Guillaume du Bellay

l'emplacement de la future école Polytechnique sur la montagne Sainte-Geneviève à Paris. Comme dans le reste de l'Europe, le développement des imprimeries (celle de la Sorbonne fut installée vers 1470 sous l'impulsion de Guillaume Fichet) facilita l'enseignement du grec (propagé par Guillaume Budé) ainsi que du latin et de l'hébreu. Le même engouement humaniste pour la culture et la tolérance se répandit en Allemagne, notamment avec Johannes Reuchlin, qui s'était rendu à Florence et qui avait connu Pic

occupait de loin la première place avec le rôle majeur que nous avons joué par La Pléiade. Nous étions un groupe de poètes humanistes qui voulions égaler les auteurs latins en versifiant en français. Nous étions sept dont mon fidèle ami Joachim Du Bellay, surement le plus brillant d’entre nous. Il aborda notamment les thèmes de la force destructrice du temps, la beauté et la gloire du passé, la nostalgie pour son pays et l’admiration de la nature. La sincérité est le trait caractéristique de sa poésie

grec ancien et au latin classique que l’Eglise, selon eux, avait déformés. Les humanistes admirent les discours des auteurs antiques et étudient leurs philosophie. - Le temps des victoires: L’étude des textes antiques par des savants comme: Guillaume Budé, Lefèvre, Erasme, conduit a de nouvelles conceptions politiques, morales et religieuses. Cependant des théologiens catholiques de la Sorbonne sont totalement contre et résiste. En 1530 ils créent le Collège des lecteurs royaux, c’est une victoire

celle de sa mort à Paris le 9 avril 1553 à « l’âge de soixante-dix ans ». Dés son plus jeune âge, son éducation est laissée aux moines, il entre plus tard au couvent de Fontenay-le-Comte où il devient moine comme le prouve sa lettre adressée à Guillaume Budé en 1521. Rabelais ne se plie pas facilement aux règles monacales et ne reste pas cloîtré dans son monastère. Vers 1528, il prend l’habit de clerc pour se rendre dans diverses universités, Rabelais va d’abord à Paris, pour y commencer ses études

novice dans le couvent de la Baumette, fondé par le roi René. Il y rencontre le jeune rejeton d'une vieille souche tourangelle, Geoffroy d'Estissac, qui devint évêque de Maillezais à vingt-trois ans, et deux des frères du Bellay, dont l'un était évêque et l'autre capitaine. Il se fit juger favorablement par tous trois et les prévint grandement en sa faveur. Selon Bruneau de Tartifume (1574-1636), Rabelais est novice, vers la fin de 1510 jusqu'en 1520, au monastère des

grandement considérer et où la quête du savoir est mener avec intérêt accru du corps et de l’anatomie humaine. Il compose également sous le mouvement littéraire de la Pléiade. La pléiade est un groupe de poètes rassemblés autour de Ronsard : Du Bellay, Guillaume des Autels, Jean Dorat… Ces poètes  imposent l'alexandrin et le sonnet comme des formes poétiques majeures. La poésie se veut savante, de cour et engagé. L’œuvre de Ronsard est un sonnet évoquant la mort. En effet son recueil s’intitule Dernier

«Courtoisie» → «cour» (= la résidence d'un souverain). Reflète l'idéal courtois à travers les œuvres romanesques. Prône un idéal de conduite à l'égard des dames qui sont courtisées. Le roman Petits récits en vers Registre lyrique Chrétien de Troyes Guillaume de Lorris Humanisme «Humanisme» → du latin «humanitas» (=ensemble des qualités intellectuelles, morales et physiques qui distinguent l'homme des autres créatures). Désigne un courant de pensée qui a traversé l'Europe de la Renaissance (16è s)

contraire. La victoire de Marignan (1515) opposa les Français et leurs alliés vénitiens aux Suisses (pour l'artillerie française) : c'est une grande bataille des guerres d'Italie. D’après le conseil de Guillaume Parvi, son prédicateur, et du célèbre Guillaume Budé, François Ier voulut instituer à Paris un collège où toutes les langues et toutes les sciences fussent enseignées gratuitement : il fonda l’établissement qui subsiste encore sous le titre de Collège de France (1529).

variations sur les formes poétiques renouvellent-t-elles l’expression du lyrisme amoureux ? Lectures analytiques : 1) Du Bellay, L’Olive (1550), LXXXIII, « Déjà la nuit en son parc amassait… » 2) Ronsard, Second Livre des amours (1578), Sur la mort de Marie, V « Comme on voit sur la branche … » 3) Victor Hugo, Les Contemplations (1856) « Elle était déchaussée » 4) Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou (1915), « Si je mourais là-bas… » 5) Paul Eluard, Capitale de la douleur (1926), « La courbe de

l'origine de ce mouvement composé de sept poètes, un manifeste écrit en 1549, par le poète Joachim Du Bellay. Le groupe, par ce nom, rend hommage à un autre groupe de sept poètes de l'époque Alexandrine.  Voici les noms de ceux qui composèrent le groupe, en plusieurs époques successives : Du Bellay, Ronsard, Antoine de Baïf, Etienne Jodelle, Pontus de Tyard, Jean de la Péruse, Rémi Belleau, Guillaume des Autels, Jacques Pelletier du Mans, Dorat.             Ces poètes avaient pour principe de n'utiliser