Grande Muraille

devenue une capitale sous le règne de Philippe Le Bel qui a accru l'importance politique de la ville, Paris se transforme en « monstre urbain » comme le montre sa population qui a atteint environ 200 000 habitants en 1297, ce qui fait d'elle la plus grande ville médiévale en Occident. Je vais donc vous présenter un ensemble de documents contenant 4 cartes de cette ville de Paris. Parmis ces documents nous avons un plan détaillé de la ville Paris à la fin du Moyen-Âge provenant du livre La France au

Paris l'essor d'une capitale Dossier ( page 136-137) Au XIII° siècle Paris devient très vite la plus grande ville d'Occident, cette étude permet de montrer le mécanisme de l'essor d'une capitale ainsi que ses conséquences spatiales Comment s’explique et se manifestes l'essor d'une capitale? L'essor de Paris se mesure face a l'extension spatiale de la ville par une nouvelle muraille qui entoure la ville. Des petits bourgs (définition page 134) vont naître autour de la ville monastique

tour est construire à partir du sol. Dans les plus anciennes fortifications du Moyen Âge, il y avait des échauguettes. Il est à croire que ces premières échauguettes étaient en bois ( Guérite en bois ou en pierre placée en encorbellement sur la muraille ou l'angle d'une construction fortifiée, permettant d'en surveiller les abords ) qu’on posait en temps de guerre. Tous les couronnements de forteresses antérieures au XIIe siècle étant détruits, nous ne connaissons pas la forme exacte de ces échauguettes

collective. Tout d’abord, on observe que l’extrait est le portrait d’un prisonnier. Et les formes d’emprisonnement sont nombreuses. Premièrement, le condamné est victime d’un emprisonnement physique et matériel. La phrase « Pris entre quatre murailles de pierre nue et froide » ne présente pas de sujet. Ici, l’homme est passif. Le mur, qui est complément d’agent, donne ainsi une impression de grandeur, de domination et d’emprisonnement sur le sujet écrasé. La phrase « sans liberté pour mes pas

Aperçu général En dépit de ses grandes potentialités et de sa valeur patrimoniale, la ville ancienne de Larache connait une dégradation à tous les niveaux, culturels, socioéconomiques, urbanistiques...etc., liée à la défaillance de politiques et programmes des autorités publics et locaux, et de l’inefficacité des interventions des acteurs privés Le besoin de diagnostiser le site sur le niveau patrimoniale et touristique, est dicté par le fait qu’il dispose de fortes potentialités, d’où l’importance

pierre. Le seigneur vit dans un donjon carré ou rectangulaire où se trouvent une grande salle et le logement des soldats. Au XIIième siècle, c’est le temps des donjons circulaires. (ils résistent mieux aux assauts car les projectiles ricochent dessus). Cette tour est l’ultime refuge en cas d’attaque. Elle est protégée par une ou plusieurs enceintes. A la fin du XIIIième siècle, le donjon est adossé à la muraille pour laisser de la place aux engins qui lancent des projectiles sur les assaillants

autour du château comme les familles des hommes d'armes ou des serviteurs, les paysans des alentours, qui fuient les envahisseurs. Le château sert également à montrer la puissance et la richesse de celui qui l'a fait construire : plus le château est grand, beau, solide, plus son seigneur est puissant.         Les mots du château : > Passez la souris sur le dessin de ce château fort, afin de lire les noms des différents éléments qui le composent. Quelques détails de vocabulaire :

souillait. De ce porche, sous lequel s'ouvraient deux portes, l'une conduisant aux appartements du rez-de-chaussée, l'autre à une salle qui avait pu jadis servir de salle des gardes, on débouchait dans une cour triste, nue et froide, entourée de hautes murailles rayées de longs filaments noirs par les pluies d'hiver. Dans les angles de la cour, parmi les gravats tombés des corniches ébréchées, poussaient l'ortie, la fille-avoine et la ciguë, et les pavés étaient encadrés d'herbe verte. Au fond, une rampe

tout pensée et s’établit en fonctions des envies de la population. On ne peut pas encore faire la différenciation entre ville et village, selon les critères de notre époque. La plupart des villes restent de petites importances et gardent toujours de grandes relations avec ses campagnes environnantes. Ces relations permettent un essor urbain. Il s’agit en fait de l’expansion d’un noyau préurbain par l’afflue d’une population diverse. Même si certaine ville sont totalement pensées dans leur construction

caractère sacré doit être sauvegardé. Mais à l'aube du 21ème siècle, la ville s'est laissé envahir par un nouvel ennemi, la circulation automobile. La pollution et les vibrations des véhicules, entrainent dégradation, fissures dans les bâtiments et murailles. Mr Lemghari ESSAKL, Directeur général de l’agence pour l’aménagement de la Vallée du Bouregreg : « Avec le développement de l'automobile, cet espace a été utilisé comme un passage entre l’amant et l’aval pour aller sur la corniche, au point où