Guillaume de Nogaret

guerres. Boniface VIII refuse car il considère que le clergé n’est dépendant que de l’Eglise et du Pape. Boniface VIII réaffirme l’augustinisme politique par la bulle Unam Santam en 1308. Philippe le Bel réplique par ses légistes notamment Guillaume de Nogaret ; il accuse le Pape d’hérésie et traduit même le Pape en justice. Section 2 : le Second MA Le second MA est une période qui s’ouvre à partir du XII siècle, période caractérisé par une certaine pacification de la société, l’essor des villes

rebelles sont massacrés, le prince de Galles mis à mort et sa mère emprisonnée ; et comme, pendant ce temps, de nouveaux troubles ont éclaté dans le nord et à Londres même, que tente d’enlever par surprise un Neville, venu de Calais, le comte de Kent Guillaume de Fauconberg, Édouard décide d’employer la manière forte : il sévit impitoyablement contre tous les opposants, et le malheureux Henri VI disparaît lui-même, probablement exécuté (21 mai 1471). Désormais Édouard IV est le maître incontesté

est mis au courant que certains grands menacent de le trahir pour élire et sacrer un autre roi que lui, il pratique alors une « politique de séduction ». Alors que encore sous Louis, l’honor n’est encore que temporaire, Eude s’attache de grands, Guillaume Duc d’Aquitaine et Richard comte d’Autun et il leur donne le titre de pinceps (prince) et leur attribue perpétuité des abbayes. Ils établissent leur hérédité sur leur charges désormais, à partir de 893 ils jouissent à l’intérieur de leur principauté

l’Eglise est une et indivisible : il ne peut y avoir d’Eglise de France. Le pape condamne les prétentions de Philippe le bel dans une bulle, la bulle unam sanctam. Philippe le bel va réfuter la bulle et envoyer auprès du pape l’un de ses légiste : guillaume de Nogaret qui a pour charge d’intimide le pape. En sept 1303, il organise une expédition contre le pape et se rends alors a la demeure du pape, la demeure d’agnani. Il le moleste et boniface VIII n’y survivra pas et mourra de ses blessures quelques jours

Gasparini-Gojosso : la co-seigneurie ou traité de pariage qui permet, en l’occurrence, au roi de France de contrôler un territoire en association avec un autre seigneur. C’est le cas en 1307, du pariage du Gévaudan entre Philippe le Bel et le comte-évêque Guillaume Durand, maintenu jusqu’en 1789 ! C – les forces centrifuges Il ne faut pas imaginer que les capétiens n’ont subi aucun revers et que leur politique n’a tendu qu’à l’extension sans faille de leur domaine. Le cas du « dérapage » matrimonial de Louis

des carolingiens. Cet émiettement ouvrira la période de la féodalité. >Duhoda qui était une femme, l’épouse de Bernard de … va écrire durant les années de gloire des Carolingiens, elle va écrire un manuel de manière de conduites pour son fils Guillaume. La pensée de cette femme est grande : «  tout ce que j’ai développé dans ce manuel, c’ets soit en me reportant surf la langue hébraïque soit en me reportant aux lettres grecs ou aux langues latines ». Dans le chapitre 5, Duhoda écrit sur la vérité

gestion de leurs affaires. Il souligne par ailleurs, lui aussi, la part de responsabilité de l’Ancien Régime dans la situation qu’il déplore. Il stigmatise notamment les légistes imbus de droit romain, tels Pierre Flotte, Pierre du Bois et Guillaume de Nogaret, qui s’employèrent à légitimer la lutte de Philippe le Bel contre l’Empire à l’extérieur et les féodaux à l’intérieur. Il évoque aussi le rôle joué par l’évolution des techniques militaires : « L’effet de l’artillerie fut de démolir les uns

de Chartres, adresse à Guillaume V d’Aquitaine (1020). Dans cette consultation, Fulbert dit que « celui qui a juré fidélité doit s’abstenir de nuire à son seigneur. Ne pas nuire c’est ne pas porter atteinte aux biens, aux possessions du seigneur. C’est également ne pas porter atteinte à sa personne physique, à son honneur, à ses prérogatives s’il exerce des droits de puissance publique ». Fulbert de Chartres, dans sa consultation, insiste beaucoup sur le serment car Guillaume d’Aquitaine est un duc

tant que chef de la chrétienté. Il peut juger les rois et juge Philippe IV et le reconnait coupable de quelque chose. C’est la première fois qu’un roi est excommunié. Philippe IV réagit comme un roi médiéval, il va réagir par son chancelier Guillaume de Nogaret qui rédige un manifeste en disant que le pape a commis une faute en excommuniant le roi de France et de fait il doit être jugé Le roi prétend que le pape doit être jugé par le concile au motif d’hérésie. Philippe IV ordonne à son chancelier

l'Italie méridionale et en Sicile, portant au loin le nom français. Mais, tout près d'eux, une autre Conquête s'offrait aux Normands, celle de l'Angleterre, où déjà leur influence avait pénétré. Une seule bataille, celle d'Hastings, livra l'île à Guillaume le Conquérant en 1066. L'Angleterre, qui jusqu'alors ne comptait pas, qui était un pauvre pays encore primitif, peu peuplé, entre dans l'histoire et va singulièrement compliquer la nôtre. Allemagne, Angleterre : entre ces deux forces, il faudra nous