Gueule de bois

camoufler et à rendre invisible les destructions physiques. On les apelles les gueules cassées. Ils exhibent leurs blessures et leurs médailles en une grotesque et hideuse parodie de banal jeu de cartes, la partie est perdue d’avance, le jeu est truqué. DESCRIPTION : Le premier personnage, celui de gauche, est un homme dont l’âge est indéterminable tellement sa peau est abîmée. Il est disproportionné, il a une jambe de bois et le pied qui lui reste lui permet de tenir ses cartes pour jouer. Un tuyau

paradoxalement, puisqu’il ne peut plus parler, le sens de la communication. HENRI DE PENANSTER Aristocrate breton et capitaine de cavalerie blessé dans l’Argonne. Profondément croyant, il passe une partie de son hospitalisation à sculpter une Vierge de bois. Ses camarades vantent sa distinction. PIERRE WEIL Aviateur juif gravement brulé dans l’attaque de son appareil par l’ennemi. Il arrive chez «les esquintés de la trogne»(p.43) en même temps que Penanster. Plus extraverti que ce dernier,énergique et

il est arrêté et enfermé par la gestapo. Il participe par obligation à la 2° guerre mondiale mais est rapidement fait prisonnier. Il va finalement se suicider en 1969, à l'âge de 78 ans. 1/ b) L’œuvre «La guerre» d'Otto Dix est une peinture sur bois. Elle a été réalisée entre 1929 et 1932 avec de la peinture à l'huile et la technique de la tempera. Elle consiste à mélanger des pigments avec une substance à base de colle ou de jaune d’œuf, ce qui permet d'obtenir une pâte qui sert de peinture.

sorte d’appareil auditif. On peut voir que cet homme n'a plus de bras et tint ses cartes avec le pied qui lui reste, on peut en déduire qu'il n'y a plus de dignité. Le joueur de droite tient ses cartes d'une main rouge, sans peau et d'une autre main en bois articulée avec un bras en mouvement inhabituelle. Au dessus de son col, on remarque une prothèse de métal qui remplace sa mâchoire. L’extrémité de son nez est couverte par un bandeau noir sans doute en cuir attaché derrière la tête il porte en outre

puisse abîmer la vie. La structure de la bague, son squelette, soutenait une belle émeraude d'un vert intense, rappelant l'éclat de son regard. Ses nombreuses facettes qui brillaient sous l'éclairage des néons et renvoyaient des éclats de lumière sur le bois vernis du bar. Le travail de l'orfèvre était d'une rare finesse, l'anneau d'argent retenait délicatement la pierre précieuse comme les pétales fragiles d'une rose retiennent la rosée du matin. Cette bague était le seul bijou qu'elle portait. Elle

"je". II - Le personnage de Berenger A. Un être de désordre. •Dans la description physique qui lui est faîte. •Absence de précision, retard, même s'il en assume les conséquences : "C'est juste ..." •Alcoolémie : "J'ai un petit peu la gueule de bois". B. Un personnage dépressif. •Se note dans le ton, les didascalies, la ponctuation, le vocabulaire doux utilisé. Il n'ose pas contredire Jean, il se plie, sans rien dire. •Plus ouvert d'esprit que Jean : relation avec la serveuse, mais aussi

la guerre qu’il dessine les effets de la guerre sur le corps humain, comme dans ce tableau, ou dans un autre (Das Krieg, 1932). Contexte historique Les horreurs de la première guerre mondiale ont traumatisées l’Europe. Nombre d’invalides et de gueules cassées rappellent la guerre dans les rues après 1918. Ce n’est qu’après la guerre qu’il le fait. Analyse de l’œuvre Nature de l’œuvre Cette œuvre est une peinture faite avec de l’huile sur toile et du collage. Les dimensions de cette peinture

Prague, elle montre tous les sortent de personnes comme les riches qui marcherai carrément sure les personne qui les ont sauvé de la guerre, même les chiens ont plus de valeur que c’est ancien combattants, qui sont aujourd’hui handicapé, ou sont des gueules casser, elle reflète donc l’inégalité de cette société en Allemagne. L’auteur a très male vécue celle la car c’été un ancien combattant de la première guerre mondiale, et cette œuvre prouve sa souffrance et sa haine. Analyser l’œuvre dans son contexte :

fer montait du noir, se calait sur les verrous, avec ses quatre étages contenant chacun deux berlines pleines de charbon. Des moulineurs, aux différents paliers, sortaient les berlines, les remplaçaient par d'autres, vides ou chargées à l'avance des bois de taille. Et c'était dans les berlines vides que s'empilaient les ouvriers, cinq par cinq, jusqu'à quarante d'un coup, lorsqu'ils tenaient toutes les cases. Un ordre partait du porte-voix, un beuglement sourd et indistinct, pendant qu'on tirait quatre

favori des soldats dans les tranchées. Le tableau est composé de 3 plans : Au premier plan on peut distinguer le mélange des pieds de chaises, de la table et des jambes de bois. Au second plan on peut voir les 3 joueurs de cartes, ce sont trois anciens combattants mutilés de la Première Guerre mondiale, on les appellent les « gueules cassées ». Les joueurs ont des blessures physiques très importantes, aucun n'a ses 4 membres, ils sont cul de jatte, énuclée ou ont des blessures maxillo-facial ou des cornets