Guillaume Apollinaire Paysage Calligrammes

Anthologie poétique « Autour du baroque » I. « L´Homme et la Mer » Charles Baudelaire 1857 II. « Le pont Mirabeau » Guillaume Apollinaire 1913 III. « Le Lac » Alphonse de Lamartine 1820 IV. « L'amour par terre » PAUL VERLAINE 1869 V. « Chanson d'automne » Paul VERLAINE 1866 VI. « Chapitre 86 » Anna de Noailles 1924 VII. « Leurs yeux toujours purs » PAUL ELUARD 1926 VIII. « Elsa » (1959) Louis ARAGON 1959 IX. « J'ai tant rêvé de toi » Robert Desnos 1930

de l'horreur (Une charogne). Paul Marie Verlaine : Est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. Paul Verlaine est avant tout le poète des clairs-obscurs. L'emploi de rythmes impairs, d'assonances, de paysages en demi-teintes le confirment, rapprochant même, par exemple, l'univers des Romances sans paroles des plus belles réussites impressionnistes. Il a proposé l'appellation de « poètes maudits ». Jean Nicolas Arthur Rimbaud : Est un poète français

cendres des martyrs, les cités et les mondes, Le Temps, universel et calme écoulement, Le Temps qui ne connaît ni son but, ni sa source, Mais rencontre toujours des soleils dans sa course, Tombe de l'urne bleue intarissablement! 5. Guillaume Apollinaire, Alcools (1912) : « Le Pont Mirabeau » Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure

appartient aux classicisme et à pour but d'instruire et de plaire aux lecteurs. Nous aurons un poème de Baudelaire qui est l'albatros qui montre le poète incompris de tous par les hommes parut également aux 19ème siècle. Nous aurons le poème de guillaume Apollinaire « l'écrevisse » extrait du recueil le vestiaire parut en 1911 où il dénonce les défauts de l'homme. Ensuite nous aurons un poème de Paul Valéry « L'abeille » tiré du recueil intitulé Charmes en 1919, l'auteur compare l'amour à une abeille

sensible de la réalité et veut découvrir l’harmonie mystérieuse du monde. Préfère la suggestion et l’allusion à l’approche naturaliste. Verlaine, Rimbaud, Laforgue, Mallarmé = préférence du flou, de l’imprécis. Fluidité éphémère et fluctuante des paysages, lumière constamment changeante : elle modifie les contours et les couleurs. « Art poétique » de Verlaine : vers impaires, imprécis, prône la musicalité. Réalité de la vie intérieure est très complexe. Les secrets échappent à la perception directe

squelette tenant une faux). Elle a été très utilisée au Moyen Âge, dans la poésie romantique (Vigny, Nerval) ou moderne (Baudelaire, les symbolistes). « Mon beau navire ô ma mémoire Avons-nous assez navigué Dans une onde mauvaise à boire » (Guillaume APOLLINAIRE, Alcools) : l’allégorie d’un navire à la dérive sert ici à désigner les errances de la mémoire dans l’ « onde mauvaise à boire », celle des souvenirs malheureux. Allitération : répétition expressive de la (ou des) même(s) consonne(s), pour

....... 3 -Heureux qui comme Ulysse, Joachim du Bellay, 1558............................................. 7 -Le voyage, Jean-Pierre Claris de Florian, 1799........................................................ 9 -Saltimbanques, Guillaume Apollinaire, 1913........................................................... 11 -Demain dès l'aube, Victor Hugo, 1856.................................................................... 13 -Parfums exotiques, Charles Baudelaire, 1857............

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1 1 LPB/ 1 Guillaume APOLLINAIRE, « Les colchiques », Alcools (1913). Parcours : Modernité poétique ? Introduction En vérité, Apollinaire n’a réellement finalisé et coordonné que deux recueils strictement poétiques : Alcools (1898-1913) publié au printemps 1913 et Calligrammes, Poèmes de la paix et de la guerre, 1913-1916, publié fin 1918. Souvent réduit à un manifeste de la Modernité, Alcools se présente plutôt comme une suite de tableaux variés, plus ou

de Nerval (souvenirs, répétitions temporelles). Le romantisme est né en Allemagne et en Angleterre .Nerval a dit « Mes sonnets perdraient de leurs charmes à être expliquer ». La cravate et la montre Apollinaire La cravate douloureuse que tu portes et qui t’orne, o civilisé, Ote-la si tu veux respirer.   Comme l’on s’amuse bien ! Tircis, la beauté de la vie Passe la peur de mourir. Mon cœur, les yeux, l’enfant, Agla, la main, L’infini redressé par un fou

Jean Marot, père de Clément (v. 1450-v. 1526) Guillaume Cretin (v. 1460 - 1525) Pierre Gringore (1475-1539) Jean Bouchet (1476-1550) Marot et le marotisme Poète du premier renouveau de la poésie au XVIe siècle, Clément Marot (1496 ou 1497-1544) ne tourne pas le dos à la poésie du Moyen Âge et à la seconde rhétorique4. Dans L'Adolescence clémentine (1532), il montre sa fidélité envers ses maîtres François Villon (1431-après 1463) qu'il édite, Guillaume Cretin et son père Jean Marot, en réutilisant