Gwoka

Le Gwo-Ka Le gwoka (ou Gwo Ka) est un genre musical de la Guadeloupe. Il est principalement joué avec des tambours appelés « ka », famille d'instruments de percussion. Les autres instruments sont le chacha (une sorte de maraca) et le tibwa (instrument formé de deux baguettes de bois qu'on frappe sur l'arrière du tambour ou un morceau de bambou)1. Les différentes tailles des tambours établissent la base. Le plus grand : le boula joue le rythme central et le plus petit : le marqueur (ou makè)

nom commun désignant un tambour d’origine guadeloupéenne. Le Gwoka est un terme générique qui désigne les chants et danses pratiqué sur les rythmes impulsée sur un tambour guadeloupéen appelé lui-même Gwoka ou KA. Dans certain région de la Guadeloupe (cote- sous- le – vent, anse Bertrand) ce dernier est désigné par le terme boka, vraisemblablement une déformation de Gwoka, plus courant mais qui se trouve dans la caraïbe. Les mots Gwoka et ka seraient de généralisation récente et viendraient de

Projet d’activité culturelle et sportive. Je veux développer un projet d’activité sur la capoeira (art martial Brésilien) et sur le gwoka (danse traditionnelle de la Guadeloupe), il se fera sous la forme d’un atelier. 1er : initiation aux bases, synthèse sur les origines, démonstration. 2 ème : initiation aux bases, synthèse sur les origines, percussions, démonstration. Je veux les sensibiliser a la culture du sport (restauration narcissique) et la musique afin qu’ils puissent avoir confiance

la communication numérique ainsi que l’élaboration de propositions marketing pour l’élargissement de ces techniques à la musique en ligne. Il tentera de cartographier les effets pour les producteurs phonographiques de musiques comme notamment le « Gwoka »[12]. Dans ce cadre, deux référentiels ont été pensés : ▪ Le premier utilise les signaux faibles via le Data Mining[13]pour s’adresser à la cible avec du SEA[14]sur Facebook et Google. ▪ Le second mobilise l’IRMf et le décodage facial pour

les rythmes traditionnels sont : la Biguine , le Gwoka , le Zouk. - La biguine : née vers les années 1930, elle est inspirée du rythme des orchestres de jazz de la Nouvelle Orléans. Le mot biguine viendrait de l'anglais " begin " lancé par les chefs d'orchestre pour faire débuter la musique. Le rythme de la biguine est binaire et marqué par la fameuse cellule rythmique présente dans de nombreuses musiques des caraïbes : le cinquillo. Le Gwoka : trouve ses origines au temps de l'esclavage,

secrète des esclaves et de leurs descendants. Comme Césaire le suggère, le lambi a trop sonné le glas, divulguant les deuils ou la capture d'un fugitif, mais il est aussi festif. Il amorce le lewoz - veillée où se déchaînent les chants et tambours du gwoka en Guadeloupe - comme le laghia et le damié - danses de lutte martiniquaises, cousines de la capoeira brésilienne - et annonce surtout le retour sains et saufs des marins… En effet, selon le son produit, celui ci pouvait annoncer le retour des pêcheurs

liberté, donc créer de l’inédit, car copier, c’est être esclave. Ce qu’il faut, c’est improviser du neuf par addition de pratiques différentes. L’idée de pureté musicale ne fait pas partie de la culture caribéenne. L’un des meilleurs exemples, c’est le gwoka guadeloupéen, une musique accompagnée par trois tambours improvisés à partir de barils vides et de peaux de chèvre, qui est récemment devenu Patrimoine mondial de l’Unesco. Les instruments de cet orchestre, ce ne sont pas des tambours sacrés d’Afrique

en musique du poète martiniquais Philippe Cantinol, les rythmes du gwoka de Roger Raspail, maître des percussions antillaises, et le bèlè du groupe Boukan de Jean-Philippe Grivalliers. Sans oublier les interludes de DJ Sugar Kan qui viendra directement de Londres pour animer cette soirée des sons les plus festifs des Antilles ! © DR NOm: aVEC rOGEr raSPaIL, PHILIPPE CaNTINOL, JEaN-PHILIPPE GrIVaLLIErS, DJ SuGar KaN Bal gwoka, bèlè Bal créole GILZENE aND THE BLuE LIGHT mENTO BaND mento

faut donc chercher d’autres sources aux conflits sociaux de ce territoire. B/ Une situation socio-culturelle particulière De nos jours, il n’est pas une grève en Guadeloupe où les prises de parole ne se fassent pas en créole, où le gwoka -musique traditionnelle de la Guadeloupe- ne soit omniprésent, et où les repas exclusivement Guadeloupéens ou Antillais ne soient pas les seuls autorisés sur les piquets de grève. L’évolution pendant ces vingt dernières années du mouvement social en

originalité et leur habileté dans les danses Afro-Caribéennes. On y retrouve des danses aux influences africaines tels que le Ndombolo (Congo), le Coupé Décalé (Côte d’Ivoire) ou le Kuduro (Angola), des danses traditionnelles caribéennes tel que le Gwoka (Guadeloupe), ou des formes plus contemporaines tels que le Dancehall (Jamaïque), ainsi que des mouvements nés aux Etats-Unis comme le Krump (danse urbaine apparue en 2000 dans les quartiers de Los Angeles) et, bien sûr, le Hip-Hop (Bronx, New York)