Gouverner C Est Faire Croire

références littéraires de votre choix. Eléments de dissertation Introduction : La tragédie selon Jean Anouilh développe une vision plutôt pessimiste de l’action humaine. Il est vrai que la reprise des mythes antiques contraint les dramaturges à faire périr Antigone et Jocaste, à souiller les mains d’Oreste du sang d’Egisthe et de Clytemnestre, à crever les yeux d’Œdipe. A moins de transgresser radicalement l’héritage, ce qui est culturellement délicat, il faut s’en tenir au schéma narratif antique

agitée, à savoir « si d’autres sortes de républiques sont meilleures que la monarchie ». Si j’avais à la débattre, avant de chercher quel rang la monarchie doit occuper parmi les divers modes de gouverner la chose publique, je demanderais si l’on doit même lui en accorder aucun, car il est difficile de croire qu’il y ait rien de public dans ce gouvernement où tout est à un seul. Mais réservons pour un autre temps cette question qui mériterait bien un traité à part, et qui provoquerait toutes les disputes

reine Victoria de 1850 à 1875, autant, dans les années 1880, la domination britannique est menacée et les valeurs prônées par la reine sont alors remises en question. Ainsi plusieurs questions sont à présentées : Comment la reine Victoria a réussi à faire de la Grande-Bretagne une puissance prééminente au XIXème siècle? Et quelles sont les points noirs de son règne? Tout d'abord, nous détaillerons comment la reine Victoria se démarque des autres monarques. Ensuite, nous étudierons l'apogée du règne

description du palais ; description très colorée, qui donne un côté merveilleux au lieu. * Paragraphes 15-19 (p. 22) : rencontre avec l’Empereur, qui explique à Wang-Fô pourquoi il l’a fait capturer ; Wang-Fô, par ses peintures, lui aurait fait croire en l’existence d’un monde plus beau que la réalité. * Paragraphes 20-22 : mort de Ling, après qu’il a voulu défendre son maître. * Paragraphes 23-25 : l’Empereur condamne Wang-Fô à peindre/terminer un dernier tableau avant d’être mis à mort

extraits nous amènent à croire qu’on se sert de quelqu’un pour faire passer un message. En effet, dans l’extrait Au retour des oies blanches, Geneviève utilise Laura comme témoin pour résoudre le mystère : «Mais sa présence va servir mon dessein.» (p.94) C’est un règlement de compte entre son père et elle, parce que Geneviève apprend que son père à violer son amie Laura pendant qu’il était soi-disant en voyage d’affaire. Par contre, Créon lui se sert du cadavre de Polynice pour faire passer son message

pour cuisiner il faut savoir ce qu'est la cuisine, de même pour exercer un pouvoir politique, il faut savoir ce qu'est que le politique. De plus, ce terme recouvre un ensemble très vaste de conceptions et prônée une conception particulière c'est déjà faire de la politique. Néanmoins, on peut réduire ce terme et se concentrer sur la notion de politique comme art de gouvernement. Dès lors, la question du savoir politique se recentre sur l'idée d'un potentiel savoir de l'homme politique, du gouvernant.

contrairement aux intérêts d'un ou de quelques uns. Le système le plus efficace et le moins répressif est celui qui respecte les différentes opinions et qui fonctionne sur la base d'une égale participation de tous. Ainsi, il n'y a pas besoin d'imposer ou de faire imposer des décisions car celle-ci viennent de la volonté du peuple. Un système basé sur l'obéissance à la volonté d'un ou plusieurs chefs est un système répressif. Il faut, dans une recherche incessante d'égalité, tenir compte au maximum des aspirations

aura, presque dans tous les cas, des passions et des intérêts communs » ; « Il n’y a rien qui puisse réprimer le désir de sacrifier le parti le plus faible ou un individu sans défense ». On constate donc que selon James Madison que si le peuple se gouverne lui-même cela crée des factions, des troubles. Les plus puissants chercheront donc à tourner les choses à leurs avantages quitte a défavoriser les plus faibles. Ce qui va donc entrainer une inégalité entre les individus notamment de possessions.

dans une analyse plus approfondie, indique à la fois un simple rapport de forces, selon les règles mathématiques où la puissance physique détermine celui qui l’emporte et, à la fois, une expression manifestant que le plus fort détient un pouvoir de faire ou/et d’instaurer le droit (c’est-à-dire d’instituer un ensemble de règles s’imposant aux autres, soit aux plus faibles). Mais, est-ce à dire que le fort a ce pouvoir en vertu de sa force ? On ne peut s’empêcher alors de penser à la fable du loup

surcroit présente une grande aptitude à prévoir, défendre et gouverner, dans ce cas il arrive qu’on veuille lui offrir une part de suprématie.  La Boétie nous dit alors, pourquoi vouloir retirer cette personne d’une place où il faisait le bien pour le mettre à une place où il pourrait faire le mal. Toutefois il soutient qu’il serait déraisonnable (voir ingrat) de ne pas avoir de bonté envers cette personne et de craindre qu’il veuille faire du mal. II. La tyrannie, l’oppression de tous par un seul