Guillaume Ier de Sicile

Mollet en 1720 pour Louis Henri de La Tour d'Auvergne, comte d'Évreux, le palais de l'Élysée a une histoire illustre : cadeau du roi Louis XV à sa favorite, la marquise de Pompadour, en 1753, puis palais princier de Joachim Murat, beau-frère de Napoléon Ier, qui, en 1805, en fit sa résidence impériale. Son neveu, Napoléon III, y habita également. L'actuel hôte de l'Élysée est François Hollande, président de la République française depuis le 15 mai 2012. Sommaire [masquer] 1 Histoire 1.1 Hôtel du

révoltent ; l’Allemagne est alors divisée en 39 principautés et elle aspire à une unité plus forte que celle décernée par le Congrès de Vienne avec la Confédération germanique. Puis, dans une soif de démocratisation, les espagnols et les peuples des deux Siciles contraignent leurs souverains à adopter une constitution en 1820. Dans les Balkans, sous autorité ottomane, les Serbes obtiennent une première forme d’indépendance l’année suivante et les Moldaves se révoltent également. Seulement, dans une Europe

de la part des hongrois entre le IXème et le Xème siècle. Ils exécutent une razzia jusqu’en Camargue (c’est après ces épisodes que nait la psychose du cavalier hongrois). Ils finissent par se poser sur le Danube et deviennent chrétiens. En 830 , la Sicile est conquise par les Sarazins qui harcèlent également la Provence. Les Vikings se sont sédentarisés en Normandie, ils ont fuit la Scandinavie pour des raisons tant climatiques que commerciales. Les plus courageux sont partis pour l’Islande et ont

le pain) faibles rendements donc il faut cultiver le maximum de terres élevage peu dvt donc peu d’engrais et donc peu de rendements c’est un cercle vicieux début de spécialisation *bassin méditerranéen : richesse céréalière (Italie du sud et de la Sicile) depuis Antiquité grands domaines en Pologne se tournent vers exportations des blés *vigne connaît une grande extension : sud et aussi nord-ouest et Europe centrale France : vins d’Anjou partent vers Europe du nord Elevage ovin : prédomine partout

périodes, tout en soulignant la grande diversité de l’époque médiévale, hors des facteurs unificateurs qu’ont été la féodalité et la religion chrétienne. 2. Le haut Moyen Âge (du Ve au Xe siècle) Le pillage de Rome par les Goths d’Alaric Ier, en 410, plus peut-être que la déposition, en 476, de Romulus Augustule, le dernier empereur romain d’Occident, fait sur ses contemporains (en particulier saint Augustin ou Sidoine Apollinaire) l’effet d’une catastrophe annonciatrice de la disparition

la diversité des contacts que développent ces différentes civilisations : affrontements guerriers (croisades, Reconquista...), échanges commerciaux (comptoirs), influences culturelles (syncrétisme). Entrées possibles : un carrefour exemplaire : la Sicile, un espace de contacts : l’Andalousie... 4 - Humanisme et Renaissance Dans l’Europe du XVe et XVIe siècles se produit une modification profonde de la vision de l’homme sur sa condition et sur le monde, ainsi que la naissance d’un esprit scientifique

La réforme de l’Église La croisade s’inscrit parfaitement dans le contexte de la réforme de l’Église, qui avait été entreprise par saint Grégoire VII au milieu du XIe siècle. Ce mouvement de réforme naît en 909, lorsque le duc Guillaume d’Aquitaine fonde, à Cluny, une abbaye qui ne dépend que de Rome : pour la première fois, un monastère est indépendant de toute autorité politique ou religieuse locale. Les tentatives de réforme visent à mettre fin à la simonie et au mariage

allemande constitue la définition de la nation ce qui signifie le rejet de la présence française. Comme en Italie ce rejet culturel se transforme en un rejet de haine instrumentalisé par des princes allemands, notamment le roi de Prusse Frédéric-Guillaume III. Il prend la tête d'une véritable guerre, avec l'appel d'un soulèvement de tous les allemands contre les français. La "Bataille des Nations" du 15 et 16 Octobre 1813, est pour les allemands un acte déterminant dans la construction de la nation

composantes, culturelle, économique, politique. Cependant, les derniers siècles du Moyen Âge annoncent aussi des évolutions majeures parmi lesquelles l’émergence d’une culture profane et l’avènement de penseurs qui, bien qu’issus du clergé (les Anglais Guillaume d’Occam et John Wycliff), remettaient en cause certains aspects les plus obscurs de l’Église tout comme son autorité sur les princes laïcs : dès le XIVe siècle germent les prémices d’où naîtront la Renaissance et la Réforme. Cette rupture fondamentale

tel Melanchthon, un de ses plus grands disciples, qui était sous la protection du prince-électeur de Saxe, Jean-Frédéric. Par ce fait, La saxe fut le premier Etat allemand où s’organisa une Eglise luthérienne. D’autres grands prêcheurs, comme Guillaume Farel (français installé à Bâle) a rédigé le premier traité de liturgie évangélique français. Une façon bien radicale de faire entendre le luthéranisme a été aussi plus au moins par la force. Sous le règne de Georges I, celui-ci rétablit la réforme