Gueule de bois

mutilés et défiguré que l’on appelle les gueules cassés. Ils sont dans un café en train de jouer au Skat, un jeu de carte. Le personnage à la gauche du tableau tient ses cartes avec un de ces pieds car il n’a plus qu’une main, qui est en bois, et qu’il ne peut plus jouer autrement. Sa tête est marquée par la guerre très profondément : il a un œil et une oreille en moins (il utilise un appareil pour écouter), a le crâne très abimé et une de ses jambes est en bois. Le personnage du milieu a le visage

dissimulé sous un cache. Sa mâchoire est en fer, son bras est une prothèse en bois laissant supposer qu’il les a perdues pendant la guerre. Sur sa veste est accrochée la croix de Fer. Il s’agit d’une décoration militaire allemande qui était considérée comme un honneur, ce qui indique qu’il s’agit d’un ancien combattant de la première guerre mondiale. L’homme à gauche : Il n’a plus de bras : le gauche est une prothèse en bois tandis que le droit est absent (manche vide). Pour jouer, il se sert du

Shiele (autrichien) et un précurseur, Van Gogh (La nuit étoilée) Cette toile associe plusieurs techniques : l'huile et le collage. Les Joueurs de Skat dénonce l'horreur de la guerre. 2-Nous avons choisi cette peinture car elle nous a marqué. Les gueules cassées sont très expressives et très représentatives des horreurs de la guerre. On a l'impression au départ d'une banale scène de jeu de carte puis on s'aperçoit que c'est une dénonciation de la violence. 3-Otto Dix est né le 2 décembre 1891

en valeur le physique de ces trois personnes, survivants de la Grande Guerre [1914-1918]. Ces personnes ayant des déformations physiques s'appellent les Gueules Cassées. Sur ce tableau, trois Gueules Cassées sont représentées. L'homme représenté à la gauche du tableau n'a plus de jambe gauche, celle-ci est remplacée par une jambe en bois. Il n'a pas non plus de bras mais le gauche est remplacé par une prothèse. Il ne peut donc pas tenir ces cartes avec ces mains et les tiens donc avec son

défigurés. Ont les appellent les « gueules cassées ». Ils jouent aux cartes dans un bistrot. Le joueur de gauche a perdu un bras, a une mains en bois, a perdu une oreille, a la mâchoire déformée et a perdu une jambe. Il joue avec son pied et son oreille a été remplacé par un tube en métal, qui s'étend jusque sur la table. Le joueur de droite a perdu tout ce qui est en dessous du bassin sauf son organe génital, il est sur un trépied en métal, et il a un bras en bois. Le joueur du milieu a un œil de

« Des mains qui lui viendraient d’un autre, des mains léguées par quelque ancêtre, au temps où l’homme, dans les bois, étranglait les bêtes ! » « […] son départ de bête carnassière, en quête de sang. » « Mais, dans ses bras, maintenant, l’affreux mal le reprenait, un tel vertige, qu’il s’en dégagé vite, glacé, terrifié de n’être plus lui, de sentir la bête prête à mordre. » « Une clameur de foule, dans son crâne, l’empêchait d’entendre ; tandis que des morsures de feu, derrière les oreilles

l'entre de guerre. Otto dix est engagé volontaire en 1914, et marqué par l'horreur des combats. Ses œuvres expriment son rejet de la guerre et son pacifisme. Quand il peint « Les joueurs de Skat », beaucoup d'anciens combattants, mutilés de guerre ou "gueules cassées", essaient de se réinsérer dans la société civile. Le tableau est mal accueilli car jugé choquant. Dans les années 1930, les nazis classent Otto Dix parmi les "artistes dégénérés". Où ? À la fin de la première guerre mondiale, 1 500 000 soldats allemands

l’un d’entre eux tient ses cartes avec le pied. Au début des années 1920, les états et les soldats survivants n’ont pas peur de montrer la dévastation physique laissée par la guerre, à la fois par fierté et par devoir de mémoire. Ces trois "gueules cassées" incarnent les séquelles de la guerre. En l’occurrence celles sur les combattants rescapés mais mutilés. La souffrance n’est pas seulement physique, elle est aussi morale : l’horreur de la guerre est présente toute la vie. Ils sont les témoins

chasse est ouverte, je me précipite, j'ai vu une place fenêtre, j'ai que 4 stations mais je laisse pas ma place aux ancètres, toute façon il court moins vite, chui un crevard, le coyotte sur le dos de bipbip. J'arrive au boulot, avec la gueule de bois, je bois et gueule bonjour même à ceux que je connais pas, hypocrite à souhaits, il faut lécher pour monter, fasse aux supèrieurs tout leurs vices j'ai tu, et face à eux mon revenu est revenu depuis que ma répartie est repartie, mon être est parti pour

Descrition : Dans le tableau la situation montre une scène ordinaire : trois personnes jouent aux cartes ils jouent dans une pièce sombre mais cette banalité et contrebalancé par l’horreur dégagée de ces personnages on voit que ce sont des gueules casses de la première guerre mondiale !L'aspect des joueurs n'a rien d'humain, l'un des personnages joue avec son pied. Otto dix critique ainsi la guerre en montrant de façon choquante ses conséquences dans la société.C'est par les joueurs de skats