Grands Magasins du Louvre

des grands magasins C’est sous le second empire que les grands magasins voient le jour. Cependant, il faut savoir que dès le XVIIIe siècle, le duc d’Orléans avait anticipé cette nouveauté, car il fit aménager les galeries du Palais Royal en centre commercial. Cette réalisation remporta un grand succès auprès d’une clientèle de haut rang. Toutefois, cette innovation fut stoppée par la révolution française. Sous la restauration (1814-1830) un renouveau commercial apparait, l’ancêtre du grand magasin

Sommaire : Présentation du rapport de stage : |- Présentation globale du groupe LOUVRE 1-Historique du groupe 2-Philosophie du groupe 2-a-Marques du groupe 2-b-Définition d’une chaine hôtelière 3-Stratégie d’exploitation du groupe 3-a- Les différentes manières de gestion des différentes marques 3-b- La gestion de la chaine Campanile ||- Présentation de l’hôtel Campanile Jas de bouffan 1-La fiche technique de l’hôtel 2-Présentation

1ère STMG2 CIORBA Bianca LEMARCHAND Amandine Travail de recherche : La filière textile. Les grands magasins français (XIXe-XXe siècle) Le grand magasin du Louvre (1855) Le Bazar de l'hôtel de ville (1856) Les galeries Lafayette (1894)

Dossier de presse des expositions un ouvrage Les Grands Magasins parisiens sous la direction de Béatrice de Andia Déléguée générale de l’Action Artistique de la Ville de Paris Le Bon Marché, (détail), Félix Vallotton, huile sur carton, 1898, Collection privée © Fondation Félix Vallotton, Lausanne Caroline François Presse Florence Claval Contact : Action artistique de la Ville de Paris 25, rue Saint-Louis en l’Ile 75004 Paris tel : 01 43 25 30 30 fax : 01 43 25 17 69 www. aavp.com

l'arrivée de Denise à Paris (octobre 1864) et son mariage avec Octave (février 1869). Pour construire ses personnages ? Zola dresse une liste des personnages, qui indique leur âge au début du roman et leur ville d’origine. Les employés du magasin sont classés par rayons et ils reçoivent tous un patronyme, plusieurs en changeront juste avant l’écriture du roman (Louise deviendra Denise ;Barrois --> Bourras ;le baron Decker --> Hartmann ;Mme Destouches --> Mme Desforges) Puis Zola

en écriture abrégé semé de réflexion et d’hypothèses sur comment il va mener sa narration. Il va ensuite crée une liste des différents personnages : En indiquant leur âge au début du roman et leur ville d’origine. Par exemple : Les employés du magasin sont classés par rayons (soie, dentelles, toile, laine, ganterie, confection, lingerie). Tous reçoivent un patronyme, plusieurs en changeront juste avant l’écriture du roman : - Louise deviendra Denise ; - Hervieu : Bourdoncle ;

Genèse d'Au Bonheur des Dames "Au Bonheur des dames" publié en 1883 est un roman naturaliste qui raconte la lutte désespérée d'un quartier parisien contre l'envahissement progressif par le grand magasin. Son directeur, Octave Mouret, tombe amoureux d'une modeste vendeuse, Denise Baudu. L'ébauche: Zola déclare, dès les première ligne de son ébauche, déclare vouloir "faire le poème de l'activité moderne". Il a déjà e tête l'idée de roman sur le « haut commerce » depuis l'élaboration de son

masse, l'industrie textile avait besoin d'un commerce dont les prix et l'accueil stimuleraient les achats : le temps des grands magasins était venu. Au 19e siècle, la révolution industrielle fait souffler un vent nouveau sur la distribution. Ce grand chamboulement du commerce a fait naître des initiatives révolutionnaires pour l’époque sur les grands boulevards. Enfin des magasins de nouveautés proposent pour la première fois sous la même enseigne tout le nécessaire à la toilette féminine : draperie

sujet commence dès 1881: article du Figaro du 23 mars 1881 sur les grands bazars, la faillite du petit commerce, le folie des achats et le problème du vol, article de novembre 1881 de Jean Richepin dans Gil Blas sur le calicot dans les grands magasins, article de janvier 1882 dans Gil Blas sur les demoiselles des grands magasins. Il visite des après-midi entiers des grands magasins[9] : le Bon marché, les Grands Magasins du Louvre, la Place Clichy, observe l'organisation, interroge les dirigeants[10]

sujet commence dès 1881: article du Figaro du 23 mars 1881 sur les grands bazars, la faillite du petit commerce, le folie des achats et le problème du vol, article de novembre 1881 de Jean Richepin dans Gil Blas sur le calicot dans les grands magasins, article de janvier 1882 dans Gil Blas sur les demoiselles des grands magasins. Il visite des après-midi entiers des grands magasins[9] : le Bon marché, les Grands Magasins du Louvre, la Place Clichy, observe l'organisation, interroge les dirigeants[10] et