Grégoire XV

peine souveraineté que seul le pape détient ainsi que la puissance politique que les souverains reçoivent directement de Dieu. Dans ce cas, le pape cumule ces deux pouvoirs. Cependant, ce programme est plus souple que la réforme Grégorienne (par Grégoire VII), même s'il pense que le pouvoir spirituel (l'Église était reconnu pour avoir un pouvoir spirituel exercé sur les âmes), l'emporte sur le pouvoir temporel (aux souverains et aux pouvoirs civils était reconnu le pouvoir temporel) , Innocent III

FICHE N°4 : LA GAULE MÉROVINGIENNE (6ÈME SIÈCLE AU 8ÈME SIÈCLE). Commentaire de Texte : Histoire des Francs, Livre II, 27 de GREGOIRE DE TOURS Le pouvoir du roi Franc sur ses guerriers : CORRECTION Mettre en avant la nouveauté que pose ce texte : le pouvoir de Clovis entre la tradition germanique et l'ouverture sur un nouveau mode de gouvernement plus ambitieux, territorial, appuyé sur l’Église qui est une autorité d'un nouveau type. Introduction : le contexte de l'apparition des Francs

806- 882. Archevêque de Reims auteur de traités. Cherche à défendre et à étendre les droits de l’Eglise. Distinction entre puissance royale et autorité pontificale. Supériorité du pouvoir spirituel sur le pouvoir temporel. Texte 2 : a) Grégoire VII Dictatus papae 1075 : 1015-1085. Devient le 155ème pape en 1073. Principal artisan de la réforme grégorienne : purification des mœurs du clergé, lutte contre la simonie, contre le trafic des bénéfices, centralisation de l’Eglise. 1er texte :

thèse d’un débat sur l’âme des femmes ? Ce concile est l’un des conciles mérovingiens les plus connus par les historiens car les sources sont doubles : non seulement les canons du concile nous sont parvenus par différents manuscrits[6], mais Grégoire de Tours, dans son ouvrage Histoire des Francs[7] , écrit peu de temps avant sa mort en 594, le raconte avec force détails. Le second concile de Mâcon est en effet un important concile de la nation franque, qui se réunit probablement le 23 octobre

Elle accompagne l'aumônier des dominicains auprès du pape à Avignon, en tant qu'ambassadrice de Florence, ville alors en guerre contre le pape. Son influence auprès du pape Grégoire XI joue un rôle avéré dans sa décision de quitter Avignon pour Rome. Elle est ensuite envoyée par celui-ci pour négocier la paix avec Florence. Grégoire XI étant mort et la paix conclue, elle retourne à Sienne. Elle dicte à des secrétaires son ensemble de traités spirituels Le Dialogue. Le grand Schisme d'Occident conduit

Conversion : adoption d’une religion Excommunication : être banni de la chrétienté par le pape Catharisme : exemple de répression violente 2. Personnages GREGOIRE VII (à droite) Ildebrando Aldobrandeschi de Soana (né vers 1015/1020 et mort le 25 mai 1085), devient en 1073 le 155e pape sous le nom de Grégoire VII. Il est le principal artisan de la réforme grégorienne. Cette réforme de l'Église entend purifier les mœurs du clergé (obligation du célibat des prêtres, lutte contre

Grégoire le grand Grégoire 1er aussi appeler Grégoire le grand était l'un des quatre père de l’Église d'Occident. Son influence au Moyen Age était considérable. C'est aussi grâce à lui qu'on doit l’appellation de «chant grégorien» I C'est début Il est né à Rome vers 540,dans une famille chrétienne. au même moment de la reconquête de l'Italie par Justinien. Son père était le sénateur Gordien, deux de ses sœurs sont honorées saintes Tharsilla et Æmiliane, sa mère Sylvie aussi est devenue

successeur était purement et simplement désigné par l’Eglise, et prêtait foi et hommage au seigneur. On en arrive à un stade où les ecclésiastiques paraissent détenir leurs prérogatives du Roi, du seigneur. La restauration grégorienne Grégoire VII a été l’artisan de la réforme de l’Eglise. Ce courant a été facilité par la réforme du clergé régulier, due à l’abbaye de Cluny. L’étude de la réforme grégorienne Entre 1049 et 1059, la papauté va d’abord s’employer à affirmer la primauté

" constitution ". Elle se présente, en effet, comme un exposé doctrinal des principes qui règlent les rapports entre le pouvoir spirituel de l’Église et les pouvoirs temporels. Quant au fond, rien de neuf, par rapport aux textes promulgués depuis Grégoire VII. Ce qui lui vaut sa notoriété, c’est surtout sa conclusion solennelle et dogmatique : " Il est de nécessité de salut de croire que toute créature humaine est soumise au pontife romain : nous le déclarons, l’énonçons et le définissons. " Sous

formation des pouvoirs publics…Ceux-là seuls qui contribuent à l’établissement public sont comme les vrais actionnaires de la grande entreprise sociale. Eux seuls sont les véritables citoyens actifs. » Seuls quelques constituants déjà influents, l'abbé Grégoire, Robespierre, s'élevèrent en faveur d'un suffrage universel non dépendant de conditions de fortune. En octobre 1789 Robespierre se déclare favorable au suffrage universel, considérant le suffrage censitaire comme une atteinte à la Déclaration des