Guillotine

Maximilien de Robespierre Maximilien Robespierre est né a Arras dans l'Artois , le 6 Mai 1758 et est mort guillotiné a Paris le 28 Juillet 1794. Il exerçait le métier d'avocat et il était aussi un homme politique. Il perdit sa Mère a l'age de 6 ans. Il est alors envoyé chez son grand-père paternel. En 1765, il rentre au collège d'Arras puis alla dans le collège Louis-le-Grand à Paris,en 1769, ou il fit de brillantes études. Il fut plusieurs fois proclamé aux distributions de prix du Concours

la guerre d’hollande (1672-1679), la guerre de la ligue d’Augsbourg (1688-1697) et pour finir la guerre de la succession d’Espagne (1701-1713). En majeur parti les auteurs sont les pays de l’Europe. Après toute ses guerres, le roi Louis XVI fût guillotiné le 21 janvier 1793 à Paris, puisque lors de la guerre d’indépendance des Etats-Unis, le roi a voté une nouvelle réforme fiscale qui met fin aux privilèges de la noblesse.

-Au début, le cortège est décrit de façon objective comme s’il s’agissait d’un documentaire : « Les femmes avaient paru […], les hommes […] ».- Mais, au fur et à mesure, le tableau reflète le regard de l’auteur, puis celui, très subjectif, de ses « vrais » spectateurs : les bourgeois cachés derrière la porte d’une grange, implicitement désignés par le pronom impersonnel « on » (« on ne distinguait que… », « on voyait seulement… ») ; les termes péjoratifs qui qualifient les mineurs révèlent leur

D’une autre part on a les documents C et D. Le document C, la gravure nous montre ce qu’ils est arrivé après la non abolition de la peine de mort et on constate qu’il a une personne qui voulait tuer mais lorsqu’il constate la présence de la guillotine qui symbolise la peine de mort le possible meurtrier fait tomber son couteau par la peur de être tué ce qui nous montre une idée commune dans quelques textes que la peine de mort est un châtiment exemplaire. Dans les documents D et E leurs respectives

unanimement déclarèrent Louis Capet coupable de conspiration contre la sûreté générale de l'État. Chacun des représentants des départements allait maintenant exprimer le châtiment proposé, ce fût la mort qui l'emporta. Et le 21 janvier 1793, Louis XVI est guillotiné, cette acte irréversible entraîna l'indignation de toute l'Europe. La France se trouva encore plus isolé. L'Angleterre sous l'impulsion de son Premier ministre William Pitt, rassembla contre elle une coalition (la première d'une longue série) qui

comité de salut public, il est l’âme de la dictature, affirmant que le ressort de la démocratie est à la fois terreur et vertu ; il élimine les hébertistes et les indulgents menés par Danton puis inaugure la grande terreur en juin 1794. Il meurt guillotiné.   NECKER (1732-1804) : Banquier à Paris (1762), il devient sous Louis XIV directeur général des finances (1777). Il soulève l’opposition des parlements et de la cour en créant des assemblées provinciales chargées d’établir l’impôt et en recourant

sans procès et guillotiné l'après-midi même du 10 thermidor, sous les acclamations de la foule, en compagnie de 21 amis politiques dont Saint-Just et Couthon par exemple. Les 22 têtes sont placées dans un coffre en bois sur une charrette. Ils jettèrent le tout dans la commune du cimetière des Errancis et l’on répandra de la chaux afin que le corps du soi-disant tyran Maximilien de Robespierre ne laisse aucune trace. Le lendemain, 80 partisans de Robespierre furent également guillotinés. En 1840, des

Matériel disponible dans l'atelier Dans l'atelier, les ouvriers dispose de plusieurs machines pour réaliser leurs travail dans de bonne condition comme par exemple: -2 Plieuses dont 1 numérique -5 Perceuses sur colonne -1 Cisaille guillotine -2 Scie a ruban -1 Presse hydraulique -1 Banc de soudure pour tôle -1 Rouleuse à tôle -1 Rouleuse à profilé Chaque ouvriers dispose aussi d'outillage personnel pour leurs espace de travail -1 Perceuse portative -1

judiciaire (« la catégorie commode d’inculpé », les « phrases immenses ») + l’euphémisme (« cette tête doit tomber », « ce qu’on appelait poliment les derniers moments » :la mort est comme amoindrie ; image aussi de la « tête » comme allégorie de la guillotine et aussi métonymie : l’homme est réduit à cette tête .Doit suggère l’obligation de punir et c’est comme une habitude avec le discours direct très visuel qui rend le texte comme une scène   b)      Une visée morale et idéologique du discours de

qui restera sans père. Elle sera peut-être repoussée, détestée à cause de lui. XXVII. CHAPITRE 27 Le narrateur se demande comment on pouvait mourir sur l’échafaud. XXVIII. CHAPITRE 28 Il se rappelle avoir déjà vu une fois monter une guillotine sur la place de Grève. XXIX. CHAPITRE 29 Le jeune détenu pense à cette grâce qui ne vient toujours pas. Il estime maintenant que les galères seraient une meilleure solution en attendant qu’un jour arrive la grâce. XXX. CHAPITRE 30