Gravure

Analyse d’une peinture 1. Décrire 2. Analyser le point de vue du tableau : Que cherche à dire l’auteur ? RELIGIONS ET ATHEISME Maniere dont les PRETRES CARIBES souflent le courage, Bernard Picart (gravure et dessin), 1721 Contexte : Pays chaud, parce que les hommes sont presque nus, paysages, cases Les prêtres soufflent le courage : rite en vue d’une guerre Lien avec le texte : Caribes, p.e. explorateurs français ->Martinique, Guadeloupe Quelle est l’intention de l’auteur

...............................................................................................3 2.1. 2.2. 2.3. 3. CONDITIONS GENERALES DES ESSAIS.......................................................................................7 3.1. GRAVURE ....................................................................................................................................7 3.2. MATERIEL D'ANALYSE ........................................................................................

conquête de la Franche-Comté. Ce document date de 1675, c’est une gravure tirée d’un almanach royal. Elle représente le siège de la ville de Besançon par l’armée royale, dirigée par le roi en personne. Une gravure est un document iconographique, très utilisée en Occident depuis le 14ème siècle, puisque celle-ci permet de reproduire la même scène en de nombreux exemplaires et donc de la diffuser à large échelle. L’auteur de cette gravure est Langlois. Il est basé à Paris rue Saint-Jacques la victoire

Culture G 06/12/2012 Brassemeouy : ivoire 4 cm (tête 2cm) d-Les representations masculines. A la difference des representations féminines elles font l'objet de gravure et de peinture que de sculpture. Avec les feminines on retrouve des reprentations falus, carricaturale de face ou de profil. Dans la representation masculine ils sont plus dynamiques. On a des chimères : melange fragment d'homme avec fragment d'animal. Ex : le sorcier, vient de la grotte des trois frères en Ariege. Il a

de la précision. Elle se distingue de la gravure car il n'y a pas de retrait de la matière. Le graveur retire du métal là où le ciseleur vient "l'imprimer" en la comprimant à l'aide de ses marteaux et de ciselets séléctionnés au préalable pour obtenir le meilleur rendu du métal. La gravure Elle peut être ornementale et exécutée sur de l'or, de l'argent, du cuivre, du laiton et tout type de métaux. Le support métallique est l'oeuvre finale. La gravure peut aussi n'être qu'une étape intermédiaire

commandes d’œuvres originales à des artistes contemporains c’est le cas pour Salvador Dali Technique de la taille douce : * Inventée au XVème siècle à Florence en Italie * 1er procédé de gravure hérité des orfèvres. Cette technique fait référence à la gravure au burin qui est une gravure en creux et l’encre recouvre les creux. * Le support est souvent une plaque de cuivre, de zinc ou de laiton. * Cette technique est aussi utilisée dans la fabrication des billets de banques et

successivement une nouvelle iconographie. Au XXème, Benjamin Rabier suivi de Chagall proposent, à leur tour, leur vision des fables. LE CORBEAUX ET LE RENARD Cette gravure de Gustave Doré illustre une des célèbre fables de Jean de la fontaine Le Corbeau et le Renard, et il l'a réalisée en 1868. Dans cette gravure, on peut voir que le corbeau et le renard sont placés au milieu et qu'ils sont entourés de la forêt. A gauche, on peut voir un gros trop tronc d'arbre avec une branche qui va

second est une gravure sur bois colorée au pochoir, réalisée par Cranach Le Jeune vers 1545 et qui se trouve maintenant au Kupferstichkabinett de Berlin. Le troisième est une gravure satyrique qui représente 5 personnes avec des têtes d’animaux qui sont le Pape Léon X et des théologiens allemands. Enfin, le dernier est une gravure sur bois composée de deux illustrations différentes. Sur la première on voit un moine et sur la seconde il y a un portrait de Luther. Ces quatre gravures ont été produites

"Assaut under the gas", de son vrai nom " Sturmtruppe geht unter Gas vor", est une gravure aquatinte de 35,3 x 47,5 cm de dimension gravée par Otto Dix en 1924 et qui est conservée au Deutsches Historiches Museum en Allemagne. Cette gravure peut être reproduite plusieurs fois. Elle fait partie d’ une série de plus de 50 gravures appelée « Der Krieg » qui été réalisée dans les années 20 et témoigne de l’ horreur des tranchées, vécue par l’ artiste lui-même. On voit que le cadre est serré et que 3

façades très différenciées de l’ancien et du nouveau bâtiment. Aux étages, des ouvertures, «  boîtes à regard » laissent deviner les salles à découvrir. Du mobilier (tiroirs, pupitres, etc.) permettent un regard plus pointu plus précis d’une série de gravures, lettres, etc. Tandis qu’au dernier étage, l’espace s’ouvre et la présentation se fait plus aérée. La visite débute par une présentation biographique de l’artiste, en lien avec les évènements artistiques et politiques de l’époque, sa vie bruxelloise