Guillaume Apollinaire La Force Du Miroir

les poèmes... (p. 63) 1. La séparation des amants Dans le poème de Guillaume IX, il semble qu’il s’agisse d’une distance géographique effective, comme paraît l’indiquer la locution adverbiale « là-bas » (« De là-bas, où est toute ma joie... »). Le confirment l’attente d’un courrier et l’évocation des paroles et des brefs discours que répandent les « losangiers » : il semble en effet que, contrairement à Gace Brulé, Guillaume IX ne perçoive que l’écho de ces « propos étrangers » et ne puisse

originellement objet de culte. Son unicité se fonde sur cette valeur d’usage qui est sa première valeur. Texte d’Émile Zola Le premier paragraphe donne à voir Gueule-d’Or, qui incarne l’ouvrier modèle. Il travaille dans la mesure et l’harmonie, avec force et raison : « il ne se pressa pas » ; « à grandes volées régulières » ; « jeu classique, correct, balancé et souple » ; « une précision rythmée » ; « c’était du sang, du sang pur, qui battait puissamment jusque dans son marteau » ; « avec une science

HAMM : On n’est pas en train de…de…signifier quelque chose ? CLOV : Signifier ? Nous signifier ! (Rire bref) Ah elle est bonne ! HAMM : Je me demande (Un temps) Une intelligence, revenue sur terre, ne serait-elle pas tentée de se faire des idées, à force de nous observer ? (Prenant la voix de l’intelligence) Ah, bon, je vois ce que c’est, oui, je vois ce qu’ils font ! Ce sont les perso secondaires (qui n’apparaissent pas) qui sont le plus souvent décrits. I.B L’action dramatique I.B.1 Le conflit

à une vie autre, à l’infini des chemins. Ta morne existence dans ce village. Ta solitude. Ces secondes indéfiniment distendues quand tu vacilles à la limite du supportable. Tes mots noués dans ta gorge. À chaque printemps, cet appel, cet élan, ta force enfin revenue. La route neuve et qui brille. Ce point si souvent scruté où elle coupe l’horizon. Mais à quoi bon partir. Toute fuite est vaine et tu le sais. Les longues heures spacieuses, toujours trop courtes, où tu vas et viens en toi, attentive

phénomènes naturels ont toujours été la hantise des hommes depuis des millions d’années. L’homme étant un être faible c’est rendu compte que seul, il ne peut pas survivre longtemps face à la force de la nature. 3 C’est delà que les hommes se sont rassemblés de plus en plus en groupe, union pour faire la force, et résister au phénomène imprévisible que leur réservait la nature et au fil des années est née la « cité ». Donc l’homme s’arme contre la menace de l’imprévu, il s’organise, prévoit, il

de…de…signifier quelque chose ? CLOV : Signifier ? Nous signifier ! (Rire bref) Ah elle est bonne ! HAMM : Je me demande (Un temps) Une intelligence, revenue sur terre, ne serait-elle pas tentée de se faire des idées, à force de nous observer ? (Prenant la voix de l’intelligence) Ah, bon, je vois ce que c’est, oui, je vois ce qu’ils font ! Ce sont les perso secondaires (qui n’apparaissent pas) qui sont le plus souvent décrits. 2 L’action dramatique

saillants: barons serviteurs de Dieu, service féodal dû au suzerain, honneur féodal, vaillance combative, intrépidité. Le héros épique Dans les chansons de geste seule la classe féodale est mise en scène. Le héros épique est un chevalier doué d'une force surhumaine, capable d'endurer toutes sortes de souffrances physiques ou morales. Exemplaire par sa fidélité à son seigneur, il est élu pour sa perfection et représente toujours une collectivité dont l'existence est en jeu. La mort est le moment le

unit Tristan et Yseut. Il se présente comme une mise en abyme : Marie prétend rapporter la légende de Tristan et elle lui prête la composition du lai que le lecteur a sous les yeux. Le poème ne reprend que les principales lignes du mythe. Tristan, forcé à l’exil par son amour, s’est réfugié au fond des bois. Apprenant la visite prochaine du roi et de son escorte, il taille un bâton de coudrier sur lequel il grave son nom et le dispose de manière à attirer l’attention d’Yseut. Il l’a en effet naguère

mariage avec Soredamors, sœur de Gauvain, avant de passer à son véritable sujet, l'histoire de Cligés et de Fénice. Ce personnage de Fénice est traité avec beaucoup de délicatesse; il semble que l'auteur se soit appliqué à dissimuler, à effacer, à force d'habileté, ce qu'avait de scabreux la donnée de l'adultère entre un neveu et la femme de son oncle. Le mari, nommé Alis, a usurpé la couronne impériale qui appartient légitimement à Cligés. Fénice, qui a aimé le jeune homme avant son mariage, répugne

le bruit de la pluie, doucement répétitif. - Le vocabulaire Dès le premier vers apparaît un néologisme " il pleure " qui reproduit le cliché d'une pluie de larmes. C'est sur les ressemblance phoniques avec " il pleut " que ce " pleure " tire sa force. Le sens et le son se renforce, c'est de la pure poésie. " il pleure dans mon cœur" est une métaphore du chagrin. III. Le thème de l'eau - Fusion des verbes pleurer et pleuvoir Tout le charme du poème consiste à nous faire confondre la pluie et