Guignol

on crache au visage pour faire passer le message, la drogue mon idole, Ce role me colle depuis les cours d'école depuis mon premier vol Vise le pactole les folles pleines d'alcool qui ronronnent dans la bagnole Et on évite la taule beaucoup de guignols plein de fioles font les bads boys se sentent et me sortent Laguiole, Le glock c'est pour les fortes tetes des qu'on appuie sur la gachette mec c'est pour qu'une vie s'arrete On a pas le temps de jouer chaque jours on risque de se faire trouer

l’histoire, ne font plus vraiment le monde » doc 3 Ils aiment à nous renvoyer en miroir les tics, et les ridicules de notre quotidien. Les humoristes exercent également une influence sur l’expression, le langage, les tics verbaux. De Coluche aux guignols et jusqu'à Jamel Debbouze, nombreux sont les mots et expressions à avoir été répétés inlassablement par le public. Peut-on rire en politique ? Rire en politique au XIXème siècle était déjà possible. Aujourd’hui c’est la télévision qui prend le

d'honnêteté ou par astéisme. La caricature est le fait de tourner en dérision un problème social ou poilitique, qui charge certains traits de caractère souvent drôles, ridicules ou déplaisants dans la représentation d'un sujet (parodie, satire). Ex : Les Guignols de l'info, parodie de journal télévisé. Gotlib, qui utilise la BD pour critiquer les différentes institutions. C) Rupture avec la représentation pour des raisons esthétiques Cl : Il peut être ressemblant, avoir une représentation exacte de

d’une convention autre : celle du music-hall ou l’on s’adresse directement au public, et ou la vedette joue sa propre image. » Le premier est la prise a témoin du public, par le regard, le geste et la parole, pour commenter ironiquement, comme dans Guignol, l’action ou le caractère d’un autre personnage. Il ne s’agit pas seulement de l’allocution d’un personnage au spectateur, mais aussi de la référence au tiers, notamment le grivois ou se signale et excelle Groucho. Bizarrement donc, ce regard à la

scénaristique. Que dire également de quelques missions annexes vous demandant de transporter des tartes aux fruits d'un bout à l'autre de la ville afin de contenter une ménagère de plus de cinquante ans. Ok, Spidey est un super-héros mais en aucun cas un guignol de bas étage rompu aux tâches les plus anecdotiques. Oui, dans les premiers comics ou le premier film de Raimi, l'Araignée occupait bel et bien le job de livreur mais ceci était légitimé par son statut d'étudiant trop content de pouvoir mettre à profit

sociales émergent (grèves), puis la guerre s’en suit : affadissement de la caricature dans les débats idéologiques. Plus récemment, peu être utilisée quand l’actualité s’y prête (Charli Hebdo). Aujourd’hui, la caricature est toujours populaire (Guignols), et s’en prend à l’ensemble des pouvoirs. Ce qui est nouveau en revanche, c’est sa diffusion, plus large, elle va gagner des zones où la désacralisation du religieux ne s’est pas encore effectuée, ce qui explique les critiques virulentes qu’elle

Hebdige explique comment la stratégie utilisée par les médias est une stratégie qui cherche ou à banaliser l’Autre afin de le réduire à rien ou à l’inverse, le transforme en objet exotique dénué de sens en le rendant un pur objet de spectacle, un «guignol » qui amuse le public. Les articles écrits dans la presse de l’époque : «Des punks et des mères» cité dans le texte est un bon exemple qui démontre cette stratégie qui cherche par tous les moyens à définir cette subculture dans les termes qu’elle

Martin Esslin place Fernando Arrabal comme l'un des héritiers de l'absurde. Cet auteur espagnol s'attache à produire un théâtre onirique et comique, mais en gommant totalement l'idée d'une fin heureuse. Ses textes oscillent entre poésie et Grand-Guignol, toujours sur la marge, dans une esthétique où le rêve s'avère toujours prêt à le céder au cauchemar. Enfin, s'il est un auteur qui peut être désigné comme un héritier de l'absurde, c'est bien Harold Pinter. Cet auteur britannique compose en effet

est cruel, cupide et inconscient on peut dire que Alfred Jary le transforme en personnage grotesque par le biais de différents procédés comiques. Tout d'abord, on peut rappeler que cette pièce devait être jouer par un théâtre de marionettes (de guignols) où la gestuelle et les répétitions occupent une place importante dans le jeu de la farce. Dans cette scène on assiste donc à une insistance particulière sur le comique de geste d'Ubu, excessif dans sa violence, mais aussi de la part des nobles

tous les hommes d’état ne réagissent pas pareil à l’humour sur leur égard. Dans leur caricatures des Guignols par exemples, certains ne s’y reconnaisse pas (comme François Hollande), d’autre accepte la caricature mais préfère celle des autres (comme Jack Lang), pour d’autre en revanche la caricature ne les fait pas du tout rire (comme Nicolas Sarkozy d’après Alain de Greef à l’origine des guignols de l’info). Mais en général en France l’humour politique est plutôt bien accepté, ce qui explique que