Grand magasin

Sommaire Remerciements 2 INTRODUCTION 4 I) L’entreprise 5 1) Le groupe ARCANDOR AG 5 1) Les grandes dates du groupe 5 2) Organisation du groupe 8 3) Quelques chiffres 9 2) Karstadt à Müllerstraße 12 1) Généralités sur le magasin 12 2) Le quartier et la clientèle 13 3) Le rayon sport 14 II) Les missions 16 1) Au sein de l’entreprise 16 1) Conseil et service aux clients 16 2) Mise en rayon ou merchandising 17 3) Commande de produits 18 2) A l’extérieur

Durant sa vie, il va voir la naissance des grands magasins avec leurs belles architectures et grandes vitrines. Zola va écrire ce roman qui fait partie de sa série des Rougon-Macquart où il place la femme au centre du roman comme une personne des temps modernes, motivante et va décrire l’épopée du Grand magasin et plusieurs ascensions sociales. Son projet d’écriture durera 3 ans (entre 1881 et 1883). Pendant ce temps, Zola va visiter les grands magasins en observant l’organisation, la disposition

aujourd’hui C) La stratégie marketing * Stratégie produit * Stratégie prix * Stratégie communication * Stratégie distribution D) Les implantations E) Quelques chiffres à retenir * Chiffres d’affaire, visiteurs, magasins III) Conclusion I) Introduction Pour l’étude d’un groupe, mon choix s’est porté sur le groupe Galeries Lafayette, car c’est un groupe de renommée mondiale qui reflète une image haut de gamme. Pour ce faire, j’étudierais en premier

Au bonheur des dames, publié en 1883, en est un roman naturaliste de Émile Zola présentant l’émergence d’un nouveau type de magasin, en partant de l’organisation, de la vente jusqu’à la clientèle. L'histoire se passe entre les années 1864 et 1868, à l'époque des grands magasins comme « La Samaritaine » et « Le Bon Marché ». « Au bonheur des dames » est le onzième volume de la série « Les Rougon-Macquart ». Dans ce roman, la notion d’évolution est omniprésente, Zola a voulu que le lecteur soit intrigué

milieu du XIXème siècle, les Grands Magasins font aujourd'hui partie intégrante du paysage parisien. Dans notre exposé nous allons vous parler de la naissance de ces grands magasins parisiens ! Nous allons commencer par vous parler du « Bon Marché » que nous pouvons apercevoir là C'est le Premier grand magasin parisien Ce dernier a tout d'abord était un magasin de draps , matelas … Il fut fondé en 1838 par les frères Paul et Justin Videau sous la forme d'une grande boutique (douze employés et

immeuble parisien. - dans "Au bonheur des dames", il étudie l'apparition des grands magasins - Dans "Germinal" il se fait témoin des conditions de vie et des luttes ouvrières dans une sté où triomphe le pouvoir de l'argent. Il est convaincu qu'une puissance de vie anime aussi bien la nature humaine que le monde matériel et il est capable de doter d'une vie extraordinaire et inquiétante des lieux comme par exemple le grand magasin du "Bonheur des Dames", la mine de Germinal, des machines comme l'alambic

dont le Bonheur des Dames est le 11ème de la série. Ce roman a été publié en 1883 mais pré-publié dès décembre 1882. Emile Zola mourut le 29 septembre 1902, à l’âge de 62 ans. 3. Sens du titre Ce titre représente le nom de l’un des premiers grands magasins parisiens qui fut une réussite auprès des femmes mais qui attira la colère des petits commerçants. Au Bonheur des Dames d’Emile Zola 4. Personnages Denise Baudu : maigrichonne, timide, pas très belle, pauvre, elle est le personnage principal

compose de 70 grands magasins et de 30 hypermarchés à travers l’Espagne et le Portugal. Cette enseigne a été créée en 1935 sous l’impulsion de Don Ramon Areces et de Don Cesar Rodriguez, son oncle. En 1940, El Corte Inglés devient une société à responsabilité limitée avec un capital de 1 million de pesetas. En 1952, il devient une société anonyme car depuis sa création, l’entreprise connaît une forte expansion. Ce développement s’explique par un autofinancement et une ouverture de magasins dans quasiment

boutique de draps et de flanelles souffre de la concurrence du grand magasin : « Au Bonheur des Dames », dirigé par Octave Mouret, « à l’encoignure de la rue de la Michodière et de la rue neuve Saint-Augustin, un magasin de nouveautés dont les étalages éclataient en notes vives, dans la douce et pâle journée d’Octobre. » Les agrandissements successifs du « Bonheur des Dames » sont responsables des difficultés croissantes des petits magasins du quartier. Ayant cherché sans succès du travail dans les

Malheureusement, son oncle ne peut lui en offrir : en effet, depuis l’ouverture des magasins de nouveautés, les petits commerces agonisent. Face à ses problèmes, Denise ne peut qu’accepter la proposition du Bonheur des Dames et devient employée de la maison. Par la suite, renvoyée, elle sera de nouveau embauchée en tant que vendeuse et sera promue seconde puis première dans le rayon des confections. Le succès du magasin grandit de jour en jour mais le directeur, Octave Mouret, est tourmenté par l’amour