inévitable, Damino ferma les yeux pour ne pas voir le coup porté mais par miracle le jeune homme abattit sa main vide et ils levèrent tous les yeux avec surprise sur le gourdin qui était resté en l'air. Cela suffit pour mettre en fuite les deux jeunes agresseurs. Le vieil homme se tourna vers Damino avec un sourire

la mort… Une deuxième caractéristique du temps est que c’est sans doute, avec Dieu, « le » sujet de réflexion auquel l’Homme a consacré et consacre le plus de…temps, depuis qu’il est en âge de conceptualiser les choses autrement qu’avec un gourdin et un bout de silex… ce qui ne nous rajeunit pas. Je vais tout de même tenter de vous faire part de quelques réflexions sur ce sujet, en m’efforçant de n’être pas trop …long et éventuellement pas trop ennuyeux, car vous trouveriez alors... le

est de rentrer chez lui. De plus, il n’est pas question d’ennemis glorieux et héroïque qui, ainsi, donnerait plus de lustre et de gloire au héros, mais d’un berger qui se distingue pas ses bas instincts et sa bêtise. Le choix même du pieu, un gourdin taillé et passé au feu, instrument particulièrement primitif, contraste avec l’insistance sur les armes guerrières que l’on peut trouver lors des scènes de combats dans L’Iliade. Les réflexions de Polyphème sont de ce point de vue significatives de

qui consistait pour les extrémistes hutu à massacrer à travers tout le pays les Tutsi, ainsi que certains Hutu modérés réputés hostiles à ce projet et donc considérés comme des traîtres. La population utilisait essentiellement des machettes et des gourdins cloutés. Des barrages étaient dressés sur toutes les routes du Rwanda pour arrêter les fuyards qui étaient systématiquement massacrés sur place. Généralement les autorités locales, prétextaient la mise en sécurité des Tutsi pour les regrouper dans

inquiétante et témoigne de l’ampleur du phénomène. En effet le renouvellement du bureau du foyer -socio éducatif dans les collèges et lycées est l’occasion d’âpres affrontements entre factions rivales, qui n’hésitent pas à en venir aux mains à user de gourdins, de couteaux plongeant ainsi l’établissement dans une atmosphère de violence avec l’intervention de la police. Ces factions rivales sont souvent l’émanation de partis politiques rivaux qui utilisent l’espace scolaire pour s’affronter. Au lycée Malick

Chantal Spillemaecker, Arnaud Laster, Violaine Anger, Dominique Massonnaud, préface d’André Vallini. Musée Hector Berlioz, La Côte-Saint-André, Isère, juin 2004. ISBN 9782905375667. BIOGRAPHIES Adèle, l’autre fille de Victor Hugo (1830-1915), Henri Gourdin. En collaboration avec le psychothérapeute Yvon Girard ; préf. Adèle Hugo. Ramsay, 2003. ISBN 284114612X. Victor Hugo, Didier Lemaire. Éd. Aden, 2004. ISBN 2848400617. CORRESPONDANCE Le Baron d’Eckstein et ses contemporains (Lamennais, Lacordaire