Gustav Heinemann

. Il a fallu pas moins de cinq années pour réunir en France et aux Etats-Unis les sommes nécessaires à son achèvement. . . Cette allégorie n’est pas seulement l’œuvre de Bartholdi. Gustave Eiffel, l’architecte de la tour portant son nom, en a fait l’armature en fer. Celle-ci est en fer, tant dis que sa « peau » est faite de cuivre (qui était à l’origine orangé et maintenant qu’il est oxydé, est devenue bleu-vert).

français. Il passe la plupart de son enfance avec sa mère en Normandie où l’on retrouve ce pays dans beaucoup de ses nouvelles. Après la fameuse guerre de 1870, il travaille comme fonctionnaire à Paris et fais son apprentissage d’écrivain auprès de Gustave Flaubert. Guy de Maupassant commence par écrire quelques poèmes et se met du coup à la nouvelle en 1875. Il publie ensuite « Boule de Suif » en collaborant avec des écrivains naturalistes aux « soirée de Médan ». Il a un très fort attachement au réalisme

Le réalisme et le naturalisme son deux courants littéraires de la fin du XIX e siècle qui se proposent de décrire fidèlement la réalité. Cette tendance se retrouve dans ces trois textes. Le premier s’intitule Madame Bovary de Gustave FLAUBERT paru en 1857, le deuxième s’appelle Germinie Lacerteux des frères GONCOURT sorti en 1865 et le dernier est Germinal d’Emile ZOLA présenté en 1885. Comment l’écriture réaliste s’exprime-t-elle à travers ces textes et quels en sont les symboles ? Pour répondre

Les raboteurs de parquet Gustave CAILLEBOTTE 1875 Autoportrait 1875 Huile sur toile 100.6x145cm Exposé à Paris au Musée d'Orsay «L'art ne s'est occupé jusqu'à présent que des dieux, des héros et des saints ; il est temps qu'il s'occupe des simples mortels.» Pierre-joseph Proudhon, Du principe de l'art et de sa signification sociale, 1865. Ce tableau constitue une des premières représentations du prolétariat urbain. Si les paysans (Des glaneuses de Millet) ou les ouvriers

Princesses de Clèves de Madame La Fayette publié en 1678, l’auteur laisse libre cours à l’imagination de ses lecteurs en ne décrivant pas le physique de ses personnages. Le portrait n’est pas mis en valeur, contrairement au roman Madame Bovary de Gustave Flaubert où Charles Bovary est décrit de fond en comble et abandonne le lecteur dans l’impossibilité de s’approprier le personnage. De plus, le fait que la focalisation soit souvent externe et neutre dans La princesse de Clèves, permet aux bibliophiles

M adame Bovary, œuvre écrite par le réaliste Gustave Flaubert nous renseigne sur les mœurs bourgeoisesdu XIXe siècle dont le thème est l’adultère d’une épouse. C’est de cette œuvre que nous ferons une analyse intégrale sur le romantisme qui est un mouvement littéraire qui prône de laisser largementplace à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Dans un premier temps, nous montrerons comment se manifeste le romantisme, ensuit

c’est le conflit d’un personnage romanesque avec des choses et des hommes qu’il découvre en perspective à mesure qu’il avance, qu’il connaît d’abord mal, et qu’il ne comprend jamais tout à fait." Alain (1868-1951) "Madame Bovary, c’est moi." Gustave Flaubert (1821-1880) : liens entre l’auteur et le personnage : dans quelle mesure un personnage est-il totalement fictionnel ? Dans quelle mesure un auteur s’identifie-t-il avec ses personnages, même ceux qui semblent les plus éloignés de lui ?

........................................................................................... 3 II. Analyse de Madame Bovary. .............................................................................................................. 4 II. a. Gustave Flaubert : une écriture subjective et une peinture intérieure et détaillée des personnages.4 II. b. Le procès de Madame Bovary : entre scandale et révolution littéraire. ........................................ 5 II. c. Emma Bovary : une femme rêveuse

réalité." Albert Camus (1913-1960) "Le roman est l’histoire des hommes et l’histoire le roman des rois." Alphonse Daudet (1840-1897) "L’auteur, dans son œuvre, doit être comme Dieu dans l’univers, présent partout, et visible nulle part." Gustave Flaubert (1821-1880) "Chaque romancier, chaque roman doit inventer sa propre forme. Aucune recette ne peut remplacer cette réflexion continuelle. Le livre crée pour lui ses propres règles." Alain Robbe-Grillet (1922-2008) "Le roman se distingue

influence déterminante sur le comportement des individus. Dans César Birotteau, Balzac dénonce la spéculation. Les écrivains réalistes, désireux de rendre compte du réel, réunissent une véritable documentation sur le sujet qu’ils ont choisi. (Gustave Flaubert se documente sur les symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic avant d’écrire la fin de Madame Bovary) Le héros, personnage exceptionnel, fait place au personnage principal qui est un individu ordinaire, représentatif du milieu dans lequel