Guerre de la Ligue d'Augsbourg

A mettre en relation avec un contexte politique contemporain à l'auteur : Guerres en Europe, coalition contre Louis XIV dont pouvoir sur déclin à laquelle participent Guillaume III, et d'autres chefs euros : ligue d'Augsbourg 1688-1697 La onzième remarque du chapitre ajoutée dans VIème éd° de 1791 s'inscrit dans suite de trois remarques sur la guerre qui en font la critique et dont nous retrouverons certains éléments dans la 11. §9 = « règles qu'on

est « empereur en son royaume ». Il tire son prestige et son pouvoir de son sacre à Reims, qui en fait le « lieutenant de Dieu sur terre », il est choisi par Dieu. Mais les rois doivent faire face à de nombreuses difficultés, comme la guerre de 100 ans et les guerres de religion (1559- 1598). Le premier roi Bourbon, Henri IV (1589-1610), protestant converti au catholicisme, rétablit la paix religieuse avec l’édit de Nantes en 1598 : il décrète la tolérance du protestantisme dans le royaume au nom

défense efficace de son empire colonial. Entre 1689 et 1763, quatre guerres, qui sont autant de prolongements des conflits européens, opposent les colons rivaux, Anglais et Français. - A l'issue du premier conflit, baptisé guerre de la Ligue d'Augsbourg (1689-1697), les positions en présence restent presque inchangées. Cependant, il apparaît vite que les Français sont en position d'infériorité numérique flagrante. - La guerre de Succession d'Espagne (1701-1713) confirme cet état de fait. Par le

les parties. C’est là le résultat des efforts pour trouver un accord durant la guerre de TRENTE ANS, les traités de Westphalie mêlèrent le traditionnel au nouveau. C’est le 24 octobre 1648 à Münster et Osnabrück en Westphalie que la paix fut signée. Les diplomates de presque toute l’Europe assistent cérémonieusement à la signature des traités qui mettent fin à l’un des conflits les plus sanglants de l’histoire. La guerre de Trente Ans, dont le foyer initial s’embrase de manière improbable en 1618

politiques. Des querelles nombreuses divisèrent les protestants d'Allemagne jusqu'à la Diète d'Augsbourg en 1555. En Suisse, plusieurs villes passèrent à la Réforme, les plus en vue étant Zurich (dès 1525 avec Zwingli) et Genève, où Calvin instaura une Cité-Église à partir de 1541. En France, les tentatives de réforme connurent des succès importants, mais aussi des résistances extrêmes. Des guerres fratricides déchirèrent le pays durant tout le siècle, dans les Cévennes, dans le Sud-Ouest

longtemps fragilisée par les conflits et la faiblesse du pouvoir royal, affirme progressivement son autorité sur le royaume en mettant en place les fondations de ce qu’on a appelé l’absolutisme. Par la modernisation de l’état, par l’usage de la guerre, par le développement de l’administration, le pouvoir royal se renforce sans jamais cependant parvenir à limiter les oppositions. Problématique : Comment s’affirme l’autorité de l’état en France à l’époque moderne ? Comment caractériser la monarchie

l’église de Wittenberg une lettre exposant 95 thèses en vue de réformer l’Eglise romaine déliquescente. Dès lors, une série d’évènements se succèdent, évènements aboutissant grâce au soutien des princes allemands à la rédaction de la Confession d’Augsbourg qui composera en quelque sorte les statuts du protestantisme. Excommunié depuis 1521, Luther constitue avec ses disciples l’église évangélique luthérienne. Quelles sont les caractéristiques de cette église ? La doctrine luthérienne repose sur l’énoncé

sur des questions touchant la nature même de l'Etat Monarchique. Le XVI ème siècle est marqué en France et dans une grande partie de l'Europe, par des guerres de religion entre catholiques et protestants. Lorsque Henri III meurt assassiné par un fanatique catholique en 1589, il n'a pas d'héritier direct mâle et laisse un pays en pleine guerre civile. Son premier successeur légitime à la couronne de France est donc Henri de Navarre. L'on va donc chercher des règles de succession, il y a deux prétendants

de Navarre, mais étant de religion réformée, chef du parti protestant et excommunié par le pape en 1585, son accession au trône soulève aussitôt l’opposition des catholiques et, plus particulièrement, celle du parti armé catholique appelé la Sainte Ligue. Celle-ci, dominant l’entourage politique d’Henri III, l’avait contraint dés 1588 à promulguer, le 19 juillet, un édit qualifié d’Edit d’Union, dans lequel le Roi déclarait s’unir aux princes et aux seigneurs catholiques du Royaume par la foi du serment

texte est écrit principalement au présent. Un des personnages importants dans la fable auquel le « le fabuliste » fait référence est bien Louis XIV. Il l’illustre lors de son opposition face à « la ligne à cent têtes » (vers.9), à savoir la Ligue d’Augsbourg. Jean de la Fontaine compare le roi à un conquérant ou à Jupiter, le père des dieux romains. Il est présenté par le fabuliste comme seul centre tous aux vers 9 et 15. Le roi fait non seulement preuve de courage mais aussi d’ingéniosité. Cette