Grand magasin

fr/brouillons/ecrivains/index.htm - Par la Société Émile Zola et France@la carte Adresse : http://www.francealacarte.org.uk/education/enseigner/ressources/alevel/litterature/zola/rougons.html 4. Au bonheur des dames présente la naissance d'un grand magasin dans la deuxième partie du XIXème siècle. Zola a, dans d'autres livres, présenté d'autres aspects de la vie économique et sociale de son temps. Trouvez trois titres de romans qui en sont l'exemple, et précisez de quel aspect ils traitent.

Dossier de presse des expositions un ouvrage Les Grands Magasins parisiens sous la direction de Béatrice de Andia Déléguée générale de l’Action Artistique de la Ville de Paris Le Bon Marché, (détail), Félix Vallotton, huile sur carton, 1898, Collection privée © Fondation Félix Vallotton, Lausanne Caroline François Presse Florence Claval Contact : Action artistique de la Ville de Paris 25, rue Saint-Louis en l’Ile 75004 Paris tel : 01 43 25 30 30 fax : 01 43 25 17 69 www. aavp.com

l'arrivée de Denise à Paris (octobre 1864) et son mariage avec Octave (février 1869). Pour construire ses personnages ? Zola dresse une liste des personnages, qui indique leur âge au début du roman et leur ville d’origine. Les employés du magasin sont classés par rayons et ils reçoivent tous un patronyme, plusieurs en changeront juste avant l’écriture du roman (Louise deviendra Denise ;Barrois --> Bourras ;le baron Decker --> Hartmann ;Mme Destouches --> Mme Desforges) Puis Zola

Au bonheur des Dames Emile ZOLA 1883, Les Rougon-Macquart, 493 pages Edition Fasquelles Emile ZOLA est un des plus grands auteurs français. Après66 avoir échoué au baccalauréat, il travaille dans la publicité chez66 Hachette ce qui lui permet de connaître les plus grands auteurs 66 de l'époque. Il devient ensuite journaliste. Ce métier, ainsi que66 L'introduction à l'étude expérimentale de Claude BERNARD66 influencent son travail d'écrivain :

l’observation, l’expérimentation, l’hérédité et le milieu. Pour écrire son roman sur le développement des grands magasins, Emile Zola a fait un immense travail de recherche. en prenant beaucoup de notes et en réalisant des plans (de rayonnage), il a en effet visité ces grands magasins. Il ira mémé jusqu’ à interviewer les vendeurs et vendeuses pour en savoir le maximum sur ce magasin, l’organisation de ce magasin et les techniques de vente. On remarque bien que le bonheur des dames est extrêmement bien décris

Au XIXe siècle, alors que l'abolition des corporations décloisonne la distribution, magasins de nouveautés vont pour la première fois rassembler sous la même enseigne tout le nécessaire à la toilette féminine : draperie, soierie, mercerie, bonneterie, dentelles, fleurs… et, premiers articles confectionnés, les châles indispensables aux élégantes. Grâce à la révolution industrielle, la production en série et la baisse du prix des tissus permettent de diffuser plus largement la mode. Des pratiques

sur le sujet commence dès 1881: article du Figaro du 23 mars 1881 sur les grands bazars, la faillite du petit commerce, le folie des achats et le problème du vol, article de novembre 1881 de Jean Richepin dans Gil Blas sur le calicot dans les grands magasins, article de janvier 1882 dans Gil Blas sur les demoiselles des grands magasins. Il visite des après-midi entiers des grands magasins[9] : le Bon marché, les Grands Magasins du Louvre, la Place Clichy, observe l'organisation, interroge les dirigeants[10]

aucunes des composantes de cette société et en faisant une grande place aux grandes transformations produites à cette époque. Cette œuvre comporte une série de vingt romans. Au Bonheur des Dames correspond au onzième roman du cycle des Rougeon-Macquart. IV. Le travail de Zola : L’élaboration du roman Au Bonheur des Dames. Pour récolter des informations, Zola, pendant deux mois (février et mars 1882) a enquêté sur le terrain : aux grands magasins du Louvre et aux Bonscharchés, qui sont d’ailleurs les

choisir leur peuple. Dans le roman « Le bonheur des dames », Zola s’attache aux ouvriers du 1er grand magasin qui a été ouvert dans les années 1860 et les fait parler dans un langage populaire et intègre des personnes provenant d’un milieu social relativement pauvre vers un milieu social plus aisé en faisant intégrer Denise ( personnage principal, jeune normande de 20 ans, employée du magasin ) à un grand magasin huppé tel que le bonheur des dames. Les naturalistes confrontent des données réelles et sont

1883, le onzième volume de la série Les Rougon-Macquart. À travers une histoire sentimentale à l'issue inhabituellement heureuse, le roman entraîne le lecteur dans le monde des grands magasins, l'une des innovations du Second Empire. Le modèle du personnage d'Octave Mouret est Auguste Hériot, co-fondateur des Grands Magasins du Louvre Résumé succincte : Denise Baudu, jeune orpheline, arrive de Normandie, sans travail à Paris avec ses deux frères dont elle a la charge. Elle espère trouver secours