Grand Corps Malade

de leur douleur et de s’associer ainsi de façon consciente à la douleur du Christ sur la croix. « Même si la mort est considérée comme imminente, les soins extraordinaires donnés à une personne malade ne peuvent être légitimement interrompus. L’usage des analgésiques pour alléger les souffrances du malade, même au risque d’abréger ses jours, peut être moralement conforme à la dignité humaine si la mort n’est pas voulue, ni comme fin ni comme moyens, mais seulement prévue et tolérée comme inévitable…

poids, parfois involontaire. Elle n’est en aucun cas un moyen simple et rapide de maigrir et est considérée comme une véritable maladie. Ses impacts nuisibles et destructeurs de vomissement et/ou de refus de se nourrir sont le commencement d’un grand danger menaçant la vie de l’individu. On parle aussi plus particulièrement d’anorexie mentale, qui est un trouble psychique (trouble mental) se traduisant par une perte de poids extrême due à une restriction alimentaire intentionnelle même si

d'un produit (barbituriques). Elle peut aussi être passive lorsqu'un arrêt des soins est mis en place, soit par l'interruption de l'alimentation ou de l'hydratation artificielle ou par l'administration de sédatifs à haute dose, pouvant plonger le malade dans le coma et provoquer la mort. histoire Le mot « euthanasie » signifie « bonne mort »  ou « mort sans souffrance » en grec. Dans la Grèce antique, la conception dominante était qu'une mauvaise vie n'est pas digne d'être vécue, c'est pourquoi

celles de Galien. Ainsi on pense que la santé repose sur l’équilibre de quatre humeurs liquides : le sang, la lymphe, la bile jaune et la bile noire. Tout déséquilibre menace la santé et pour soigner le malade, le médecin pratique des saignées soit un prélèvement sanguin pratiqué sur un malade afin d'améliorer son état mais qui bien souvent l’empire, des purges, c’est une pratique de la médecine traditionnelle basée sur l'utilisation de plantes médicinales (ou parfois aussi sur le jeûne) et dont

épargner des souffrances devenues intolérables. | |Ce n’est qu’à la fin du XIXe siècle que le terme a pris le sens de procurer une mort douce en mettant fin délibérément à la vie| |du malade. On pense que l'euthanasie se pratique en secret dans toutes les sociétés, y compris dans celles qui considèrent cet | |acte comme immoral ou illégal.

les traitements tant physiques que psychiques prescrits aux résidents des hôpitaux psychiatriques à la même époque. De multiples auteurs de cette période utilisent le roman pour s’opposer à ces pratiques humiliantes. Grâce à lui, ils défendent les malades et dénoncent leurs mauvaises conditions de détention ainsi que les tortures corporelles et mentales qui leur sont infligées. Plusieurs extraits romanesques tirés d'œuvres d'écrivains de la même période exemplifient ces méthodes auxquelles ils s'opposent

nombreuses et les personnes meurent de blessures (de guerre, de pêche ou de chasse). Les tahu’a (guérisseurs) soignent l’ensemble des pathologies connus. Les Polynésiens classifient les maladies autour de quatre notions (S. Grand) : ma’i tino, maladies du corps : « Le corps est une enveloppe d’humeurs » nécessitant la prescription de médications ra ’au (médicament). Les Tahitiens avaient développé des « stratégies préventives et curatives aussi performantes que leur expertise constatée en chirurgie

religion qu’une pensée médicale organisée peut se construire. Dans ces premiers cours, les civilisations évoquées sont toutes placées sous le signe de ce lien entre religion et médecine : la Mésopotamie, l’Égypte et la Grèce archaïque.  Si l’homme est malade, c’est qu’il a offensé les Dieux d’une façon quelconque et ceux-ci se vengent et vont sanctionner l’individu en question à coup d’ulcères, de grippes, de peste… La maladie est donc conçue comme une punition de Dieu. La tâche du médecin consiste

1896 Science et Charité , cette oeuvre est un parfait exemple de l'iconographie particulière qui régnait à cette époque et nous rappelle combien la maladie comptait dans le déroulement de la vie quotidienne. Femme malade au chapeau d'Ernst Kirchner ou le non moins éprouvant Enfant Malade d'Edvard Munch sont également deux oeuvres qui nous le prouvent. ( montrer sur les tableaux se qui le prouve) Les exemples donnés ici et qui, bien naturellement, ne sauraient à eux seuls offrir un panorama suffisant

faut que ses organes vitaux soit fonctionnels. Par exemple : le cœur sert à assurer la circulation du sang, les poumons à la respiration, les reins à filtrer le sang, le foie pour une bonne digestion et filtrer les déchets de notre corps Certaines personnes, malades ou accidentées, ont besoin d’une transplantation ou greffe (Transfert d’un organe entier fonctionnel d’un individu à un autre) pour survivre. Pour que l’opérationréussisse, il doit y avoir compatibilité entre le donneur et le receveur