Guillaume de Nogaret

Italiens, la diversité des causes de l’émigration et des peuples concernés, le rôle prépondérant des États-Unis. ➤ Bibliographie et sitographie sélectives : ❏ Ouvrages généraux sur la population – Caselli Graziella, Vallin Jacques et Wunsch Guillaume (dir.), Démographie : analyse et synthèse, t. V, INED, 2004. On consultera en particulier la première partie : « L’histoire du peuplement », p. 9-170. – Pinson Gilles, Atlas de la population mondiale, Autrement, 2009. Des textes clairs à la portée

l'Italie méridionale et en Sicile, portant au loin le nom français. Mais, tout près d'eux, une autre Conquête s'offrait aux Normands, celle de l'Angleterre, où déjà leur influence avait pénétré. Une seule bataille, celle d'Hastings, livra l'île à Guillaume le Conquérant en 1066. L'Angleterre, qui jusqu'alors ne comptait pas, qui était un pauvre pays encore primitif, peu peuplé, entre dans l'histoire et va singulièrement compliquer la nôtre. Allemagne, Angleterre : entre ces deux forces, il faudra nous

pape et de refuser d’aller a Rome. Le Pape decide de maintenir ce concile. Il en sort de ce concile une autre bulle Unam Sanctam qui menace le roi de chatiment spirituel et temporel. Le roi de France sous l’influence de l’un de ses legiste guillaume de Nogaret qu’il envoi en Italie pour signifier un acte d’accusation au pape qui mourra un mois apres. Il sera remplacé par un autre pape qui sera d’accord avec les intentions du roi de France. C’est la fin du conflit avec la papauté. L’Eglise française

« Bulle Unam Sanctam » dans lequel le pape rappelle toute ses prétentions et notamment sa supériorité sur les princes temporels. L'affrontement s'est continué. Roi de France ne se laisse pas faire et au contraire envoît son principal conseiller Guillaume de Nogaret en portant différente attaque et menace au pape. Entretien resté célèbre sous nom de « attentat d'anagni ». Pape meurt quelque temps après. Philippe 4 a réussit à affirmer l'indépendance des rois de France au pouvoir du pape. Pragmatique sanction

développement de la souveraineté Le mot souverain vient du superlatif latin superus superanus qui signifie supérieur. A- L’origine de la notion souveraineté On trouve dans des contrés et dans des temps que l’on entendait pas. L’ancien empire de guillaume le conquérant pour voir que dans cet empire il existait une finalité prioritaire à l’égard du prince: le duc de l’empire. Le duché de Normandie s’est créé en 911 car les vikings faisaient des incursions sur les cotes de la France, Charles 5 signe

peut être ecclésiastique et seigneur. Fulbert s'est intéressé à cette question car il est aussi seigneur, il va être consulté par Guillaume V d'Aquitaine qui est un grand prince, il est à la tête de l'Aquitaine et a beaucoup de vassaux mais a du mal à se faire obéir de ceux-ci, il consulte alors Fulbert pour savoir ce qu'il a le droit de ses vassaux. (lettre p.16) Guillaume V d'Aquitaine consulte Fulbert qui lui donne une lettre qui servira de référence dans la rédaction des contrats concernant les

france chargé de juger le pape pour hérésie, sodomie, idolatrie. Les juristes francais conseillent le roi. Le Pape décide de réagir envisage de délier les sujets du Roi de france de leur serment de fidélité au roi. Un légiste de philippe le bel guillaume nogaret se rend auprès du pape pour lui signifier sa convocation. Le Pape est assassiné. les successeurs de Bonfiace 8 vont revenir sur ses dispositions et leroi de france va sortir vainqueur de cette situation. L'archevêque de bordeaux en 1305 est

pas prioritaire. Le serment de fidélité de l'église a, lui, pour conséquence de souligner l'importance de la fidélité et de l'honneur. Si il ne tient pas parole, il devient parjure et s'expose à une sanction. La lettre de Fulbert de Chartres à Guillaume d'Aquitaine en 1020 pour lui demander de préciser la nature des obligations découlant du contrat de vassalité précisant ainsi ce qu’il faut entendre sous le terme de fidélité. La fidélité est d'abord l'obligation de ne pas nuire, il faut que le vassal

charges publiques assumées au titre de princeps ; - possibilité d’attribuer souverainement des honores ds le cadre de la principauté ; - 898 : reconnaissance de Guillaume le Pieux comme duc d’Aquitaine. S’interpose désormais entre le roi et ses sujets ds cette zone traditionnellement mal soumise à l’autorité centrale. Guillaume est en fait un véritable « princeps », bien que le roi refuse de lui reconnaître officiellement ce titre. Jouit en effet d’une véritable potestas publique qui le place

de Chartres, adresse à Guillaume V d’Aquitaine (1020). Dans cette consultation, Fulbert dit que « celui qui a juré fidélité doit s’abstenir de nuire à son seigneur. Ne pas nuire c’est ne pas porter atteinte aux biens, aux possessions du seigneur. C’est également ne pas porter atteinte à sa personne physique, à son honneur, à ses prérogatives s’il exerce des droits de puissance publique ». Fulbert de Chartres, dans sa consultation, insiste beaucoup sur le serment car Guillaume d’Aquitaine est un duc