Grèce Classique

idée) les phonogrammes ( exprime un sons) les déterminatifs ( qui aident le lecteur pour la compréhension d'une chose ou d'une idée) ( en parallèle il y avait aussi l'écriture cursive = écriture arabe mais + simplifié ) 3ème foyers en Crête et en Grèce Continentale ( cité de Knossos ) ==> les plus anciens datés de 2000 a.v J.C sur des tablettes d'argiles ou gravés dans la pièce . 3 sortes d'écriture : linéaire ( composé de 200 signes syllabaires), linéaire A ( 1750 a.v J.C formés de signe stylisé

car ce style représentait symboliquement la démocratie de la Grèce antique et de la République romaine . La Rome impériale devint un nouveau model sous Napoléon 1er ,mais avec l'émergance du mouvement romantique ,ce style disparut peu à peu . Il définit de manière fondamentale la recherche d'une excellence dans le travail de l'art ,que l'on qualifie en terme de recherche d'esthétique de Canon . Ces "canons" représentent "Les Classiques" . En verité ,le néoclassique est à la recherche d'un idéal

Aristophane et Racine et désignait, à travers le mot même de théatron, l’action de regarder et de contempler. Ce terme est donc désigné aux spectateurs et est à l’origine, un lieu d’où ils observent la scène. Ce n’est qu’à la période du théâtre classique du VIIe siècle, que le théâtre vient aussi designer la littérature. Se pose alors la question de sa fonction : N’est-il fait que pour être joué. Musset a écrit, pour désigner le théâtre, Spectacle dans un fauteuil, tandis que certains auteurs tel

pratiqué au Moyen Age ? 5) Qu’est-ce qu’un retable ? 6) Qu’est-ce qu’une icône ? 7) A partir de quel moment, les peintres ont commencé à peintre les genres mythologique et allégorique ? 8) Qu’est-ce qu’une allégorie ? 9) Pourquoi parle-t-on du nu classique ? 10) Quels personnages nus pouvaient être représentés au Moyen Age ? Et à la Renaissance ? 11) Comment représentait-on le nu dans l’Antiquité grecque et à la Renaissance ? Qui est-ce qui a brisé ces conventions ? 12) A partir de quel moment a-t-on

o 1.1 Les pères fondateurs o 1.2 Un écho du présent o 1.3 Femmes et enfants o 1.4 Néropolis : roman des temps modernes o 1.5 Fantastique, exotisme et poésie * 2 Walter Scott et une poignée de classiques du roman médiéval ou moyenâgeux (selon les romanciers et leurs acceptions), XVe siècle compris * 3 De la Renaissance à l'empire de Napoléon o 3.1 Des parrains prestigieux o 3.2 Les bretteurs o 3.3 Révolution

Antigone. Ceci va ainsi nous amener la question du titre : Pourquoi Antigone est-elle si fascinante ? Si, nous autres lecteurs du XXème siècle, lisons aujourd’hui Antigone, cela signifie que ce mythe a eu un impact certain sur la société de la Grèce antique, l’histoire se déroulant à Thèbes, et sur les sociétés successives qui nous ont transmis la culture hellénique. La pièce de théâtre Antigone a été écrite par Sophocle vers 441 av. J.-C., puis reprise par de nombreux auteurs au cours des siècles

1992 par les éditions Hachette. 2 Euripide est un auteur grec né à Salamine(Grèce) vers 480 avant JC et mort en Macédoine en 406 avant JC. D’une origine modeste il reçoit cependant une éducation de qualité. Il est l’un des trois plus grands auteurs classiques de la Grèce antique avec Sophocle et Eschyle. Ses pièces revisitent les mythes avec une grande liberté de ton. Il était connu parmi les écrivains de l'Athènes classique pour sa sympathie envers toutes les victimes de la société, femmes incluses

La place du citoyen dans la participation poltique dans la Grèce, et Rome antique. Le citoyen est donc pour Aristote celui qui possède la faculté de participer au pouvoir délibératif ou judiciaire dans la cité mais dans le but de maintenir le bien commun. Il y a en Grèce et à Rome un lien organique entre la citoyenneté et la participation à la défense de la cité. Dans un premier temps voir la place du citoyen en Grèce Antique, en distinguant Sparthe et Athènes. Puis dans un second

rares accessibles à un aveugle dans une société comme celle de la Grèce antique[12]. Plusieurs villes ioniennes (Chios, Smyrne, Cymé ou encore Colophon) se disputent l'origine d'Homère. L’Hymne homérique à Apollon délien mentionne Chios et Simonide de Céos[13] attribue à « l'homme de Chios » l'un des plus fameux vers de l'Iliade, « il en est de la race des humains comme des feuilles[14] », devenu un proverbe à l'époque classique. Lucien de Samosate (120 - v. 180) fait d'Homère un Babylonien envoyé

Le genre romanesque découle des épopées de la Grèce antique et de Rome. C’était des récits contant les aventures fabuleuses d’un demi-dieu, à savoir un héros d’après le sens primaire. Si le héros est aujourd’hui le personnage principal d’une histoire, les héros accomplissaient des exploits remarquables   et étaient alors d’un courage inégalable. Par opposition à cette image s’est créé à partir du XIXème siècle le personnage médiocre, c’est-à-dire un protagoniste moyen qui n’a donc rien d’exceptionnel